Après, Wimric si tu es honnête, tu admettras que la seule manière pour M@tthieu d'assurer sa sécurité sur ce vol, aurait été de passer ailleurs. Bref, d'avoir les connaissances et reflexions nécessaires pour anticiper les circonstances et adapter son plan de vol en conséquence.
Pour être honnête, tu as raison, mais une fois que le mal est fait, il est bon de savoir s'en sortir. Et Jérôme Canaud va dans le même sens que mon analyse, quand il dit:
"Ne pas hésiter à avoir des appuis fixes pour éviter que le corps parte dans tous les sens (se guider sur les élévateurs, ne pas écarter les mains, en marche arrière se « tenir » au niveau des maillons »C'est amusant comme en lisant exactement les mêmes phrases on peut comprendre des choses différentes. A aucun moment je ne lis qu'il faudrait s'accrocher aux élévateurs et ne plus piloter son aile en cas de problème.
Ma lecture est :
- Avoir des appuis fixes, c'est comme l'a expliqué Vincent de Triple Seven, prendre appui avec ses avants bras sur les élévateurs pour ne pas valdinguer et garder un pilotage actif et mesuré. Rien à voir avec se tenir fermement aux élévateurs en cas de problème.
- S'accrocher aux maillons
EN MARCHE ARRIÈRE, est vraiment un situation spécifique où la pression des freins et la précision de la position à maintenir est importante. C'est effectivement la 'méthode officielle' de pilotage de la marche arrière, mais je ne vois pas de raison d'en faire un exemple à suivre pour le pilotage en turbulence.
Ce qui ne va pas vraiment dans le sens de ton analyse.