progression ou loisir??

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levautour: il est vrai que si on s'en tenait à A / B / C / D / VNH ce serait plus clair....

piwaille:  :coucou: je viens de faire un peu de (vieux) ménage ... j'en profite pour fusionner quelques question toujours en suspens et faire un up sur ce sujet ... je veux bien renommer les catégories ... mais pour l'instant j'ai toujours pas de solution qui plaise à tout le monde ... le principal problème étantCitation de: Seb26 le 27 Février 2010 - 19:24:44 Et se cantonner aux homologations n'est pas souhaitable non plus car une huapi et une aspen 3 sont toutes les deux en ENC et portant il y a bien une aile école et une voile de sport. donc toute catégorisation basée sur les normes (EN, DHV afnor, 13A ...) ne me parait pas une bonne idée

Paragliding old bag: Citation Vers 1925, il y avait ce genre de débat dans le monde de l'alpinisme, et Willi Welzenbach mit tout le monde d'accord en proposant une classification en 6 degrés : I - sentier de randonnée II - passages où on peut devoir mettre les mains III - escalade facile, corde non indispensable IV - escalade en cordée accessible à presque tout le monde, assurage par pitons non indispensable dans les longueurs V - escalade difficile avec points d'assurage dans les longueurs VI - difficultés extrêmes pour l'élite des grimpeurs. Très vite, il fallut subdiviser en ajoutant inf ou sup pour nuancer ces cotations. Les Italiens inventèrent le sesto superiore, en fait du très dur avec passages de VI (en libre), le +VI correspondant à de l'artif surplombant avec des clous plus ou moins véreux, dont la pose procurait les joies d'un artisanat raffiné. Au début des années 1970, Reinhold Messner publia un bouquin qui fit du bruit, intitulé "le 7ème degré". Livanos avait déjà écrit un article à propos de sa première à la Cima Su Alto, intitulé "aux portes du 7ème degré". On en parlait depuis pas mal de temps, de ce VII... A Fontainebleau, nous nous y refusions et le VI restait du VI, avec les nuances a (inf), b (moyen), c (dur), puis jusqu'à j. Les Américains refusaient le VI, pour eux c'était une valeur asymptotique et ils classaient les difficultés en V sur un nombre de nuances ouvert vers le haut (de 5.1 à 5.10) Maintenant il y a du VII et du VIII, et moi qui ai toujours plafonné à VIa (je les passais tous) avec des buts dans tous les VIb que j'ai tentés, je ne sais plus trop où j'en serais si je pouvais encore grimper. Il semblerait que la classification des parapentes puisse suivre une telle évolution, qui permettrait d'y voir un peu plus clair que le brouillard des normes EN ou DHV (LTF). On pourrait ajouter a (inf) b (moyen) ou c (sup) selon les performances de voiles et les difficultés éventuelles de pilotage. Cela pourrait donner, à mon avis, des renseignements un peu plus précis aux pilotes moyennement ou peu aguerris. Pour exemples, en me limitant aux voiles que je connais : L'Alpha, la Boléro, la Mojo, c'est du A. A confier aux débutants, mais il y en a qui sont un peu moins des brouettes que les autres, je n'ai pas assez volé avec ça pour avoir une opinion. La Joy était une B, la Shaolin aussi, mais B- pour l'une et B+ pour l'autre. La Tequila 2 et l'Epsilon 5 seraient alors B-, la Dolpo et l'Arriba B, la Chili 2 B+ comme sans doute la Mentor 2. L'Artik serait C-, la Sigma 8 aussi, l'Awak C et je ne sais pas trop où on pourrait classer la Spiruline. Les voiles de progression seraient alors en B- et les voiles loisir en B/B+, pour ceux qui ne volent pas beaucoup et/ou ne font pas de cross. Dans la cotation, il faut aussi faire intervenir l'allongement, une C étant par définition nettement plus allongée qu'une B ce qui implique un pilotage différent. Il y a quand même des B qui vont mieux que des C. De même en escalade, il y a des bons +IV bien velus (par exemple la fissure Mummery au Grépon ou la fissure de grand-mère à la Ryan) nettement plus cognés que des V en grattons plus techniques mais paisibles comme les dalles noires dans la Walker... toutes choses égales par ailleurs, il n'est pas question de comparer une aimable "course facile pour dames" Mummery dixit) comme la traversée du Grépon, avec une grande entreprise comme la Walker. En guise de conclusion, il m'est difficile de conclure. A la limite je pourrai proposer d'établir une classification des voiles sous forme d'une table, comme Le Vautour avait tenté avec la vivacité. A tout hasard, der pour me lancer dans cette galère. Salut et fraternité*

poldof: Pour moi, le parapente est un loisir. Donc les ailes sont toutes "de loisir". A part ça, quelque soit la dénomination choisie, il y aura toujours l'aile limite entre 2 catégories donc aucune classification parfaite.

kk: Début Intermédiaire Sport Cross VNH Mini-voile Speed-Fly Speed-ride

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