+ Le chant du vario +

qui a mal anticipé ?

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Emanuel Schuster a décollé la semaine dernière avec son parapente en Styrie et s'est retrouvé dans une cellule orageuse au Burgenland. Elle l'a hissé à plus de 6 500 mètres, au dernier moment, le Styrien a pu se sauver avec un parachute de secours et s'est finalement écrasé sur un toit en tuiles à Stegersbach.

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La suite de l'article se trouve ici, si vous voulez le copier-coller dans DeepL pour la trad :

https://burgenland.orf.at/stories/3006722/
 

et le p'tit reportage TV qui va avec :

https://tvthek.orf.at/profile/ZIB-Flash/1232/ZIB-Flash-1705/14021436/6-000-Meter-Paragleiter-erzaehlt-von-Absturz/14536389

La traduction Deepl pour les fainéants :

Pour Emanuel Schuster, le voyage de parapente de loisir prévu au Burgenland le 19 juillet s'est presque terminé en catastrophe : "J'ai commencé à Schöckl avec des amis. Nous sommes allés à Bruck an der Mur, il n'y faisait plus beau et nous sommes retournés dans le Burgenland et nous avons vu que le meilleur temps était au Burgenland. Soudain, je vois à droite un gros nuage au-dessus d'Oberwart. J'ai essayé de le contourner vers le sud, sous un soleil radieux, mais cela s'est avéré être une erreur, car la cellule orageuse suivante y a été construite. Il m'a alors soudainement tiré jusqu'à 6 500 mètres en une demi-heure ", a déclaré M. Schuster.

Malgré sa désorientation, le parapentiste savait à quelle hauteur la cellule orageuse l'avait fait tourbillonner dans les airs grâce à un GPS ou un manomètre - aussi appelé cockpit en référence à un avion. Il pouvait y lire l'altitude de vol.

Le planeur est devenu inutilisable à cause du froid.
"Le planeur a ensuite été givré, à moins 25 degrés, à une vitesse d'environ 100 km/h. Le planeur est alors devenu incapable de voler à travers toute la glace. J'ai ensuite redescendu à 2 000 mètres et j'ai dû lancer le parachute de secours, afin de permettre un atterrissage presque en douceur. Cependant, le vent m'a ensuite conduit à Stegersbach et m'a fait atterrir sur le toit d'un garage au milieu du village," explique Schuster.
Le propriétaire est devenu un témoin oculaire
Le témoin oculaire de l'atterrissage non désiré sur le toit à Stegersbach était le propriétaire de la maison. "J'étais au dîner et j'ai entendu quelqu'un crier'Au Au Au', puis je l'ai vu flotter entre le toit et la maison et atterrir sur le toit", me dit Josef Hofer de Stegersbach. L'impact a été si violent que l'homme a même percé le toit en tuiles. Josef Hofer a immédiatement mis la chaîne de sauvetage en marche et, quelques minutes plus tard, le blessé a été transporté à Graz par hélicoptère de sauvetage.

Pas de blessures graves malgré l'impact
"Heureusement, je n'ai pas subi de blessures graves à l'atterrissage. On m'a laissé une lacération au coude, qui a été cousue, ainsi que des abrasions et une côte cassée. Le plus gros problème, c'était les mains, elles ont eu des engelures et il faudra encore deux ou trois semaines avant que je puisse bouger et sentir mes doigts complètement à nouveau," dit Schuster.

"Je ne savais pas si je sortirais à Oberwart ou en Hongrie.
Emanuel Schuster est un parapentiste enthousiaste depuis douze ans et a déjà réalisé plus de 3 000 départs. Cependant, il n'a jamais connu un tel phénomène météorologique auparavant. "J'ai été désorienté toute la dernière heure dans le nuage. Il faisait nuit noire, je ne pouvais même pas voir mon propre avion. A cause de la grêle, de la glace, du grésil, de la foudre et du tonnerre, il était impossible de voir quoi que ce soit. Donc, que je vienne à Oberwart ou en Hongrie, je ne savais pas", a dit Schuster.

Dans quelques semaines, le technicien en construction vitrée veut recommencer. Dans l'ensemble, le jeune homme de 45 ans a eu beaucoup de chance dans la malchance et pas seulement cela : pendant trois semaines, il a aussi été le fier père d'un fils.