+ Le chant du vario +

Je pense à un système qui se mettrait au-dessus de la dragonne et sous l'émerillon.
Ça aurait le diamètre d'un manche à balai de 12 cm de long, avec en partie inférieur (là où la paume vient en contact) une languette qui actionnerait le moteur électrique enrouleur.
(Ça ressemblerait aux poignées des arrières en plus gros et long)
Sur le sommet du manche, il y aurait un bouton pour relâcher les freins.
Le moteur électrique serait réglé à une distance d'enroulement (genre 20 ou 25 cm).

J'ai choisi de répondre "non" car je crois à l'intérêt d'une forme aussi aboutie que possible de simplicité tant dans la conception que l'utilisation de nos parapente.
Oui pour une évolution qui cherche de meilleures performances, une plus grande facilité d'utilisation pour encore plus de plaisirs et aussi de sécurité à l'usage. Mais sans que cela finisse par faire de nos jouets volants en toile et ficelles, des machines où l'humain serait de plus en plus assisté par de la technologie nécessitant circuits imprimés et alimentation électronique.
Mais bon, il en faut pour tous les gouts. L'évolution du VTT est assez intéressante à observer...

si on rajoute ça, on pourra peut être développer le pilote automatique qui va avec :)

Franchement je pense que tu te compliques la vie  :grat:

Mais si vraiment t'y tiens, tu peux t'acheter 2 laisses de chiens à enrouleurs et ce sera le même résultats  ROTFL

les tours de freins c'est enfantin. Je comprends pas pourquoi ajouter du risque la ou il n'y en a pas.

Salut,
La garde aux freins est nécessaire. Point, barre. Drisses raccourcies, pas bon pour ta vie. Risque de surpilotage (décro dyn sur tempo un poil trop longue, notamment ; impossibilité à recouvrer le vol par la suite...).
Y'a de ces idées, tout de même... :affraid:
Sylvain.

  Restons simples pourtant j’adore faire des modifs.  Plus on complique,  plus il y a risque de panne. Un de ces 4 je vous montrerai mon système qui est bien au point pour bloquer l’accélérateur dans la position désiré des que je touche les barettes de pilotage aux arrieres.   Est ce un progrès ou un gadget qui finira à la poubelle,  je n’en sais rien. C’est amusant et j’aime bien créer,  je n’ai pas pu faire de longs vols avec pour voir si je gagne sur la fatigue des jambes. A voir.
 

La formulation n'était pas claire, je viens de la modifier.
Mon système serait utile à modifier temporairement la garde, pendant les virages.
Il serait possible de relâcher le tout durant la transition grâce à un simple bouton.

Moi j'aime bien le système génial qui fait que quand je lève les bras ou que je lache les commandes, le bord de fuite retrouve son profil autodémerdant.
Si je devais lui donner un nom pour le brevetage ça serait "drisse libre". (Mais je ne suis pas comme ça, je laisse tout le monde profiter de ce système sans chercher les royalties).

À propos de drisse libre, j'envisage même d'expérimenter la solution sans poulies des acrobates, mais j'ignore quelle longueur et étirabilité sont à choisir pour la drisse élastique qui relie la commande au bas de l'étévateur...

Sans chercher de royalties, uniquement par générosité et solidarité, je te suggère de relever la position qui correspond à un bras total (si tu préfères, "drisses de freins totalement libérées) avec la sanglette de poulie d'origine qui pointe vers l'intrados et la poignée de commande collée à la poulie (ou anneau)
Ce qui correspond à la liberté de volet pensée par le concepteur et qui normalement te permet encore d'avoir les commandes en mains (sauf à souffrir éventuellement de nanisme). Puis cette position haute déterminée, d'aller chercher celle la plus basse ou éloignée que tes bras vont te permettre et que peut-être une abatée exigera pour se voir temporiser.

À partir de là tu connais les deux positions opposées et extrêmes utiles pour ne pas dire nécessaire à utiliser. Tu devrais alors pouvoir choisir où tu fixeras l'autre bout de ton élastique et avec quel longueur fonction de tes elevateurs/ta voile et de tes bras mais aussi du côté élastique de ton élastique, pour que tout relâcher rien n'empêche de libérer totalement le bord de fuite et que pourtant tu sois capables d'exploiter tout le débattement utile/nécessaire. Et qu'accessoirement si tu lâches tes commandes elles restent à portée de mains pour les reprendre rapidemment.

Bref, le choix de l'endroit de la fixation de la liaison élastique est sans doute aussi importante que la longueur voire force de l'élastique. Bon bricolage, perso pour l'avoir expérimenté je n'ai pas aimé. Mais il en faut pour tous les goûts et tout n'est toujours que affaire de compromis.

Il faut que les commandes flottent à un endroit où tu peux les attraper quand tu les laches.
A la louche pour moi la longueur au repos des élastiques, c'est à peu près la longueur de l'élévateur (entre la boucle du bas où j'attache l'élastique et le maillon des arrières)

Sachant que sur une de mes voiles les élastiques se sont détendus donc c'est plus long que ça et ça ne change pas grand chose.
Trop courts c'est pénible au gonflage (en session de gonflage / jeux au sol).

Et pour l'élasticité requise, on s'en fiche un peu, quand tu enfonces les freins les élastiques sont à peine tendus ...

Merci Gand !

Rien de contre-intuitif donc, mais je préfére avoir des retours d'expériences avant de constater un foirage une fois en l'air  :init:

Pour en revenir au sondage

* système électrique = non de principe. J'ai trop galéré avec tous mes instruments dont les piles qui ne supportent pas le froid

* En virage, j'ai d'autres astuces (je coince un pouce dans un maillon ou un truc comme ça

* comme disent les autres, "KISS" et surtout la sécurité c'est de pouvoir tout relâcher sur un geste réflexe sans même chercher le petit bouton qui relâchera tout après le temps que le moteur mouline, mais à condition que tu trouves le bouton