+ Le chant du vario +

http://www.parapentiste.info/fichiers/chroniques/371pages45-46.pdf

Tout en lisant je ne pouvais m'empêcher de plaquer ces infos sur les mono surfaces
Ce qui correspond tout à fait à mes observations et ressentis avec la SER.
J'aimerai beaucoup que quelqu'un faisant de la PA essaye avec une mono, je ne l'ai fait qu'une seule fois et touché la cible alors que je suis toujours trop court avec une voile normale...

mouaip, je ne suis pas convaincu

Dans l'article, Olivier parle de précision ... je trouve qu'au contraire, une aile plus légère possède moins de précision puisqu'elle se déforme plus (et puis de toute façon ça ne peut pas être amorti et précis)

D'où l'intérêt de tester pour voir si la théorie s'applique aussi aux monos et si non pourquoi ?
Est-ce que Caldara a écrit un mot dessus ?

Par rapport aux autres articles je trouve que cet opus n’est pas très argumenté. Une suite de poncifs sans la base technique qui fait habituellement le fort de ses publications.

Je ne vois pas trop ce qui ne serait pas juste.
Le truc c'est que c'est une caricature pour aider à la compréhension car il parle d'une aile dont le poids est divisé par deux. Dans la réalité on passe plutôt de genre 5 kg à 3,5 ou 4 kg. Ce qui limite assez drastiquement les changements de comportement.
Personnellement en passant d'une Queen2 à sa version légère la Q-Light qui fait 1,2 kg de moins, je ne suis pas capable de déceler des changements en vol. D'autant que l'allègement n'est pas obtenu uniquement par la voile mais aussi par des élévateurs différents.

Sinon à mon avis, il n'y a pas de raison pour qu'il en soit différent pour les simples surfaces. Avec l'effet démultiplicateur de l'absence de masse d'air dans la voile.

Je ne conteste pas les observations qui recoupent les sensations que j’ai en volant la version légère d’une voile. Je trouve juste que pour une fois il manque un peu la profondeur technique qui fait la richesse de ces articles.

Poser dans un mouchoir de poche avec une UFO est très simple, vu que la voile ne tangente pas le sol (pas de "flare") : elle descend sur une trajectoire d'impact et on l'arrête pile-poil pour poser en douceur.
C'est un coup à prendre, sinon il y a un cratère à la clé.
---
La précision avec une voile "normale" n'est pas évidente quand il y a de l'air : on peut se faire remonter ou appuyer, ou dévier, on peut rencontrer toutes sortes de conditions défavorables.
---
Faire la cible à Planfait (2m x 1,5m) n'est jouable que le matin, quand la brise n'est pas encore en place, mais elle est dans un creux et le plus souvent il y a dessous de l'eau stagnante, c'est un coup à prendre un bain de pieds ou à déraper ou à mouiller la voile. Le jeu consiste donc à poser les pieds juste à côté, en étant bon en distance.
 :trinq: