C'est en comparaison que je pense que les marchands devraient définir avec chaque voile qu'ils vendent le niveau de pilotage requis, libre ensuite au client d'acheter celle qui le fait fantasmer, quitte à se casser la gueule ou à se limiter à des ploufs en air calme.
Non, c'est au concepteur ou fabriquant de se positionner. Le discours d'un vendeur sera toujours en dessous de celui d'un fabriquant... C'est son matériel après tout. Il est le mieux placé pour en parler.
Je suis bien d'accord par contre pour dire que le vendeur DOIT relayer les informations constructeur. Il doit connaître le matériel et avoir un discours clair, expliquant qu'à chaque aile, correspond un niveau de pilotage...
A+
L
La cotation d'une aile dépend de trop de paramètres déjà en souhaitant une évaluation honnête... Ziad par exemple a tenté ce classement et donne une note sur la "facilité"...mais selon ses critères de pilote expérimenté dans des aerologies qui ne peuvent être standardisées. Mais si on mets les tests du DHV en face, il n'y a pas de corrélation.
Le vice d'une aile vient surtout de l imprévisibilité de la turbulence parfois et du pilote.
Le mot du concepteur me parait aussi primordial et devrait mieux définir les usagers d un type d aile...les revendeurs sont malheureusement souvent associés à une marque ou quelques avec des choix de privilégier l'une qui ne sont pas uniquement liées à la perf pure ou l équilibre général. Comment tester autant d'ailes tout en faisant de l enseignement, bi... ?
Et puis l homologation devrait peut etre s adapter plus vite que ça et modifier quelques critères de classement en A B C. Par exemple, pourquoi ces contre fermetures ne sont pas sanctionnées de cascade d incident? Pourquoi ne pas moyenner les plus mauvais résultats plutôt que garder le meilleur?