Alors ça fait quoi de se faire agresser pour rien ? T'as appris un truc ? J'ai fait avancer le système ?
Tu fais quoi déjà comme boulot ? Rappel nous ?
Ils sont tous bons dans ta profession ?
A+
L
ça me fait pas grand chose en rapport aux passagers blessés ....
être un dieux n’évite pas les erreurs, un de mes potes est un des meilleurs acrobate mondial et il fait des erreurs quand il prend trop de risque
se dire je suis le meilleurs et je rogne ma marge est incroyable à lire, sur le coup de l’émotion sans doute, ou cela démontre réellement l'inconscience collective et le syndrome du surhomme du pro , qui en a amené certains à décoller au GPS ... , ça c'était vraiment interdit donc pas bien ,
je suis professionnel de santé, on fait joujou toute la journée avec des patients fragiles de 2 jours à plus de 100ans , on a une accidentologie ridicule car la profession a une attitude collective responsable et on ne se cache pas derrière un pseudo service rendu à a collectivité (la ffvl pour vous ) pour se faire prendre en charge notre Responsabilité civile professionnel par les autres
être bon s'est proposer des beaux vols ou bien enseigner dans le parapente et avoir un maximum d'élèves qui continuent la pratique
c'est avoir un taux de traitement efficace dans le mon job
considérer l'accidentologie comme faisant partie d'une définition de ce qui détermine la qualité globale d'une profession est une erreur en soi
ne pas faire cette distinction une bien plus grosse si l'on considère ton implication fédérale car cela ne semble pas remettre en cause ton attitude direct envers cet accident en particulier qui te motive même à dire que tu est bon donc tu te permets de rogner ta marge, mais c'est vrai pour toi les loi de la physique que tu rappel souvent pourtant ici au autre (et plus bien et de façon intéressante d'ailleurs) ne sont pas les même
il y a quand même un truc important pour ce qui est des obligations et de la responsabilité du pilote
que l'obligation de résultat ne soit pas atteinte à cause d'un défaut de respect de l'obligation de moyen est un facteur aggravant lorsqu'il s'agira d'aborder la responsabilité du pilote , bon courage si le tribunal venait à estimer que ne pas se servir de l'attéro officiel est une faute
tu pourra toujours aller le défendre en disant qu'il y a des bon pilotes et des mauvais pilotes , que c'est un bon pilote mais pas de bol c'est pas passé et que la ffvl n'interdit pas les reposes au déco et qu'en france ce qui n'est pas interdit est autorisé
.... fort à parier qu'ils vont prendre leur dico pour relire la définition des termes terrain d atterrissage et terrain de décollage et que la ffvl fera profil bas
page 19 QBI:
"Cependant on rappellera qu’indépendamment de cette responsabilité civile pour laquelle il y a une
garantie d’assurance, rien n’interdit la victime, ou le parquet du procureur de la République, de
poursuivre le pilote biplaceur si les circonstances démontrent que celui-ci a eu un comportement justifiant
une poursuite pénale. "
page 20
"5.2. METEOROLOGIE - AEROLOGIE
Ce domaine est traité dans le Manuel du Vol Libre
Un principe : les aérologies incertaines ou dangereuses sont à éviter absolument ! ... "
page 25
"5.4.2.5. L'atterrissage
- briefing préparatoire à l'atterrissage,
- reconnaissance du terrain (anticiper la force et la direction du vent qui détermine la construction
de l'approche), perte d'altitude, positionnement,
- construction de l'approche, différentes prises de terrain, dernier virage,
finale (haute, longue,
rectiligne, vitesse adaptée), - arrondi (plus précoce qu'en solo et dosé), posé (freinage complet, bras tendus afin de résorber
toute la vitesse/air avant le touché), posé de la voile et dégagement. "
tu m'explique comment tu fais une longue final en reposant au déco à montlambert
je t'invite à relire la page 30 , extrait doux à lire
"5.6.2. REMISE EN QUESTION
Dans sa pratique monoplace, le pilote "s'arrange" inconsciemment avec "sa technique". Celle-ci
diverge peu à peu de celle de ses premiers apprentissages :
- Précautions et procédures préalables au décollage parfois amputées ou escamotées (visite prévol,
choix de l'endroit, des conditions, du moment, actions vitales, temporisation contrôle)...
- Course souvent "mangée", rattrapée par le jeu de l'incidence aux freins, d'où incidence variable au
décollage,
- Installation prématurée dans la sellette,
- Conduite du vol "égoïste", marge de sécurité étroite,...
- Atterrissages à demi construits, à demi réussis,...
- Finales écourtées, arrondis trop bas,...
- Freinage indécis, imprécis, incomplet, d'où course nécessaire, ce qui sera difficile en biplace...
Soit ce que nous appellerons le "Syndrome du Pilote Confirmé", expression que nous devons à
Philippe MERMOUX.
La technique devient ici une adaptation tellement personnalisée qu'elle ne répond plus ou peu aux
critères sur lesquels elle s'était fondée. Or le biplace mettra à la loupe toute déficience technique au
décollage et à l'atterrissage notamment, car dans ces deux phases, les exigences vont être plus
rigoureuses qu'en monoplace :
- Course plus longue à faire à deux,
- Contrôle constant d'un appareil plus grand, difficile à rétablir à cause d'une plus grande inertie,
- Atterrissage plus problématique : vitesse, bon moment du freinage,..."
franchement je suis abasourdi que tu rentre en mode aggressif pour défendre l'indéfendable et provoque la controverse en affirmant prendre les mêmes risques pour aller chercher les défendeur du vol "libre" tout en réformant la QBI en insistant sur la sécurité
syndrome Philippe MERMOUX+ un autre syndrome que je ne connais pas , je suis pas psy
mais c'est presque de la schizophrénie