Ton fil pour le rapport de la cour des compte n'ayant pas fonctionné
Ha ?
Bon ben si c'est le cas pour d'autres je vais voir pour l'héberger ailleurs, ou alors si tu as encore le lien que tu as trouvé via Google (j'avais le fichier sur une clé USB).
...
Lorsque l’intervention héliportée relève d’un secours en montagne
au sens strict, le secours est toujours gratuit, quel que soit l’hélicoptère
intervenant (si c’est un moyen privé qui intervient, le coût est pris en
charge par le SDIS, en vertu de l’article 27 de la loi de modernisation de
la sécurité civile de 2004). ...
Ouaip, rectification de l'art. 54 en 2004, facture au SDIS, également évoqués dans le résumé dans la pièce jointe du 1er message ci-dessus.
A+
Voici le lien pour la page ou l'on trouve un lien encadre pour le document d’où j'ai tiré la dite phrase en gras, page 198 (je crois ?)
http://www.ccomptes.fr/index.php/Publications/Publications/Organisation-du-secours-en-montagne-et-de-la-surveillance-des-plagesBonne lecture à ceux que ça branche.
Et puis, effectivement, comme le précise Patrick Samoens, il ne faut pas confondre "action/frais de secours/recherche" et "action/frais de rapatriement", exemple ;
En Espagne ou les frais de secours/recherche sont gratuit comme en France. Il faut bien comprendre qu'une fois ramené à l’hôpital du coin et les 1ers secours administrés, se posera la problématique du rapatriement vers la France et l’hôpital le plus proche de la famille. Le même problème peut aussi se poser en France mais je pense dans une proportion moindre.
Personnellement je pars dans l'idée et l'acceptation de celle-ci que je me laisserais soigner le temps qu'il faudra dans l’hôpital Espagnol jusqu'à ce que mon état de santé me permette d'envisager moi-même mon retour ou (hypothèse plausible, à mon avis) que mon régime de sécurité sociale décide de me rapatrier, à ses frais, vers un établissement qui lui convienne ... en France.
Il appartient à chacun de savoir comment il envisage les choses et accessoirement comment le régime de sécurité sociale dont il dépend l'envisagerait, une fois l'accident arrivé.
Ce qui est certain c'est que les assureurs, quels qu'ils soient, ne sont ni des bons samaritains et même rarement plus honnêtes que ce que leurs services juridiques leur conseillent. Ce ne sera jamais eux qui nous diront ;
Mais mon bon Monsieur, vous n'avez pas besoin de notre assurance pour ce risque, il vous est déjà garanti par ailleurs !Bonne soirée,