Je trouve qu'on y voit beaucoup de mauvais exemples d'utilisation aléatoire et prolongée des basses vitesses et fortes incidences tout au long de finales effectuées dans des zones de dévente à l'aérologie très aléatoirement laminaire, derrière des lignes de rupture de pente où la moindre variation instantanée de consistence de la brise peut amener la turbulence qui suffirait à ne plus rien avoir qui vole correctement au dessus de la tête. "La vitesse c'est la sécurité dans le gradient comme dans la turbulence".
La confiance dans la stabilité de la brise et dans la "fiabilité" de ces zones de déventes à peut-être été acquise à longueur de temps et d'expérience locale par les pilotes concernés mais l'exemple ne me semble pas bon à donner comme moyen d'attérir au sommet sur un site inconnu ou méconnu, à une heure quelconque éventuellement pas assez laminaire...
Ce montage video ne montre que des succès mais je pense qu'il serait bon de mentionner aussi les cas où la parachutale voire le décrochage, l'abattée, surviennent avant que les pieds touchent, à quelques mètres d'un sol qui n'est jamais accueillant pour la vertèbre (ni pour la moëlle épinière qui s'y cache).
Eh bien moi je ne trouve pas !
C'est maîtrisé. En fait de basses vitesses et de grands angles, on voit des mains qui ne descendent pas en dessous des maillons en final. Pas de "pomping", des approches relativement précuises, mais surtout construites. Et pour les brises... La voiles est tout de même quelques bons mètres au dessus du pilote. Et donc vu que le pilote est quasiment toujours dans la zone de brise... La voile l'est forcément !
Bref je trouve que c'est propre, sécurit et on voit bien que ce n'est pas de l'improvisation. La critique est facile, mais l'art...
A+
L