J'ai immédiatement tilté en voyant apparaître le nom de John, d'où mon intervention sur ce fil.
Je l'ai bien connu à Chamonix au début des années 70, c'était le plus francophone des alpinistes américains. Nous avions habité un temps sous le même toit, dans une maison louée par un copain commun,
Qu'il se soit mis au parapente, comme beaucoup d'alpinistes de haut niveau, ne m'étonne pas.
Qu'il se soit révélé habile négociateur ne m'étonne pas non plus : il ne m'a jamais rendu une boussole que je lui avais prêtée en 74.
Il y a prescription mais j'ai de la mémoire.