"De minimis non curat praetor".
L'indécrottable cuistre a évidemment corrigé l'orthographe.
C'est du latin de cuisine, utilisé en général par les juristes... mais De Gaulle usa de cette formule quand il était à l'école de guerre (pour passer officier supérieur) afin de signifier à un général qui l'emmerdait pour des détails insignifiants qu'un chef ne se soucie pas de détails subalternes.
Je me rappelle avoir lu ça jadis dans sa biographie par Jean Lacouture.
La locution latine que j'avais utilisée est attribuée à l'Ecclesiaste qui, au 3e siècle av JC en Judée, écrivait en hébreu, peut-être aussi en grec mais certainement pas en latin, et parlait probablement araméen.
J'y perds mon latin dans tout ça, et si on revenait au parapente ?
A ma connaissance, la marche arrière avec la voile décrochée a pour principale fonction de la reconstruire suite à un vrac et de "sortir" les cravates. Comme il y a des joncs en extrados, sortir une cravate en faisaint repasser la suspente fautive par-dessus les joncs me semble être une vue de l'esprit sans grand avenir.
La Diamir vole très bien avec une cravate, grosse ou petite, je l'ai expérimenté après avoir échouer à les sortir. Il suffit d'un appui sellette pour que la voile vole droit. A partir de là, pourquoi jouer à la décrocher ?
J'ai fait 3 vilains vracs avec la Diamir, une bonne réactivité en temps réel permet de revenir très vite au vol normal. J'ai fait mes 4 stages SIV avec l'Artik et je n'ai pas de motivation pârticulière pour en refaire un avec la Diamir.