Il faut de sacrées couilles pour décoller de l'Aiguille Verte, chapeau, ce n'est pas donné à tout le monde ; c'est le genre de vol qui doit te marqué à vie...
Salut,
Le décollage du sommet de la Verte est en effet un petit peu "engagé" (décollage de type "falaise" avec aucun droit à l'erreur).
Faire l'ascension de cette montagne et en décoller a longtemps été pour moi un rêve et je me suis décidé un jour à mettre ce projet à exécution.
De façon à parvenir à nos fins (deux amis pilotes montagnards étaient intéressés), j'ai fait appel à un guide-moniteur de parapente (Zébulon) pour qu'il nous aide à réaliser ce projet.
J'aurais été absolument incapable d'assurer seul le décollage là-haut, mais Zébulon s'est occupé de tout :
- assurance pendant l'ascension du couloir Whymper ;
- choix de la zone de décollage (minuscule replat débouchant sur une des branches de sortie du couloir Couturier) ;
- préparation de ma voile ;
- montée de ma voile aux élévateurs et vérification visuelle ;
- top départ : j'ai eu deux pas à faire dans la neige avant de me retrouver en l'air.
Un souvenir absolument incroyable.
J'en avais déjà parlé ici :
http://www.parapentiste.info/forum/recits/notre-jour-de-gloire-t42406.0.html;msg538016#msg538016On est un peu hors-sujet de ce fil.
Remarque de détail : tu as écrit : "c'est le genre de vol qui doit te
marqué à vie...", mais il faut écrire "
marquer" et non pas "
marqué" !
Une fois de plus confusion entre l'infinitif et le participe passé des verbes du 1
er groupe.
Cette erreur arrive plus de 10 fois par jour sur le forum (certains jours beaucoup plus que ça) !
Marc