Génése d'un accident

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Pascoq:
Citation de: Willow16 le 29 Juillet 2014 - 02:08:00

mais tu peux pas decemment jouer au capitalo (on paye trop de taxe, l'Etat est un vampire...) et a l'anar (a bas le travail, a bas le modele...)



Ha! mais si! Ils osent tout....

http://fr.wikipedia.org/wiki/Anarcho-capitalisme

plumocum:
ou ça aussi http://fr.wikipedia.org/wiki/Anarcho-communisme

Willow16:
Louise Michel, reviens, ils sont definitivement devenus fous  :fume:

Pilou:
Salut ,
A la différence de Patrick je trouve ce post très intéressant - dès lors qu'il reste dans le cadre de son intitulé  :)
En effet il a le mérite de poser la question du mode de sélection au regard des prérogatives auxquelles pourra prétendre le futur diplômé.
Aujourd'hui il y a ne différence marquée de ces dernières selon que l'on s'oriente vers  le DE ou BP. Pour en revenir à celui-ci , et si mes renseignements sont juste , il ouvre à une qualification de biplace ainsi que d'enseignement de niveau  initiation et perf (pas de Cross ou siv, corrigez moi si je me trompe).
On est donc loin des objectifs de niveau"pilotes de rallye" évoqués un peu plus haut dans ce fil.
En conséquence je serai plutôt d'accord sur le fait qu'un futur candidat se doive de se frotter à la pratique de la compétition , un peu comme le dit également Patrick pour la "connaissance parapentesque" que cela peut lui apporter ainsi que pour lui permettre d'avoir une référence de là où il peut techniquement prétendre se situer dans ce domaine.
En revanche y appliquer un niveau par défaut ( la 1ere moitié du classement) ne me semble pas apporter grand chose, en tout cas pas plus que si on lui demandait de faire un décrochage ( vu que dans tous les cas il ne fera ni cross ni Siv) ; et sans doute rien qui ne puisse lui être amené  via d'autres vecteurs pédagogiques dans son cursus de formation.
Les sélections des nouvelles formations typées BP sont , en général, moins axées sur la performance pure tels qu'ont pu l'être certains BE car elles se veulent ouvrir un champs plus large à de futurs professionnels (en contrepartie d'une limitation de leur champs d'exercice).
A ce titre il me semblerait logique que la volet "compétition" ne soit pas nécessairement lié à un résultat, mais plus à une pratique , voire un volume de pratique; la répétition sans contrainte d'objectif pouvant , elle, amener une plus-value de  gestion , de pilotage, de préparation , de rencontres... :trinq:

Quand au volet accidentologie , là encore j'aurai tendance à penser qu'il ne faut pas se voiler la face: demander un résultat dans une activité se déroulant dans un milieu spécifique à risque amène nécessairement un accroissement du potentiel accidentogène ( à la différence du danger, le risque se caractérise par le bénéfice  induit que l'on estime en retirer , ici en l'occurrence la "validation" d'une manche) . Argumenter que le pilote se doit d'avoir le recul , l'expérience etc..; me semble être un argument spécieux. En effet le bénéfice recherché (la validation)est souvent très important puisqu'il se place dans le cadre d'un projet de vie, à cet effet il peut parasiter tout ou partie de la capacité du pilote à objectiver son état et son niveau .
Des exemples dans d'autres cultures sportives  (Guides de montagne, canyon...)peuvent parfaitement illustrer ce propos.
Je précise que je ne suis pas un professionnel du parapente, loin s'en faut, et que ce ne sont donc là que des observations . En revanche je pense connaitre un peu le domaine de l'évaluation dans le registre du sport puisque c'est en partie mon métier et que c'est la dessus que j'appuie ces quelques remarques à prendre avec légèreté , n'est ce pas   :mrgreen:

En tout cas don rétablissement à toi et bons vols à tous ceux qui ont la chance d'avoir un peu de ciel bleu.

Willow16:
quelqu'un peut-il mettre sur la table des chiffres du nombre de canditats presentant en moyenne l'examen par an et, s'il y en a un, du nombre maximum de places a la formation?

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