J'EN AI MARRE!!!
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lexou:
Je pressens le lynchage mais,pour ma part,je pense que l'on devrai avoir une participation à payer de notre poche lors d'un secours par les pompiers.Ca ferai plus réfléchir avant de décoller et peut être plus renoncer.
choucas:
On peut polémiquer 1000 ans sur les chiffres dans les autres pays... Moi ce qui m'intéresse c'est ce qui se passe chez nous. ET le bilan est plutôt négatif.
Donc la question importante n'est pas : "que font les autres ?" vu que chez eux c'est peut-être un peu mieux, mais pas brillant non plus.

LA question c'est : "Qu'est-ce qu'on fait ?"
Et là je dois dire que le récit de stafio fait réfléchir. Il relève des points simples :
 - Le niveau global
 - La rapidité de progression
 - Le matériel
 - Le manque de connaissances
 - L'individualisme dans le vol libre
 - ...

Et il ne me paraît pas difficile d'au moins communiquer sur ces différents points.

A+
L
Michel Ballif:
@plumocum

D’où viennent les statistiques pour la Suisse ? On parle de quoi ? Des accidents ? Des accidents en montagne, des accidents de vol libre annoncés à la FSVL ?  Un moyen de comparaison sérieux avec l’accidentologie en Allemagne ou en France ?

Ça n’est pas tant le brevet qui va diminuer l’accidentologie, mais la formation qui y mène. Les gros progrès en Suisse concernent l’obtention du brevet biplaceur A (=commercial). Les exigences y sont pratiquement les mêmes que celles pour devenir instructeur. Et en se renseignant un peu, on trouve des écoles de grande qualité qui vont bien au delà de la formation pour l’obtention du brevet. Je trouve par ailleurs que les nouvelles écoles souvent meilleures, plus exigeantes, plus dynamiques ... que les écoles plus anciennes où la routine s’instale (à ne pas généraliser).
YenYen:
Citation de: choucas le 23 Août 2018 - 11:11:21

On peut polémiquer 1000 ans sur les chiffres dans les autres pays... Moi ce qui m'intéresse c'est ce qui se passe chez nous. ET le bilan est plutôt négatif.
Donc la question importante n'est pas : "que font les autres ?" vu que chez eux c'est peut-être un peu mieux, mais pas brillant non plus.

LA question c'est : "Qu'est-ce qu'on fait ?"
Et là je dois dire que le récit de stafio fait réfléchir. Il relève des points simples :
 - Le niveau global
 - La rapidité de progression
 - Le matériel
 - Le manque de connaissances
 - L'individualisme dans le vol libre
 - ...

Et il ne me paraît pas difficile d'au moins communiquer sur ces différents points.

A+
L


-... L'égo
- L'autocritique (choix de voile, des conditions, ... )( => l'égo)
- La peur de la honte de pas faire comme les autres, les copains, ... ( => l'égo)

Je pense qu'on a un problème par rapport à nous et à ce qui se passe autours, combien sur ce forum ne se sentait pas mais y sont quand même allé parce qu'un pote y va (je juge personne, ça m'est arrivé par le passé). De choisir une voile pour l'image, et j'en passe

lexou:
- Le niveau global=travail au sol et faire régulièrement des fins de vol ou plouf de travail,ressentir des G régulièrement pour ne pas être surpri par eux lors de vracs et pouvoir faire secours si besoin.
 - La rapidité de progression=il faut que le mental suive ou se remettre en question.
 - Le matériel=relativement très sécu à mes yeux donc pas d'avis.
 - Le manque de connaissances=il faut que la connaissance commence en école et continue et s'approfondisse par la suite,donner le goût d'apprendre et de s'intéressé à ce qui nous entoure(lecture,partage après le vol etc..)
 - L'individualisme dans le vol libre=ça préserve de la mise en compétition :P
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