pathologie lié à la pratique du parapente
JeanJ:
Et en inde, j'y suis, et ce que je vois par ma fenêtre c'est des mecs qui mangent des chips et des barres chocolatées, et qui s'entassent dans les Mac Crado et KFC à toute heure.
Ce que je vois c'est des gamins de riches trop gras tous les jours, ici l'embonpoint est vu comme une vertu.
Et je vois également des centaines de personnes dans les halls d'hopitaux ou l'on pratique la médecine MODERNE (certes, pratiquée d'abord en occident, mais percue la bas comme un moyen de survivre a certains aléas...)
Bref j'en ai marre des clichés, j'en ai marre des charlatans, je suis d'accord avec l'absence de culture scientifique navrante dans notre éducation et pourtant je suis jeune.
Ok avec l'argument de la maman qui prend soin de son gosse, mais elle lui filerait de l'eau sucrée le gamin n'y verrait rien et on n'enrichirait pas des "labos" qui vivent sur l'ignorance collective.
Bonsoir.
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Boldux:
Citation de: yves le 19 Août 2013 - 08:27:40
Bah!
Au moins les boules ne raccrochent pas les suspentes, parce que les poignées là ça fout bien la m****e des fois...
Perso j'ai des poignées RR Acro mais je ne les utilise pas de la manière pour laquelle elles ont été conçues, je tiens à pleine main le manchon néoprène qui couvre le noeud, la tranche de la main reposant sur la barre. C'est top, sensibilité et confort impeccables même sur de long vols.
Le poids de la main reposant sur la barre, je n'ai pas à crisper les doigts comme avec la prise en griffe. De plus aucune suspente ou sangle n'entrave la circulation sanguine.
Illustration (c'est pas moi dans la video :mrgreen: )
http://vimeo.com/59258772
Au passage il est recommandé de mettre des élastiques entre la commande et les maillons principaux dès lors que l'on monte des poignées type barres ou boules, même si on laisse les poulies. Sans, du fait de leur poids et inertie elles ont la fâcheuse tendance d'aller se balader dans le suspentage dès qu'on les lâche.
Hub:
Citation de: frigorifix le 19 Août 2013 - 15:07:09
Par exemple, un petit avec une rhino : comme chacun sait, à part laver le nez et attendre que ça passe, il n'y a pas trop grand chose à faire et il n'y a pas de remède miracle. En rajoutant quelques granules, on ne changera rien (dans les deux sens : on améliore pas mais on ne nuit pas). Et au final ce que ça fait : une maman qui administrant consciencieusement ses granules à son petit se sent rassurée car elle participe à la guérison du minot, du coup elle est zen et ça le petit, il le perçoit et il n'y a aucun doute sur le fait qu'il est plus zen qu'avec une maman qui tourne en rond en se demandant quoi faire.
"L'art de la médecine consiste à distraire le malade pendant que la nature le guérit." -- Voltaire
frigorifix:
Citation de: JeanJ le 19 Août 2013 - 16:39:21
Ok avec l'argument de la maman qui prend soin de son gosse, mais elle lui filerait de l'eau sucrée le gamin n'y verrait rien et on n'enrichirait pas des "labos" qui vivent sur l'ignorance collective.
Oui, mais pour le coup, ça irait à l'encontre du but recherché : donner confiance à la maman dans le fait qu'elle fait ce qu'il faut pour son petit. On est bien d'accord que si elle lui donnait de l'eau, même pas sucrée d'ailleurs, le résultats serait le même.
Dans le genre : la musicothérapie en oncologie... Ça fait sourire voire, franchement rigoler non ? Et pourtant, il est évident que si le patient est détendu et qu'il se prend en main, son système immunitaire est plus apte à se défendre que s'il mange un anxiolytique, un antidépresseur et un hypnotique pour arriver à "faire face".
Bradepitre:
En oncologie les résultats sont les mêmes que les patients dépriment ou pas. Comme quoi.
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