+ Le chant du vario +

Forum de parapente

21 Octobre 2025 - 12:00:28 *
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CSC
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 11 
 le: Hier à 23:05:42 
Démarré par DMOrsay - Dernier message par piwaille
Le message de Flora est poignant.
Courage à elle et précaution à tout le monde

Citation
« Une journée qui s'annonçait douce avec un programme qui me plaisait.
Un beau ciel bleu, un soleil d'automne qui chauffe juste ce qu'il faut.
Baskets chaussées, me voilà partie pour une séance d'aérobie en direction du petit sommet derrière la maison. Sortie en bonne compagnie.
Le chemin est beau, la vue à l'arrivée est magnifique, je suis heureuse.
Le moment de redescendre arrive, tout va bien.
Puis, en quelques minutes, tout bascule. Une minute de précipitation me coûte un retour au sol bien trop précoce.

Je me vois tomber, je sais ce qui va se passer. J'ai le temps de me dire : "Tu vas prendre cher". Je ne panique pas. Ça ne sert à rien de paniquer quand tu ne peux rien changer à ce qui va suivre.

Je heurte le sol fort, très fort.

Je sais que c'est grave.

Je regarde mes jambes, elles sont recroquevillées sous moi. Je ne les sens plus.

Les garçons sont juste au-dessus, ils descendent rapidement me voir. Je leur dis d'appeler le 112, je pense que c'est sérieux.

Ils sont hyper rapides et efficaces, ils téléphonent, rangent le matériel. Les secours arrivent en hélicoptère. En quelques minutes, j'ai quitté le sol et je suis aux urgences en train de passer radios et scanner.

Ayant changé de position, mes sensations au niveau des jambes sont revenues. J'ai une cheville grosse comme une patate et j'ai mal au dos, mais étrangement, je me dis que "ça va aller, que ce n'est peut-être pas si grave que ça". Quand le médecin revient après avoir vu les images, il n'a pas bonne mine... Il m'explique que c'est plus grave que ce que l'on pensait, il est étonné que je puisse bouger mes jambes, car une partie de ma quatrième vertèbre est à un endroit du corps constitué des nerfs de la moelle épinière.
Il m'explique qu'on va m'opérer en urgence à Grenoble. Me voilà donc partie pour Grenoble ayant pour consigne de ne pas bouger d'un cil !

 L'opération s'étant bien passée.
Maintenant, il est temps d'accepter.
* Accepter, les 8 visses et tiges dans mon dos.
* Accepter, ma nouvelle mobilité.
* Accepter, les progrès, mais aussi parfois les difficultés.
* Accepter, mon plâtre ayant pour mission de réparer toutes mes petites fractures et autres bobos dont je n'ai pas retenu les noms.
* Accepter, de prendre le temps de me réparer.
* Accepter de passer un hiver différent mais tout aussi riche.

Je veux être un Phénix qui renaît de ses centres.

À l'hôpital, j'ai vu des choses terribles et j'ai pris encore plus conscience de la chance que j'avais. Dans cet accident, mais aussi dans la vie.

Petit à petit, je vais donc continuer d'écrire ma petite histoire en profitant de chaque instant de la vie. Parfois, ce ne sera pas facile, mais la vie est trop courte pour se laisser gagner par des émotions négatives. Même dans la difficulté, je veux pouvoir me souvenir des moments du passé avec bonheur ou légèreté.

Cet hiver, je n'aurai pas de victoire ou de succès sur les skis, mais ces derniers jours, j'ai des victoires tous les jours: me lever, marcher, être plus autonome pour des choses simples. Je me nourris donc de ces petites réussites et je garde mon sourire et je continue de croquer la vie à pleines dents !!

Je remercie d'une manière INFINIE toutes les personnes qui ont été là pour moi !!!
Je m'excuse d'avoir fait vivre à mes proches cette situation d'inquiétude !
Et je les remercie vraiment vraiment pour leur présence, leur parole, leurs mots réconfortants, encourageants. Vraiment, c'était incroyable et d'une aide infiniment précieuse.
Merci aussi aux Secours de Briançon, aux Urgences de Briançon et au service de Neurochirurgie de Grenoble. Merci aux infirmières, juste incroyables.»

 12 
 le: Hier à 20:58:48 
Démarré par DMOrsay - Dernier message par DMOrsay
https://www.ledauphine.com/skichrono/2025/10/20/j-ai-le-temps-de-me-dire-tu-vas-prendre-cher-le-temoignage-poignant-de-flora-dolci-apres-son-crash-en-parapente

 13 
 le: Hier à 19:54:36 
Démarré par LuckIbex - Dernier message par LuckIbex
Un copain qui a un anniversaire symbolique et qui s'est marié cet été, voici deux bonnes excuses pour partir en weekend de parapente !
Comme s'il en fallait...

Après de (très ? Trop ?) nombreux échanges sur le groupe WhatsApp, des plans sur la comète, des idées, des suggestions, des échanges en privé, on a un plan.
Enfin, plus ou moins.
Des idées principales, des plans B, voir C et une prise de décision le vendredi soir sur la direction générale et une confirmation le samedi matin OKAZOU, le RDV est pris.
On se retrouve à 8h samedi pour charger le van et se mettre en route.
Premier problème, la boulangerie qui devait nous servir à prendre le café, petit déj', sandwiches de midi et surtout le cadre nécessaire pour valider notre indécision est fermée.
M*rde.

Décision prise, on ne peut pas décider sans café, on charge le bus, on va parquer la voiture du seul qui est venu en voiture et qui doit la laisser quelque part et on trouve un café.
Une incompréhension théinée plus tard (bah oui, un thé sans théine c'est un thé "sans thé" donc sans feuille de thé, et comme un sachet avec des "herbes hachées à infuser" c'est sans feuille de thé, donc un sachet de Lipton Noir c'est bon. Non ?).
Donc notre cher ami qui voulait un thé sans théine aura un thé sans feuille entière de thé mais avec théine.
Il a failli avoir un thé froid aussi, ou tout un tas de thés différents. Le mot Roiboss a perdu la gentille dame qui ne comprenait pas.
Il a donc eu un thé. Noir.

Les cerveaux réveillés, nous confirmons la destination de Zinal.
Bon, au moins nous n'avons pas changé d'avis.

Arrivés sur place, reco de l'attero pour ceux qui ne sont jamais venus et départ pour la Corne.
Le groupe est assez varié dans sa composition et expérience, certains sortent tout juste de brevet ou on peu volé depuis.
Un premier vol tranquille de reconnaissance s'impose alors.
Il fait frais en l'air, les petits gants suffiront mais heureusement que le vol ne dure pas plus longtemps.
Quelques exercices pour se chauffer et se faire plaisir et voici déjà le premier posé.
On grignote un bout du picnic pendant qu'on remonte, la cabine s'arrête un moment, nous offrant un sauna non nécessaire.
Au moins, on profite de regarder les speedflyers qui longent les reliefs en dessous de nous.

Au second vol, les thermiques ne seront encore pas établis pour monter. Le but est d'aller renifler un peu partout, voir ce qui marche ou pas et tenir aussi longtemps que possible.
Un genre de reco pour l'après-midi (même s'il est déjà midi passé) et une initiation thermique pour les moins expérimentés.
On a zéroté un bon quart d'heure dans un thermique mal développé.
Enfin, c'est ce qu'on se disait jusqu'à ce qu'un type bien plus affûté arrive plus haut, nous thermique dessus et s'en aille avec son gain.
Il est arrivé plus haut, ça doit être ça. ça ne peut être que ça.

Et finalement, vient le moment de tenter d'aller plus haut.
Pendant la remontée, quelques voiles ont réussi à s'extraire mais beaucoup sont encore coincées juste après le déco, à tenter de sortir. Un duo nous regarde de très haut depuis un moment déjà.
Un petit nombre ont déjà réussi la transition et remontent gentiment contre Tracuit et le Bishorn. On les verra longtemps se promener le long de ces crêtes.
Le temps d'arriver en haut, quelques-uns de plus ont réussis, ce sont quelques exceptions, nombreux sont les déçus, reposant assez vite pour retenter ou partant sur un autre genre de vol.
La face ouest de la crête donne quelque chose mais la marge est faible et une erreur peut vite coûter de devoir poser du mauvais côté et faire un long retour à pied depuis le barrage de Moiry.
De plus, le déco est sous le léger vent du nord, faible mais suffisant pour faire perdre quelques précieux mètres qui vont manquer lors du ralliement de la crête.
La brise thermique est là mais génère quelques turbulences avec ce nord, il faut être prêt au bon moment. Le duo s'est séparé, on perd contact d'un des deux mais l'autre semble accroché au milieu de nulle part, si haut.
1, puis 2, puis 3 et on arrête de compter, les dust-devils se déclenchent le long du fil, jamais méchants mais indiquant cette confluence qui peut surprendre.
Nous restons un long moment à observer, d'une part parce que de nombreux pilotes étaient là avant nous mais aussi parce que nos jeunes ailes ne sont pas complètement à l'aise en voyant ces Iota, Zeno, Artik et autres Swifts décoller souvent sans élégance et retouchant les pieds parfois plusieurs fois avant de décoller.
Leurs finesses aidant ensuite à compenser facilement les pertes initiales.
Patience donc.
Puis notre premier s'élance, profitant d'un léger face.
Mais la sonde du pylône sommital indique elle un léger vent arrière, quasi rien, l'hélice tourne à peine.
Toutefois ce sera suffisant pour faire rater ce déco. Portée par la brise thermique, l'aile monte facilement.
Mais une fois qu'elle passe "au-dessus" de cette brise qui longe le sol, elle se retrouve alors dans ce léger vent arrière, il faut courir.
Puis les choses se gâtent, je vois son aile qui semble se dégonfler et un petit silence s'installe.
Une fois en phase d'accélération, il a remonté trop vite et trop haut ses mains, plus assez freinées, l'aile l'a un peu dépassé pour prendre la vitesse, la pente s'est accentuée et ses pieds n'ont pas suivi dans la caillasse.
Coûts de l'opération: un casque défoncé, une doudoune déchirée de partout, quelques trous aux chaussures et un pantalon écorché. Ah oui, et la partie sac-à-dos de la sellette sera à recoudre.
Quant au pilote, il s'en sort avec une fine éraflure au nez et surtout des douleurs musculaires. La bonne étoile du weekend.

Gonflages de contrôle de sa voile, on se pose, on se calme, on temporise. Cette voile toujours scotchée si haut, si loin !
De toute façon, les pilotes qui sont sortis se comptent sur les doigts des deux mains, c'est tout. Et même si c'est faux, on ne va pas rajouter de la pression à ce moment.
Les autres ont abandonné ou font toujours un genre de soaring thermique le long de la crête.
Rien ne sert de se presser.

Finalement, ça se stabilise mais les thermiques se sont bien essoufflées.
Nous décollons les uns après les autres, les plus expérimentés en dernier.
Je croise la vallée pour aller en face ouest et tenter de récupérer un peu d'altitude et prolonger le vol. Au-dessus de moi, toujours cette voile qui me motive.
Transition sans histoire mais je ne raccroche pas, tout au plus je zérote un peu. Je longe alors le relief en direction de l'attero où m'attend presque toute l'équipe, sauf le dernier qui posera en même temps que moi, il a pris plus direct et donc volé moins longtemps.
Les couleurs sont magnifiques, entre les mélèzes jaunes, les sommets blancs, les rayons dorés du soleil, on en prend plein les yeux.
Un dernier flare pour poser et nous voici prêts à passer à la seconde phase de ce weekend, décider du lendemain, qui décidera de la soirée.
Et là-haut, toujours cette voile.

Les conditions sont moyennes, voler en altitude ne peut pas trop se faire, on cherche un bocal pas trop loin. Verbier ? Pff on a le Magic, on connaît, on a envie de découvrir autre chose. Saas-Fee ? Risqué avec le sud, seulement 400m de dénivelé avec la cabine, pas mal de route…
Et une idée fait peu à peu son chemin, un plan qui permet de se faire plaisir sans pression, c'est décidé, on ira dans le Chablais Vaudois.
Ceci nous permet de nous décider où poser les tentes ce soir.
Sur le chemin, la famille de l'un de nous a un genre d'abri forestier sur un bout de terrain perdu. C'est bien vendu, tout le monde valide.
Au passage on récupère la demi-meule de raclette que j'ai oubliée à la maison...
De toute façon elle était mieux au frais que dans le van au soleil toute la journée.
En plus j'étais bien chargé le matin parce qu'en plus de mon matériel perso, j'avais pour chacun de l'équipe 1 paire de crampons, piolet et des baudrier, cordes, ainsi que la quincaillerie pour aller faire un déco glacier si les conditions le permettaient.
La météo n'était plus aussi favorable que les jours précédents mais je préférais tout avoir sous le coude que de devoir renoncer par manque de matériel.
Donc, elle était doublement bien cette demi-meule au frais.
Bon et puis, heureusement qu'on repassait devant la maison aussi, sinon il aurait fallu en racheter une et garder l'autre pour une prochaine raclette, quelle tragédie.

C'était l'esprit du weekend, avoir le maximum d'options pour décider sur le vif de la meilleure.

Arrivés en haut, on démarre le feu, on décapsule une bière et la soirée peut commencer !
Raclette au feu de bois, c'est le paradis.



Un chalet pas loin semble réunir une jolie équipe aussi là pour fêter.
On discute pas mal de tout et de rien, on se vanne, on s'inquiète un peu pour le copain qui semble se rigidifier à vue d'œil.
On débrief aussi de ce qu'on a fait, ce qui a marché ou pas, des différences ou constats sur le terrain par rapport aux prévisions.

Puis vient le moment de dormir, "Départ à 8h ça vous va ?" et tout le monde acquiesce, on va tenter de profiter avant que le mauvais temps n'arrive !

Au réveil, on distingue vite ceux qui ont bien dormi et ont déjà rangé la moitié de leurs affaires des autres.
Malgré que tout soit à disposition pour se faire un café italien sur mon réchaud, on tergiverse "sinon on va à la boulangerie, on prend de quoi déjeuner et un sandwich pour midi ? Et comme ça on y prend aussi le café".
Finalement on boit le café sur place pendant que les derniers rangements se font. Et on passera quand même à la boulangerie mais seulement pour le picnic.
On a un train à chaque heure ronde, facile.
09h30, on n'est toujours pas partis, heureusement qu'on a parlé d'être loin à 8h..
Peu importe, on est pas pressés et les prévisions du matin sont meilleures que la veille, pas de rentrée immédiate des vents.

Train attrapé, notre pilote de la veille renonce à voler, il a mal partout et est fatigué, il préfère la faire calme et se propose de nous redescendre le van à l'attero en plaine. Merci à lui.
Petite marche d'approche facile et on atteint le tout nouveau tout frais décollage.

S'ensuit un joli vol le long de la crête principale, dans l'appui dynamique du léger sud qui me maintient bien haut pendant que deux copains ont pris une ligne moins bonne et descendent gentiment.
Pas grave, de toute façon ils ont encore un peu de marge.
Un fois posé, vient le moment fun: tester la tyrolienne à secours !
Départ pour la clairière, un peu de montage de cordes, deux mouflages et la voici prête et tendue.
On tire chacun un secours, soit le sien si on devait de toute façon le replier, soit des vieux qui ne servent qu'à ça. Je m'évite de devoir replier le mien que je viens de faire suite à mon SIV de septembre.
On range tout et on constate que ça peut encore bien voler.
Il y avait une école sur le site de vol pas loin qui nous informe qu'ils arrêtent de voler mais que c'était le meilleur vol de la journée, le plus calme et agréable.
On est 4 motivés à voler, le dernier préfère en rester là, un peu fatigué et se propose gentiment de gérer le van. Van dans lequel il y avait pile ce qu’il fallait de matériel en doublon pour ceux qui ont tiré leur secours.
Et effectivement, c'est le plus beau vol de la journée, une lumière à tomber, pas de vent, c'est juste beau.
On se laisse glisser, on pose en douceur et c'en est terminé.
Un peu (beaucoup) de rangement de sacs pour tout ce fatras et nous voici prêts à rentrer !

Un beau weekend de vol, instructif et surtout de chouettes moments entre copains.
Vive le vol libre.

Edit: je dois changer ma façon de mettre des images, il faut que je les héberge ailleurs

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 le: Hier à 19:15:24 
Démarré par Chti bauju - Dernier message par Chti bauju
Bonjour , je cède mon Sac KORTEL 220 , état nickel .
130 euros
Pat   forum de parapente

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 le: Hier à 18:41:22 
Démarré par Charbilopi - Dernier message par piwaille
Salut
A mes début, le gars qui nous encadrait nous avait dit que l'on avait moins de 4 secondes pour ouvrir lancer le parachute de secours pour éviter sa destruction.
J'ai gardé ce temps en tête et je pense qu'on parlait alors de désuspentage total ce qui est quasi impossible maintenant.

4 secondes ça correspond à une vitesse de chute libre de 40 m/s. Ceci correspond  aux vitesses avancées.
oui, il ne faut pas oublier qu'en situation "normale", il reste quand même un gros frein aérodynamique qui nous accorde un peu plus de temps de décision (celle-ci est à mon avis plus conditionné par la proximité du sol)

En revanche hein ? du coup, dans le cas d'un 2nd secours embarqué par un acrobate (plus susceptible de réaliser un désuspentage total), il me semble qu'une méthode consistant à réaliser volontairement une ouverture plus progressive peut avoir du sens ?

 16 
 le: Hier à 18:36:17 
Démarré par Slayer - Dernier message par piwaille
 clown heureusement que les secours sur le forum sont gratuits Mr. Flood
 clown  forum de parapente

 17 
 le: Hier à 16:58:11 
Démarré par niac - Dernier message par darkside
Pour ceux qui comme moi sont sous Linux et veulent quand même mettre à jour leur Evo2:

- Une machine virtuelle (VirtualBox) sous Win10 avec Syride Link marche parfaitement. L'USB est détecté une fois réglé le soucis de groupe de l'utilisateur pour l'usb de VirtualBox. 100% fonctionnel, mais ça fait 10GB de mangé sur le disque pour une machine virtuelle complète juste pour ça  Confus

- J'ai aussi installé Link avec Wine, et le programme se lance sans soucis, à part que pour le moment je n'ai pas réussi à lui faire détecter l'instrument sur l'USB en mode Link ... mais je ne ma suis pas beaucoup battu. Je mettrais l'info si j'y parviens (jours de pluie !)

Bons vols sous la pluie ...
Une version linux, ça serait tellement bien

 18 
 le: Hier à 16:29:48 
Démarré par Bipbip - Dernier message par yves
"le conducteur du parapente"... encore un excès de vitesse!

 clown

 19 
 le: Hier à 16:20:42 
Démarré par Bipbip - Dernier message par mike57
Encore 2 qui voulaient faire un petit tour d'hélico  Mr. Green

https://www.clicanoo.re/article/faits-divers/2025/10/16/saint-leu-un-parapente-se-serait-ecrase-sur-la-falaise-a-ravine-a-poux

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 le: Hier à 13:05:48 
Démarré par Charbilopi - Dernier message par stephen
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais j'ai toujours été étonné par cette notion de 'retarder le temps d'ouverture' sur l'utilisation des secours. Pour moi, une demie seconde peut faire la différence entre vivre et mourir.

Je suis d'accord avec toi et je ne sais pas dans quel contexte tu notes le 'retarder le temps d'ouverture'. Si c'est le retarder volontairement, je ne peux pas m'empecher de faire le rapprochement avec la chute libre (où ils utilisent même des glisseurs pour retarder encore plus l'ouverture.
L'idée, c'est que quand tu chutes à 150km/h, si le pépin s'ouvre d'un coup, ben tes tripes, elles continuent +/- à la vitesse initiale et le bonhomme, il est mal en point. Du coup, l'ouverture du parachute est volontairement ralentie pour que la décélération soit supportable pour le corps humain.

Peut-être existe-t-il des cas d'usage comparable avec ces secours hein ?

Les pliages recommandés par les fabricants sont les seuls recommandable. Ceux-ci sont fait pour que le parachute de secours en cas d'ouverture avec une vitesse de chute importante n'explose pas.
Il n'est pas du tout conseillé de plier un parachute carré avec un pliage classique d'un rond.
Les parachutes de secours ou tu les replies vers l’intérieur en plusieurs volets peuvent être caractérisé de "pliage temporisé"

Pour moi en plus de votre recherche de volume minimum donc light et potentiellement moins durable, il faut voir aussi à trouver un parachute facile à plier. Ce n'est pas le cas d'un YETI UL par exemple.
On s'y fait, mais j'ai pas mal de personne qui ne sont pas rassurés avec ce parachute qui est semble être un bon produit mais pas facile à plier.

Je recommanderai n'importe quel parachute carré / hybride ayant de petites garcettes de pliage permettant de facilité grandement le pliage comme l'Ozone Angel SQ PRO, le Airdesign Donuts récents, les Supairs, le SQR ... et il y en a beaucoup d'autres, liste non exhaustive!

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