Fabrice a dit:
Sur un gros coup de frein symétrique, un bon volume d'air est expulsé de la voile. Une fois les mains relevé, l'air va de nouveau rentrer dans les caissons créant une légère dépression interne, d'où un bord d'attaque temporairement moins tenu en forme, donc plus prompt à fermer.
J'ai pu voler aujourd'hui et faire des essais, ça se produit avec un coup de frein brutal, même dissymétrique.
NicoCantalou a dit:
Pas trop d'accord,
la fermeture a lieu a l'abaissement des commandes et non au relâché.
Plus l'aile est accélérée plus ce phénomène est sensible. Aux faibles incidences donc d'où la pertinece de la relation avec le FRAF.
Sur une Peak accélérée à fond, il y a moyen de se prendre une bonne amorce de fermeture du centre de l'aile.
Je pense que ça a un rapport avec la stabilité du profil reflex qui serait alors "déstabilisé". D'où l'intérêt du pilotage aux arrières. FRAF.
Toujours avec mes essais du jour, une traction brutale des arrières (les C sur ma voile) d'env. 10cm avec relâché rapide produit exactement le même phénomène.
Aux frein comme aux arrières, c'est plutôt au relâché que le bord d'attaque frémit, encore que ce n'est pas évident à estimer.
Ça me fait penser a un fouet que l'on ferait claquer.
Si vous avez d'autre idées...