Nova Triton 2 EN-C

[yansolo]

Heu en gros   
Meilleur ou jeu égal 

[compte de lecture]

tout bon ça
merci

[paraseb74]

Salut

À mon avis l IP 6  à besoin d un bon recalage , cependant l écart ce resert de plus en plus!!!!!

[Mysterfred]

L'IP6 reste malgré tout plus rapide à vitesse max d'au moins 5 km/h.
Ce qui nous donne une vitesse max d'environ 58 km/h pour la Triton 2, ce qui est pas mal pour une En C (... et une 3 lignes).
Sinon niveau finesse elles ont l'air d'être à jeu égal.

[swaxis38]

Salut

À mon avis l IP 6  à besoin d un bon recalage , cependant l écart ce resert de plus en plus!!!!!

C'est juste ce à quoi j'ai pensé en matant la vidéo...

[nicober]

Cool l'essai de la T2 sur PPMag, disais je avec enthousiasme ...!

Et là... Mon pote me sort :

En même temps , trouve une voile récente  que la presse ou les forums n encensent pas... Le marché est mur techniquement, mais aussi bien rodé coté marketing ! Ceux ci dit... NOVA sort rarement des bouses...

Certes ...

[ManuPak]

Oh, j'suis pas gentil, j'ai cassé la joie de Noël de mon Nico... Sorry !

Sinon, on peut faire un petit exercice de style, ça s'appelle :

OMETON 5 de chez NOZONE : performance et plaisir, what else ?

A chaque nouvel essai, c'est la même excitation : j'ouvre le carton de livraison avec la fébrilité d'un gamin le matin de Noël, enlève le sac de contention décoré aux couleurs de NoZone et se dévoile à moi la nouvelle Ometon 5. Le tissu est craquant, mais ça reste du light , encore que le Profiltex 23 donne une impression de solidité rassurante. Seul le temps permettra de savoir si le vieillissement est à la hauteur !

Les élévateurs en sangle Dynema sont clairement identifiés par un code couleur original. Pas de doute, c'est bien une trois ligne, et on retrouve le fameux système "Trim Speed Fascination Evolutive Concept" qui permet d'attacher un iPod aux élévateurs pour quand on s'ennuie dans une longue transition. Les joncs sont bien à leur place dans le bord d'attaque, et le bord de fuite est renforcé au centre de l'aile par des pièces quadrangulaires de Mylar estonien cousus dans les intercaissons débordant. Encore une fois, la finition NoZone est là, on retrouve les petites touches qui ont fait les grands succès de la marque. La nouvelle usine récemment mis en service en Corée du Nord semble faire des merveilles. Les couleurs sont originales sans être criardes. Tout dans cette aile reflète la rigueur de Hans Tassendamen, le concepteur de chez NoZone.

Je monte au décollage est de Saint Antoine pour un petit vol matinal de prise en main. Le décollage est une simple formalité : la voile monte nettement au dessus de la tête, sans dépasser. Une petite temporisation permet de la caler à bonne incidence, sans stress. On est rapidement pris en charge. Je vais vite me coller au dessus des falaises du Maxival, où je trouve quelques thermiques peu cohérents. Je peut tout à loisir profiter de la maniabilité de l'Ometon : la commande est ferme sans être pesante. L'aile est cohérente, mais sans "effet poutre". Tout est dans le dosage sellette/commande pour obtenir le virage qui va bien. A chaque fois, l'Ometon est prévisible, fine, cohérente, précise. Comme on dit, c'est un "petit vélo".

La journée avance, et les conditions se mettent en place, avec leur lot de turbulence et de cisaillements (on est quand même le 23 novembre à Saint Antoine). L'Omenton "cause" au pilote, elle lui donne des informations sans pour autant le balloter à chaque fois. C'est une aile vivante mais sympathique. Le placement dans le thermique est quasiment instinctif : cette machine "renifle" le noyau, et s'y place tout naturellement. Un passage sous le vent me vaut une petite fermeture d'un gros tiers de l'aile. Avec l'Ometon, c'est un non événement : contre à la sellette, commandes aux poulies, et l'aile se ré-ouvre gentiment, sans changement de cap. Attention, c'est quand même une C, le pilote doit être présent et doser ses interventions.

A la première transition, pas de doute, les performances sont là. L'Ometon glisse, et semble absorber les turbulences sans jamais perdre d'énergie. Je transite du Mordeuil au Cheval Gris en compagnie de Julien Armand et de sa superbe machine de guerre, la Kenza 2. Autant vous dire que l'Ometon est loin d'être enterrée par ce "gun". Elle se place d'emblée dans le haut du panier des ailes de sa catégorie, et ravira les amateurs de grandes chevauchées alpine printanières...

ETC ETC ETC ...

[nicober]

Oh, j'suis pas gentil, j'ai cassé la joie de Noël de mon Nico... Sorry !

Sinon, on peut faire un petit exercice de style, ça s'appelle :

OMETON 5 de chez NOZONE : performance et plaisir, what else ?

A chaque nouvel essai, c'est la même excitation : j'ouvre le carton de livraison avec la fébrilité d'un gamin le matin de Noël, enlève le sac de contention décoré aux couleurs de NoZone et se dévoile à moi la nouvelle Ometon 5. Le tissu est craquant, mais ça reste du light , encore que le Profiltex 23 donne une impression de solidité rassurante. Seul le temps permettra de savoir si le vieillissement est à la hauteur !

Les élévateurs en sangle Dynema sont clairement identifiés par un code couleur original. Pas de doute, c'est bien une trois ligne, et on retrouve le fameux système "Trim Speed Fascination Evolutive Concept" qui permet d'attacher un iPod aux élévateurs pour quand on s'ennuie dans une longue transition. Les joncs sont bien à leur place dans le bord d'attaque, et le bord de fuite est renforcé au centre de l'aile par des pièces quadrangulaires de Mylar estonien cousus dans les intercaissons débordant. Encore une fois, la finition NoZone est là, on retrouve les petites touches qui ont fait les grands succès de la marque. La nouvelle usine récemment mis en service en Corée du Nord semble faire des merveilles. Les couleurs sont originales sans être criardes. Tout dans cette aile reflète la rigueur de Hans Tassendamen, le concepteur de chez NoZone.

Je monte au décollage est de Saint Antoine pour un petit vol matinal de prise en main. Le décollage est une simple formalité : la voile monte nettement au dessus de la tête, sans dépasser. Une petite temporisation permet de la caler à bonne incidence, sans stress. On est rapidement pris en charge. Je vais vite me coller au dessus des falaises du Maxival, où je trouve quelques thermiques peu cohérents. Je peut tout à loisir profiter de la maniabilité de l'Ometon : la commande est ferme sans être pesante. L'aile est cohérente, mais sans "effet poutre". Tout est dans le dosage sellette/commande pour obtenir le virage qui va bien. A chaque fois, l'Ometon est prévisible, fine, cohérente, précise. Comme on dit, c'est un "petit vélo".

La journée avance, et les conditions se mettent en place, avec leur lot de turbulence et de cisaillements (on est quand même le 23 novembre à Saint Antoine). L'Omenton "cause" au pilote, elle lui donne des informations sans pour autant le balloter à chaque fois. C'est une aile vivante mais sympathique. Le placement dans le thermique est quasiment instinctif : cette machine "renifle" le noyau, et s'y place tout naturellement. Un passage sous le vent me vaut une petite fermeture d'un gros tiers de l'aile. Avec l'Ometon, c'est un non événement : contre à la sellette, commandes aux poulies, et l'aile se ré-ouvre gentiment, sans changement de cap. Attention, c'est quand même une C, le pilote doit être présent et doser ses interventions.

A la première transition, pas de doute, les performances sont là. L'Ometon glisse, et semble absorber les turbulences sans jamais perdre d'énergie. Je transite du Mordeuil au Cheval Gris en compagnie de Julien Armand et de sa superbe machine de guerre, la Kenza 2. Autant vous dire que l'Ometon est loin d'être enterrée par ce "gun". Elle se place d'emblée dans le haut du panier des ailes de sa catégorie, et ravira les amateurs de grandes chevauchées alpine printanières...

ETC ETC ETC ...

Manu !!! je t'aime !!! 

[Makaya]

 

[Limonade67]

Salut

À mon avis l IP 6  à besoin d un bon recalage , cependant l écart ce resert de plus en plus!!!!!

C'est juste ce à quoi j'ai pensé en matant la vidéo...

Pareil !

[Sly]

 

Oh, j'suis pas gentil, j'ai cassé la joie de Noël de mon Nico... Sorry !

Sinon, on peut faire un petit exercice de style, ça s'appelle :

OMETON 5 de chez NOZONE : performance et plaisir, what else ?

A chaque nouvel essai, c'est la même excitation : j'ouvre le carton de livraison avec la fébrilité d'un gamin le matin de Noël, enlève le sac de contention décoré aux couleurs de NoZone et se dévoile à moi la nouvelle Ometon 5. Le tissu est craquant, mais ça reste du light , encore que le Profiltex 23 donne une impression de solidité rassurante. Seul le temps permettra de savoir si le vieillissement est à la hauteur !

Les élévateurs en sangle Dynema sont clairement identifiés par un code couleur original. Pas de doute, c'est bien une trois ligne, et on retrouve le fameux système "Trim Speed Fascination Evolutive Concept" qui permet d'attacher un iPod aux élévateurs pour quand on s'ennuie dans une longue transition. Les joncs sont bien à leur place dans le bord d'attaque, et le bord de fuite est renforcé au centre de l'aile par des pièces quadrangulaires de Mylar estonien cousus dans les intercaissons débordant. Encore une fois, la finition NoZone est là, on retrouve les petites touches qui ont fait les grands succès de la marque. La nouvelle usine récemment mis en service en Corée du Nord semble faire des merveilles. Les couleurs sont originales sans être criardes. Tout dans cette aile reflète la rigueur de Hans Tassendamen, le concepteur de chez NoZone.

Je monte au décollage est de Saint Antoine pour un petit vol matinal de prise en main. Le décollage est une simple formalité : la voile monte nettement au dessus de la tête, sans dépasser. Une petite temporisation permet de la caler à bonne incidence, sans stress. On est rapidement pris en charge. Je vais vite me coller au dessus des falaises du Maxival, où je trouve quelques thermiques peu cohérents. Je peut tout à loisir profiter de la maniabilité de l'Ometon : la commande est ferme sans être pesante. L'aile est cohérente, mais sans "effet poutre". Tout est dans le dosage sellette/commande pour obtenir le virage qui va bien. A chaque fois, l'Ometon est prévisible, fine, cohérente, précise. Comme on dit, c'est un "petit vélo".

La journée avance, et les conditions se mettent en place, avec leur lot de turbulence et de cisaillements (on est quand même le 23 novembre à Saint Antoine). L'Omenton "cause" au pilote, elle lui donne des informations sans pour autant le balloter à chaque fois. C'est une aile vivante mais sympathique. Le placement dans le thermique est quasiment instinctif : cette machine "renifle" le noyau, et s'y place tout naturellement. Un passage sous le vent me vaut une petite fermeture d'un gros tiers de l'aile. Avec l'Ometon, c'est un non événement : contre à la sellette, commandes aux poulies, et l'aile se ré-ouvre gentiment, sans changement de cap. Attention, c'est quand même une C, le pilote doit être présent et doser ses interventions.

A la première transition, pas de doute, les performances sont là. L'Ometon glisse, et semble absorber les turbulences sans jamais perdre d'énergie. Je transite du Mordeuil au Cheval Gris en compagnie de Julien Armand et de sa superbe machine de guerre, la Kenza 2. Autant vous dire que l'Ometon est loin d'être enterrée par ce "gun". Elle se place d'emblée dans le haut du panier des ailes de sa catégorie, et ravira les amateurs de grandes chevauchées alpine printanières...

ETC ETC ETC ...

[fb73]

Oh, j'suis pas gentil, j'ai cassé la joie de Noël de mon Nico... Sorry !

Sinon, on peut faire un petit exercice de style, ça s'appelle :

OMETON 5 de chez NOZONE : performance et plaisir, what else ?

A chaque nouvel essai, c'est la même excitation : j'ouvre le carton de livraison avec la fébrilité d'un gamin le matin de Noël, enlève le sac de contention décoré aux couleurs de NoZone et se dévoile à moi la nouvelle Ometon 5. Le tissu est craquant, mais ça reste du light , encore que le Profiltex 23 donne une impression de solidité rassurante. Seul le temps permettra de savoir si le vieillissement est à la hauteur !

Les élévateurs en sangle Dynema sont clairement identifiés par un code couleur original. Pas de doute, c'est bien une trois ligne, et on retrouve le fameux système "Trim Speed Fascination Evolutive Concept" qui permet d'attacher un iPod aux élévateurs pour quand on s'ennuie dans une longue transition. Les joncs sont bien à leur place dans le bord d'attaque, et le bord de fuite est renforcé au centre de l'aile par des pièces quadrangulaires de Mylar estonien cousus dans les intercaissons débordant. Encore une fois, la finition NoZone est là, on retrouve les petites touches qui ont fait les grands succès de la marque. La nouvelle usine récemment mis en service en Corée du Nord semble faire des merveilles. Les couleurs sont originales sans être criardes. Tout dans cette aile reflète la rigueur de Hans Tassendamen, le concepteur de chez NoZone.

Je monte au décollage est de Saint Antoine pour un petit vol matinal de prise en main. Le décollage est une simple formalité : la voile monte nettement au dessus de la tête, sans dépasser. Une petite temporisation permet de la caler à bonne incidence, sans stress. On est rapidement pris en charge. Je vais vite me coller au dessus des falaises du Maxival, où je trouve quelques thermiques peu cohérents. Je peut tout à loisir profiter de la maniabilité de l'Ometon : la commande est ferme sans être pesante. L'aile est cohérente, mais sans "effet poutre". Tout est dans le dosage sellette/commande pour obtenir le virage qui va bien. A chaque fois, l'Ometon est prévisible, fine, cohérente, précise. Comme on dit, c'est un "petit vélo".

La journée avance, et les conditions se mettent en place, avec leur lot de turbulence et de cisaillements (on est quand même le 23 novembre à Saint Antoine). L'Omenton "cause" au pilote, elle lui donne des informations sans pour autant le balloter à chaque fois. C'est une aile vivante mais sympathique. Le placement dans le thermique est quasiment instinctif : cette machine "renifle" le noyau, et s'y place tout naturellement. Un passage sous le vent me vaut une petite fermeture d'un gros tiers de l'aile. Avec l'Ometon, c'est un non événement : contre à la sellette, commandes aux poulies, et l'aile se ré-ouvre gentiment, sans changement de cap. Attention, c'est quand même une C, le pilote doit être présent et doser ses interventions.

A la première transition, pas de doute, les performances sont là. L'Ometon glisse, et semble absorber les turbulences sans jamais perdre d'énergie. Je transite du Mordeuil au Cheval Gris en compagnie de Julien Armand et de sa superbe machine de guerre, la Kenza 2. Autant vous dire que l'Ometon est loin d'être enterrée par ce "gun". Elle se place d'emblée dans le haut du panier des ailes de sa catégorie, et ravira les amateurs de grandes chevauchées alpine printanières...

ETC ETC ETC ...

 

Tu as oublié de dire que l'Ometon 5 corrige tous les défauts de l'Ometon 4, tout en étant nettement plus performante.
Si on relit l'essai de L'Ometon 4, on s'aperçoit que c'est à peu près le même que celui de l'Ometon 5...

[Tsitsi]

Bref, à essayer pour se faire son propre avis.

Comme d'hab... 

[Sébastien Fiastre]

Sébastian Benz, Nova Team Pilot, vient de réaliser 374 km en Australie avec sa Triton 2, 50 km/h de moyenne, 88 km/h max  

Alors elle vole pas vite cette Triton ???  

http://www.xcontest.org/world/de/fluge/details/:osimo/11.12.2014/00:37

Sebastien

[akira]

Hmmm ... la M6 a fait 20 bornes de plus   

[tommy n]

Magnifique vol de montgolfière en effet 7h42 dans une masse d air qui se déplace a 50 km/h comme par hasard ca fait 380 km et des brouettes.... Et 88 de vitesse max c est juste bras haut vent arrière bref ca veut rien dire sur la vitesse de la bête.

[swaxis38]

Roooooh les râleurs.... Lé pas bête le Seb non plus, z'allez pas lui apprendre le parapente ... Il fait juste son taf de marketing Nova pilot team...

Ça fait longtemps que vous n'avez pas volé? 

[akira]

Ça fait longtemps que vous n'avez pas volé? 

Si tu savais ... 

[tommy n]

Roooooh les râleurs.... Lé pas bête le Seb non plus, z'allez pas lui apprendre le parapente ... Il fait juste son taf de marketing Nova pilot team...

Ça fait longtemps que vous n'avez pas volé? 

Oui et nous on fait juste notre taf d humain dote d esprit critique, à cela s ajoute que la charte du forum exclut la publicité dont le marketing d un nova team pilot fait partie...

[swaxis38]

La charte  du forum exclut la pub? Et c'est quoi alors tous ces bandeaux publicitaires de tous les côtés?
Si tu veux dire qu'elle exclut la pub masquée, ben Seb n'avance pas masqué.
Après si en ce moment tu te sens des envies de redresseur de tors... je ne veux pas te brimer...

[akira]

Houla ...  c etait juste un clin d oeil de ma part. J ai pas de soucis avec les posts de seb ...

[blabair]

Hmmm ... la M6 a fait 20 bornes de plus   

Quoi! la M6 passe meme pas les 400????


Sébastian Benz aurait pu faire mieux en vitesse max... peut etre qu'il maitrise pas encore accélérateur en turbulence  

[swaxis38]

Houla ...  c etait juste un clin d oeil de ma part. J ai pas de soucis avec les posts de seb ...

oui je sais bien, ma réponse était pour Tommyn qui est très offensif.

après, je ne suis pas la pour défendre Seb ni Nova, ça m'a juste fait réagir parce que ça me semblait disproportionné...

sinon je compte bien voler demain, maintenant que le mistral se calme en Provence, ça va thermiquer! désolé 

[Sébastien Fiastre]

Oula, il y  en à qui finisent mal l'année....
Allez voir les Kangourous ça va vous détendre !!! 

Autant pour la M6 que pour la Triton moi ça me fait rêver des vols comme ça... Mais la M6 elle avance pas, à peine 53 de moyenne... 

Seb

[Matt4807]

Pour avoir passé 10 jours avec Sébastien Benz, c'est un sacré pilote, qui n'a pas froid aux yeux quand aux conditions de vol...
Super sympa le petit Suisse et bravo pour ses superbes vols XC....