...gestion vraiment approximative du Brexit et de l'épidémie du covid, etc.
Le chaos du Brexit était déjà là avec David Cameron et Theresa May, et c'est avec lui qu'il a été finalisé.
covid : le Royaume Uni a validé le vaccin Pfizer avant l'UE.
En fait voilà ce qui ne te plait pas chez Boris

:
Je ne savais pas que Boris jouait parfois au football et je n'ai bien sûr aucune opinion à ce sujet !
A ma connaissance je ne crois pas qu'il soit footballeur professionnel, n'est-ce-pas ?
1/ Le Brexit :
Certes le Brexit a été voté avant l'arrivée de B. Johnson au pouvoir.
Mais c'est lui, et son gouvernement, qui ont négocié (laborieusement) pendant des mois les accords liés à cette sortie de l'UE du Royaume-Uni.
Exemple : le texte concernant le trafic de marchandises entre la Grande-Bretagne et l'Irlande du Nord et entre l'Irlande du Nord et l'Irlande du Sud (qui ne fait pas partie du Royaume-Uni) a été très long à être négocié et acté.
B. Johnson l'a signé et quelques semaines plus tard il le dénonçait comme étant inadapté et il a affirmé qu'il ne respecterait sa propre signature ; c'est une attitude quand même un peu bizarre de la part d'un responsable politique.
2/ Covid :
L'épidémie s'est répandue très rapidement au Royaume-Uni avec des conséquences très graves (taux de mortalité extrêmement élevé) et B. Johnson, ne voulant pas pénaliser l'économie, a énormément tardé à prendre les mesures nécessaires :
- respect des gestes barrières avec port du masque, par exemple dans les transports et les magasins ;
- attente beaucoup trop longue pour inciter à la vaccination de la population et à la mettre en place ;
- mesures de confinement très partielles et surtout beaucoup trop tardives.
Certains responsables de la santé pensent que son attitude, extrêmement passive et assez irresponsable (il ne s'agissait, d'après lui, que d'une forme de grippe assez anodine) a entraîné le décès de centaines, voire de milliers, de personnes qui auraient pu être évités.
3/ Autres points divers : il a reconnu lui-même que les multiples soirées bien arrosées au siège du gouvernement étaient vraiment regrettables puisqu'il était interdit pendant ce temps-là aux Britanniques de se réunir à plus de 10 chez eux.
Les frasques bien connues de ce monsieur et de son entourage ont bien fait dégringoler la confiance des Britanniques à son égard.
Mais le pouvoir doit être une attraction très puissante puisqu'il cherche quand même à se retrouver à nouveau à la tête du pays, malgré le passif qui est le sien en tant que premier ministre !
Marc