Mais au moment de se remettre vent de face, effrayé je pense par sa vitesse-sol, je le vois freiner et garder les mains très basses (ça m'a paru durer une éternité).
je ne sais pas s'il a été effrayé par sa vitesse sol, mais une chose est sur : nous sommes (tout le temps) victimes de "trompe l'oeil". Notre cerveau juge en fonction de ce qu'il voit prioritairement à ce qu'il sent.
Moralité, nous tous ne tournons pas de la même façon vent de dos et vent de face... surtout s'il y a un repère visuel qui vient chambouler la perception du cerveau.