Moi j'aime bien le système génial qui fait que quand je lève les bras ou que je lache les commandes, le bord de fuite retrouve son profil autodémerdant.
Si je devais lui donner un nom pour le brevetage ça serait "drisse libre". (Mais je ne suis pas comme ça, je laisse tout le monde profiter de ce système sans chercher les royalties).
À propos de drisse libre, j'envisage même d'expérimenter la solution sans poulies des acrobates, mais j'ignore quelle longueur et étirabilité sont à choisir pour la drisse élastique qui relie la commande au bas de l'étévateur...
Sans chercher de royalties, uniquement par générosité et solidarité, je te suggère de relever la position qui correspond à un bras total (si tu préfères, "drisses de freins totalement libérées) avec la sanglette de poulie d'origine qui pointe vers l'intrados et la poignée de commande collée à la poulie (ou anneau)
Ce qui correspond à la liberté de volet pensée par le concepteur et qui normalement te permet encore d'avoir les commandes en mains (sauf à souffrir éventuellement de nanisme). Puis cette position haute déterminée, d'aller chercher celle la plus basse ou éloignée que tes bras vont te permettre et que peut-être une abatée exigera pour se voir temporiser.
À partir de là tu connais les deux positions opposées et extrêmes utiles pour ne pas dire nécessaire à utiliser. Tu devrais alors pouvoir choisir où tu fixeras l'autre bout de ton élastique et avec quel longueur fonction de tes elevateurs/ta voile et de tes bras mais aussi du côté élastique de ton élastique, pour que tout relâcher rien n'empêche de libérer totalement le bord de fuite et que pourtant tu sois capables d'exploiter tout le débattement utile/nécessaire. Et qu'accessoirement si tu lâches tes commandes elles restent à portée de mains pour les reprendre rapidemment.
Bref, le choix de l'endroit de la fixation de la liaison élastique est sans doute aussi importante que la longueur voire force de l'élastique. Bon bricolage, perso pour l'avoir expérimenté je n'ai pas aimé. Mais il en faut pour tous les goûts et tout n'est toujours que affaire de compromis.