Merci pour vos réponses !
ça doit pouvoir se travailler.
Mais alors, adieu aux atterrissages dans un mouchoir de poche.
C'est ce qui me fait pencher pour des élévateurs sangles sur la future Whizz 2. Mais bon, le choix n'est pas encore arrêté.
Je suis trop habitué aux zélévateurs classiques.
J'ai beaucoup hésité aussi... Pour l'atterrissage, je choisirai en fonction : Précision/conditions incertaines : attéro soigné et standard ; vent nul et piste atterrissage : gros flare ! (si j'y arrive
)
Marc, je ne vois qu'un point dans ton message ! C'est moi qui ai une erreur d'affichage ou bien le message est vide ?
Géraud
Comme tu dis,tout est dans la prise de vitesse.
J'en faisais de très long quand j'étais au ParaClub de Pierrefonds à la Réunion . A l'époque j'avais un Strato cloud ou une Magic 5 caissons.
Bon,je dois dire qu'avant de les faire correctement,j'ai pris pas mal de gamelles et laissé une combinaison
ça plonge trés vite
Merci Mike pour ce retour ! Je risque d'y laisser quelques quelques traces d'herbe sur les affaires aussi...
J'y suis passé à Pierrefonds lors d'un voyage à la réunion mais n'y ai pas volé ! Je me vois mal tenter des flairs à l'atterrissage de St Leu... Il est pas immense
A Cilaos sur l'ancienne base ULM ça passe mieux déjà
Et cool la vidéo, c'est des machines ces types ! bien drole et bien beau en tout cas
Il faut bien connaitre ta voile et ne pas hésiter à plonger si la place est suffisante pour poser.
Je m'explique, tu choisis de mettre bras hauts donc direct vers le posé assez vite, tu relâches les trims (ou tu accélères...) pour que ta voile pique vers le sol, puisque tu arrives bras hauts cela ne va pas être important mais la vitesse va augmenter.
Point important, porter le regard le plus loin possible et surtout pas vers le sol.
Autre point important connaitre les réactions de la voile, ce qu'il va falloir freiner et à quelle hauteur pour tangenter.
Alors + on arrive vite (accélération) + le flair est efficace. Si freinage fort on remonte trop, il ne faut surtout pas remonter les mains.
Donc dosage fin pour tout enfoncer lorsque la voile arrive en fin de portance.
Franchement sans trop de risques si l'atterro est dégagé.
Si pas assez de freins va falloir courir donc bien se mettre sur l'avant pour ne pas rester assis
Si trop de freins, va falloir amortir le décrochage de quelques mètres sans laisser aller la voile vers l'avant en recherche de vitesse
Un bon exercice est d'essayer de pomper en étant assez haut bien avant le terrain pour vérifier le débattement des commandes et la vivacité de la voile, cela donne confiance.
Merci Cowa pour ces explications, j'irai mettre ça en pratique sous peu... Effectivement point important ça de ne pas relâcher la voile si on arrive trop haut suite à un freinage trop fort : je suppose que ça doit induire une sorte de rappel pendulaire en tangage et... impact. Pas bon donc. Vaut mieux arriver trop vite et courir un peu !
Et Charognard si on se mettait à regarder toutes les vidéos de Maurer et à faire pareil... On battrait des records d'accidentologie
mais je passerai mes journées assis aux décos/attéros, ce serais un sketch permanent
Sylvain, pas mieux pour les points ! j'avais les deux premiers mais c'est vrai que le coup des crampons c'est pas con du tout ! Et pour ce qui est du virage bas, c'est justement lors d'un virage bas+prise de vitesse que j'ai eu cette première sensation et l'envie de l'approfondir
Mais j'ai aussi eu l'impression qu'une erreur d'une seconde dans le timing et c'est vite la cata ! A expérimenter avec prudence...