La rave ne semble pas avoir créé de cluster local, mais ça n'étonnera personne, les riverains de ce genre de fêtes se mélangent assez peu avec les participants.
Tout d’abord, comme s’en étonne Éric Billy, chercheur en immuno-oncologie et membre du collectif Du Côté de la Science : « Les raves party sont des événements qui brassent large, bien au-delà d’une seule région. On a considéré ici que les cas locaux… On peut imaginer que si les participants sont venus d’un peu partout en France, ils aient pu par la suite faire augmenter les taux un peu partout. Et comme on ne dispose pas de chiffres issus d’un tracing systématique des participants, il est difficile de tirer véritablement des conclusions. »