Justement la partie qui me poserait (conditionnel) soucis, serait concernant les caractéristiques demandées dans le dossier. Déjà que maintenant il faut une voile ayant l'objet d'une procédure par le constructeur, alors pour le moteur je me demande comment ça se passe. Par exemple je n'ai pas l'impression d'être crédible en essayant de justifier la poussée statique sur un portique bricolé avec un dynamo-metre acheté sur internet et pourtant je pense que c'est la seule voie pour remplir les données (un peu moins humoristique) avant les essais en vol.. Je n'arrive toujours à être clair entre le côté artisanal du paramoteur et le côté industriel de la DGAC. Dommage que tu ne veuilles pas me donner d'information sur la façon dont tu as procédé pour l'immatriculation.
Pour en terminer sur ça ; la première immatriculation est une galère parce qu'il faut comprendre le principe du dossier mais ensuite c'est vrai que ce n'est pas lourd.
Fin du HS.
En paramoteur c'est la voile qui est identifié
tu peux mettre ce que tu veux en dessous tant que tu ne dépasses pas pour un monoplace une certaine puissance (45 Kw) et un certain poids (300 kilo)
c'est la dessus qu'on peut surfer pour faire du biplace en parapente avec une qualification emport passager paramoteur.
tu te mets un petit ventilo 12 volt de voiture dans le dos et tu vols avec une voile identifié
la procedure d'identification est hyper simple.
tout est dispo sur le site de la DGAC
http://www.developpement-durable.gouv.fr/Achat-d-un-paramoteur-premiere.html