Bonjour,
J’ai commencé à lire le
cours d’apprentissage du parapente (un des derniers liens tout en bas).
C’est remarquablement fait et je félicite les auteurs, en particulier Laurent.
Je suis loin d’avoir tout lu, mais je voudrais faire ces petites remarques :
1/ Le document n’est pas paginé, ce qui rend la navigation plus difficile ; un sommaire paginé et un numéro de page en bas faciliteraient grandement la navigation dans le document qui contient quand même 53 pages !
2/ Remarque au § 3 : Découverte du matériel.
Sur la seconde photo il est indiqué A pour « la corde » et B pour « l’envergure ».
En fait il peut y avoir une confusion pour la définition de l’envergure.
En effet lorsque l’on parle de l’envergure d’une voile (sans préciser) cela renvoie à l’envergure « à plat ».
C’est elle qui sert à calculer l’allongement ; en effet si on ne précise pas : allongement = allongement « à plat ».
Sur la photo il ne s’agit pas de l’envergure « à plat », mais de l’envergure « projetée » puisque la voile est en vol et non au sol.
Elle peut différer sensiblement de l’envergure « à plat » selon l’importance de la voûte de la voile.
Elle permet de calculer l’allongement « projeté ».
Envergure « projetée » et allongement « projeté » apparaissent dans les références techniques des voiles, mais je pense que la quasi totalité des pilotes ne connaissent pas ces valeurs pour leur propre voile (en tout cas c’est mon cas et je ne dois certainement pas être le seul…).
Exemple : lorsque l’on parle d’un allongement de 5, de 6 ou de 7, il s’agit de l’allongement « à plat » et cela renvoie à l’envergure « à plat » qui n’est pas celle indiquée sur la photo.
Je sais que cela peut sembler du détail, mais il serait possible de rectifier cette approximation (pour une prochaine version du document) :
- soit en indiquant dans le texte « envergure projetée » au lieu de « envergure » ;
- soit en prenant une photo d'une voile étalée au sol en indiquant « envergure » sans avoir besoin de préciser « envergure à plat » (par défaut : envergure = envergure à plat).
3/ Il y a un certain nombre de fautes de frappe et/ou d’orthographe, ce qui est un peu dommage !
Exemple parmi d’autres : la seconde phrase de ce manuel est celle-ci :
« On pourrait commencer à Icare, mais ce seul manuel ne suffirait pas à compter toute l’histoire. »« Compter » et « Conter » (voisin de « Raconter ») n’ont en effet pas le même sens en français.
Mais ce n’est pas très grave et je répète que ce document est remarquable !
A+ Marc