Accident dans le Finistère |
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fabrice: On ne peut pas faire une généralité d'un seul exemple. Toute turbulence aérodynamique s'amortit par frottement avec le temps mais aussi gonfle en volume réduisant aussi son intensité. Je ne ferais pas le pari de me croire à l'abri si j'étais sous le vent du passage d'un tel avion à une altitude similaire. |
Stef7550: Le problème en bord de mer c'est qu'en cas de croisement avec un hélico, on se retrouve sous le vent de celui-ci avec tout ce que ça peut impliquer... j'en ai déjà croisé un... j'etais pas fier. Et je ne suis pas certain qu'ils sont tous bien conscient de l'impact de leurs turbulences de sillage :roll: |
M@tthieu: Dans le kit de survie FFVL, on devrait inclure un pistolet de détresse ! Vou qui étiez sur le lieu, vous aviez entendu à la radio qu'un hélico allait passer ? J'ai lu qu'il y avait une enquête de la gendarmerie concernant cette disparition tragique. |
fabrice: ... comme dans tous les accidents mortels. |
Gillesf: On a déjà tous ressenti le sillage d'un simple parapente et de son pilote (3 m3, 80kg, 30 km/h et propulseur) qu'on croise à quelques dizaines de mètres. Alors comment peut-on imaginer qu'un avion, ou encore plus un hélico de plusieurs centaines de m3, lancé à grande vitesse, ou pire en vol stationnaire pour un hélico, ne vont pas créer de turbulence importantes pour nos chiffons moux, même à plus de 100 m autours, au dessus y compris. :grat: Ce que l'on peine a imaginer c'est que 3 ou 4 min après, le le sillage soit encore présent. :koi: :vrac: Je pense que si les pilotes de gros engins volants sont conscients des turbulences liées à leurs sillages, en revanche, ils ne savent probablement pas à quel point nous sommes fragiles et sensibles comparativement à eux. :fume: |
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