ben si tu veux que je te raconte ma vie
[ma vie /on]
au tout début où je rencontrais des thermiques... tout ce que je ressentais c'est que ça secouais... ça secouais plus ou moins fort... basta
(et quand ça secouais trop pour que je gère, j'allais me poser)
donc les gros thermique... j'en ai ptet croisé quand j'étais débutant en thermique... mais j'pouraris pas te dire (donc no soucy
)
quand j'ai commencé à m'amuser en thermique, j'ai vécu mon record de thermique sur le plateau (devant le déco sud) à st hil... derrière la rangée d'arbre et un ptit truc teigneux... +8
il m'a fermé une 1/2 aile... mais moi j'étais tellement contant que tout ce qui m'importait c'était de pas le lacher... ce qui corespondait au contre sellette (sauf que dans ma tête c'était pas pour contrer mais pour enrouler un chouille plus serré)
maintenant... y a plusieurs type de thermique :
* le gros et large... même s'il est puisant, tu rentre dedans en douceur ça monte mieux ... c'est tout (*)
* y a le ptit teigneux... lui faut s'aggriper pour rester. si t'as un chouilla de technique ben tu rentre dedans et tu t'y accroche comme un morbac au string bresilien d'une jolie blonde... ce qui secoue (et qui craind) c'est de rentrer/sortir
si pour une raison tu dois sortir en étant pas tout en haut... choisi plutot le coté au vent (même si c'est pas dans ta trajectoire...fais le tour) c'est plus
sainsinon en général tu sort en haut... et c'est un chouille plus calme (puisqu'il s'arrete
)
* y a les bullettes qui traversent les couches de stabilité (typiquement à st hil alors que c'est stable voire subsident
) là de toute façon tu vas faire que rentrer sortir... au mieux tu peux faire un 1/2 tour dedans ...
ben tu ne t'y attaquera que quand tu aura un moral blindé et des chaussettes itou (blindées).
[ma vie /on]
PS (*) enfin presque paske le gros puissant peut devenir petit teigneux s'il monte haut...
et puis j'ai vécu des gros puissants (zone de confluence) qui sont traversés de rouleaux dans tous les sens...
tiendez... je vous laisse lire
mon record d'altitude.... me suis (un peu) relaché à une altitude où, normalement, il ne peut plus rien arriver... et j'ai quand même failli me prendre l'aile sous les pieds (pourtant la zaza était d'une tranquilité comme aile)