Ouest à Arbas

[marckus]

Bonjour ,

Hier 16 juillet nous voila retrouvé au site de Arbas ,une journée qui s'annonce enfin favorable .
On se retrouve nombreux au décollage vers midi et j'effectue un 1er vol sans chercher à exploiter vraiment .
Je me pose alors que de nombreux parapente sont la haut sur les crêtes et des cumulus commence à se former .
Un copain arrive et me propose de remonter pour effectuer un autre vol .
Le temps de monter le ciel s'était couvert seul l'atterrissage restait ensoleillé et tous les parapente étaient descendu vers l'atterrissage .
Prés à décoller, j' hésitais car le vent d'ouest commençais à ce manifester au décollage .
Je par donc .
Je me rend contre très vite par la dérive que le vent entrait plus que ce que j'imaginais et ai donc choisi un cap en crabe compromit entre le plus de dégagement sous le vent et la direction de atterrissage .
La masse d'air était porteuse ,je descendais pas trop mais n'avançais pas trop non plus ,dérapait plutot .
Cette situation m'a forcement fait vite retrouvé sous le vent , confirmé par une première frontale .
Très vite récupérée me voici dans le piège de la zone de rabattants .
La voile s'arrêtant pour mieux accélérer ca monte ca descent , j'entends le tissus de la voile qui fermait,  rouvrait .
J'osai même plus la regarder .
Mon attention etais focalisé sur le pilotage essayer de stabiliser la vitesse , ralentir la voile dans les fortes degueulante pour eviter de renter trop fort dans les murs suivants .
Je faisais du yoyo ,à certain moment j'étais presque sur de pouvoir renter à l'atero mais non .
Me voici 100metres de haut dans les rabattants à subir une machine à laver , je voir les arbres en bas qui de balancent ,j'essaie de comprendre le sens principal du vent au sol et choisi le point d'aboutissement le plus dégagé possible dans les prés clôturé d'arbres   .
C'est la que l'on craint le pire , se prendre un rouleau qui ferme à 10 ou 20 mètres .
après un dernier effondrement la voile s'est stabilisé et me suis posé nickel .
Les 1 mètres d'herbe me m'ont pas permis d'embrasser la terre qui était mon envie la plus forte du moment .
je suis rentré à pied à zone d'atterrissage  ,les 2 collèges qui avait décollé après moi était encore en vol , plus habitués ils avait pris la décision de se laisser dériver .le coup de vent du front nuageux était même passé .ils ont aussi des voiles plus pénétrantes , mais dans ma situation j'étais plus rassuré de subit des fermetures sous une epsilon 6 méga stable .

Encore une histoire qui me rappelle encore qu'il est préférable d'écouter ses convictions plutôt que l'avis des copains qui ont un niveau bien supérieur et ne peuvent s'imaginer la situation dans laquelle peut se mettre un novice .