Messages récents sur le forum de parapente

J'ai oublié ma sellette passager et mon casque en bas de la pente école, je reviens les chercher, vous pouvez les laisser ennplace merci beaucoup !

Une ligne THT traverse la vallée d'Argelès en amont de l'atterro, il y a eu à 2 reprises un pilote suspendu dedans, sans conséquences graves. Les 2 fois le même scénario, brise copieuse, pilote sous le vent de la ligne qui veut essayer de rentrer à tout prix au terrain.
Il y a des hectares de prés en amont de la ligne...
Sidération, viscosité mentale ?

Approche en PTS ? (Avant d'avoir le cerveau gelé)

Désolé d'avois mis le bin's avec cette histoire de pollution par les particules des semelles.
Je pense que cela concerne surtout quelques sites très préservés.
Pour les plus motivés, il y a toujours la solution de monter à pieds nus (la randonnée pieds nus a ses adeptes) et de mettre ses chaussures super amortissantes qu'au moment du décollage. Bon courage.

Une ligne THT traverse la vallée d'Argelès en amont de l'atterro, il y a eu à 2 reprises un pilote suspendu dedans, sans conséquences graves. Les 2 fois le même scénario, brise copieuse, pilote sous le vent de la ligne qui veut essayer de rentrer à tout prix au terrain.
Il y a des hectares de prés en amont de la ligne...
Sidération, viscosité mentale ?

J'ai aussi un petit kit de sécurité par contre je ne sais jamais où le mettre pour s'il soit à portée de mains en cas de pépin, tout comme le téléphone. Je vole en sellette assise, Supair evolite, la poche intérieure de la sellette n'est pas très accessible et ne ferme pas. Le téléphone dans la poche de pantalon, c'est pas top non plus si je reste coincé dans la sellette. Si vous avez des idées je suis preneur.

Un cockpit dédié, soit un modèle parapente parmi l'énorme choix qui existe et qui pemettent aussi d'y fixer par velcro et lien un appareil de vol voire le téléphone, soit un modèle "bricolé" sur la base d'une trousse d'écolier, d'un sac à magnésite ou encore d'une sacoche vélo. Avec ces palliatifs, il est même facilement possible, suivant le modèle choisi, d'imaginer des positionnements et fixations autres que seulement devant le nombril (élévateur, sangle de poitrine, intérieur ou extérieur de la sellette, etc.)

Je viens de regarder le 2 vidéos. Super.
Comme déjà dit je suis un peu comme Piwaille : pas de lignes HT chez moi. Par contre pas mal de moyennes tensions triphasés et elles ne longent pas les champs, elle les traversent.
J'ai été témoin d'un accident dans ces lignes il y a très longtemps et ça m'a marqué : gros flash lumineux dans le ciel et on a couru pour trouver le pilote que nous avons retrouvé décroché hagard sous sa sellette avec des brûlures impressionnantes sur le visage.
Depuis, je me mets toujours en vigilance lorsque je me pose proche de ces lignes qui sont loin d'être innocentes ou négligeables.

En tout cas merci, je vais partager ça.

Attention les gars à ne pas faire dériver le sujet sur les enjeux écolos qui peuvent vite partir en vrille. Je vous connais

Ici, on essaye de trouver des solutions pour protéger au mieux nos pieds.

(Et si on peut faire du bien à madame Nature en même temps, c'est tant mieux).

Ceci étant, je ne suis pas certain que privilégier des chaussures à semelles rigides en caoutchouc soit le meilleur choix pour cela. Mais ça reste à vérifier...

C'est toute la difficulté des REx, avoir des éléments dans lesquels le lecteur peut s'impliquer pour s'imaginer dans la situation ou se remémorer une situation vécue, au risque de ne pas s'appliquer à beaucoup de pilotes.

A l'inverse, etre très généraliste et que ce soit perçu comme des banalités et donc peu impliquant pour le lecteur.

En tout cas, vos retours et la perception que vous en avez m'intéresse beaucoup pour les prochains REx.
Je vous en remercie.

Les éléments "psychologiques" du cas particulier sont évoqués dans les 2 premiers points à améliorer :
- "le pilote est dans un état d’euphorie après un vol très plaisant (...) ce qui l’amène à choisir un posé exigu à proximité de sa maison"
et
- "L’approche et l’atterrissage sont toujours des phases sensibles du vol. Il ne faut pas les banaliser surtout pour un pilote expérimenté sur site connu. Notre cerveau recherche en permanence à faire des économies d’énergie. Il va s’appuyer sur des routines, des schémas préétablis de pensée et des réflexes en limitant la prise d’informations et l’analyse."

(j'imagine par exemple le posé qu'on a fait 20 fois en passant facilement les lignes, on reproduit la trajectoire sans trop réfléchir, mais ce jour-là les conditions sont inhabituelles)

C’est intéressant mais ça me semble très général et impersonnel.
Je veux dire, j’ai lu, il me semble, que le pilote avait choisi de se poser à côté de chez lui , donc il connaissait la présence de ces lignes.
Plutôt que des généralités j’aurais aimé lire sa version pour savoir comment, bien que connaissant ces lignes, il les percute. Il peut y avoir tellement de raisons différentes.

Est-ce que les particularités du cas pourraient apporter une réflexion supplémentaire ?
Si c'est trop centré sur un cas spécifique (comme quelqu'un qui veut se poser près de chez lui pour éviter de marcher), beaucoup de gens risquent de ne pas se sentir concernés.

En tout cas, à titre perso, je n'ai pas de ligne à côté de chez moi. Donc, je ne me sentirai certainement pas concerné par une discussion de savoir pourquoi le pilote a choisi de prendre ce risque. En revanche, des lignes dans la campagne, en bordure d'un champ vachable = je me sens concerné