Il existe quelques centimètres entre être totalement bras hauts, juste au contact, être au contact avec les fameux 400 grammes de ce cher Pierre Paul ou encore de freiner clairement l'aile car la ligne de frin devient l'ancre à laquelle on espère se retenir tellement on se sent livré aux éléments.
pour ma part j'ai toujours été un peu perplexe.
* même bras haut, le vent souffle les ramifications des freins et le volet du même nom est déjà un peu tendu.
* encore plus si on cherche juste à être au contact, on crée une tension supplémentaire qui fait encore afficher un peu de frein
alors, oui, je veux bien admettre que le volet affiché est minime, surtout comparé au débattement admissible (mains sous les fesses) [je n'ai pas dit combien de temps

]
mais il existe déjà
Du coup, ce que j'aime dans le pilotage aux arrières (C puisque je n'ai encore jamais volé en 2 lignes) c'est
qu'on que je ne me pose pas de question : bras haut c'est bras haut, zéro tension (de plus que le vent dans les suspentes). Et bras haut, je suis déjà en contact avec l'aile

(quoique, même main dans les poches, on a déjà un paquet d'info qui remontent par la planchette pour léceux qui en ont une et qui ont une ventrale un peu ouverte)
J'ai récemment testé une aile (pour l'anecdote une Théta ULS fortement recommandée par un moniteur de par chez moi). J'ai été très agréablement surpris par cette aile. J'ai pu enrouler aux C.