URGENT !!
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Citation de: chatmalo le 13 Février 2017 - 10:04:52

les jours où je ne me sens pas serin[sic] en vol

Oh le mignon lapsus !  :lol:
Nystao:
La peur est le chemin vers le côté obscur ... la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance.

 :sors:
laurentgedm:

"La peur éclaire le chemin à parcourir". A méditer.
Derob:
Citation de: chatmalo le 13 Février 2017 - 07:02:15

Bon ok, va pour conscience des risques, par ce que sinon il serait effectivement difficile de parler de "se faire plaisir en volant" si on avait une peur panique d'être en vol.


La grande majorité des parapentistes arrêtent rapidement l'activité ; il y a peut-être de ça... Les témoignages de l'arrêt de l'activité sont rares. Pour mémoire, il y en a un sur ce forum, il est précieux (et bien écrit), et j'invite à le relire : http://www.parapentiste.info/forum/recits/dernier-vol-avant-la-nuit-t14447.0.html

Et je maintiens : la peur est mauvaise pour la sécurité. Elle altère autant le jugement que les sensations. Les moniteurs de stage init' le savent bien : les décos des gens tendus sont mauvais. Un déco après un vol qui s'est moyennement passé est mauvais. Un déco après une première tentative avortée n'est pas fabuleux. Ce qui se voit dans ce cas s'applique à tout le monde dans d'autres situations.

C'est pour cette raison que je pense que ce mode de communication (le mail anxiogène envoyé à tous les adhérents) est une impasse empoisonnée (en plus de tuer le plaisir).
Vous remarquerez d'ailleurs que ce genre d'action anxiogène est devenue de plus en plus commune dans tous les domaines depuis une dizaine d'années. C'est facile, pas cher, et exonère d'un véritable travail sur le sujet en renvoyant la responsabilité d'actions représentant le collectif vers l'individu (la victime).

Derob
Triple Seven France:
Citation de: Derob le 13 Février 2017 - 11:05:44

Vous remarquerez d'ailleurs que ce genre d'action anxiogène est devenue de plus en plus commune dans tous les domaines depuis une dizaine d'années. C'est facile, pas cher, et exonère d'un véritable travail sur le sujet en renvoyant la responsabilité d'actions représentant le collectif vers l'individu (la victime).

Le problème chez nous c'est qu'on ne sait pas comment travailler le sujet, qu'on n'a pas vraiment les moyens de faire autre chose (le "autre chose" semblant à priori être complexe et coûter cher). Et qu'en plus on s'adresse à une population dont une grande partie ne veut pas s'inscrire dans une activité proposant trop de contraintes et de rigueur.
A partir de là, je trouve qu'on en est à se taper la tête contre les murs, tout ce qu'on arrive à faire étant de constater avec angoisse le bilan de 3 morts en date de mi-Février et de se demander quel sera l'avenir du vol libre si on tient ce rythme tout au long de l'année, après déjà deux années funestes consécutives.
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