1)
https://data.ladn.eu/blog/tendances-com/biais-survivant-erreur-analyse-erreurs/ [+
https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_des_survivants ]
2)
https://chessintheair.com/the-risk-of-dying-doing-what-we-love/Top ces deux articles ! Merci Windslave !
M’ont tellement intéressé que je les ai réunis et mis sous une forme (que je pense) plus simple (à lire). Problème : je peux pas joindre le PDF ici, il fait 1,47 Mo et la taille max est 399 Ko.
A mon humble avis, leur contenu constitue la base cruciale de l’attitude sécure du parapentiste (…et pas que) :
1) être toujours conscient du risque que l’on prend à chaque vol et agir en conséquence : cf. la conclusion de l’article ‘The Risk of Dying Doing What We Love’ : «
Je crois que nous devrions tous être pleinement conscients des risques que nous prenons, et que nous devrions laisser notre conscience de ces risques nous inciter à prendre les préparatifs et les précautions appropriés pour réduire ces risques autant que possible. […] Si nous fermons les yeux sur les risques (comme nous sommes naturellement enclins à le faire pour éliminer cette chose embêtante appelée dissonance cognitive), il est également peu probable que nous fassions ce qu’il faut pour les contenir » ;
2) (notamment) lorsqu’on veut progresser, que l’on sort de sa zone de confort, et qu’on se fixe des objectifs de vol (…mais pas que, donc), ne jamais concentrer seulement son attention sur les vols et les pilotes ayant atteint ce type d’objectifs (ce qui reviendrait à surévaluer ses chances de succès et se mettre en danger) : ceux-ci sont (possiblement en tout cas) des exceptions statistiques plutôt qu’un échantillon représentatif (qui prendrait en compte également tous les échecs et les accidents).
C’est sur cette base je pense qu’il faut asseoir le triptyque LIBERTÉ
↔ RESPONSABILITÉ = SÉCURITÉ.
Bof, rien d’extraordinaire finalement : la conclusion apparaît d’une banalité navrante …qu’il s’agit évidemment de ‘débanaliser’ aussi sec.