+ Le chant du vario +

Salut

Une pratique responsable protégerait-elle notre liberté ?

En kite, la réglementation évolue : extrait de Nouv'Ailes (FFVL)


Si c'est acquis pour les kites, combien de temps serons-nous encore libre en parapente ?

A+
L
 

 :affraid:

ce qui me fait peur, c'est le "notamment"...

On n’a pas trop le problème du matériel à la dérive en parapente

non, mais du matos abandonné dans les arbres qui déclenchent de fausses interventions (ou qui ralentissent les recherches) ...

Ah oui bon exemple

Après est-ce vraiment "étonnant" ? Surtout que ce n'est plus une petite fédération de vol libre qui en a la délégation mais bien la grosse fédération de la voile, pour qui rien de plus normal que "d'identifier" le materiel navigant et aussi d'exiger un respect absolu de ce que doit être ce matériel. Les belles années de "Liberté" du kite sont sans doute déjà de l'histoire ancienne.

Et question subsidiaire ; serait-ce vraiment étonnant pour le parapente d'être un jour contraint de la même façon si on fini véhicule la même image de gosses mal élevé que le kite ici ou là sur ses spot. Notre chance est que sur nos sites on est moins visible que les kiteurs sur les plages, sauf au Mt-Blanc bien sûr.

 :sors:

L'identification ne changera rien au problème. Seule un répertoire  de la localisation  du matos abandonné évitera ces fausses interventions.

Si ils réglementent en kite pour du matériel à la dérive, ils n'auront pas beaucoup de mal à réglementer en cas de non respect des espaces aériens ou d'accidents à répétition sur un site ou ...

A+
L

Ben si on peut retrouver le propriétaire de manière formelle, on peut aussi le verbaliser. Je ne connais pas assez la loi pour donner un texte officiel. Mais je pense que pour pollution, mise en danger d'autrui, ... Il doit y avoir moyen.
Et donc si tu peux être verbalisé, tu vas t'arranger pour ne pas laisser ton matos n'importe où. Même s'il semble HS.

A+
L

J’espe que non ! C’est la voie directe pour des verbalisations à distance, d’un garde zélé etc...
Le début de la fin promise du vol libre. Faut dire que ça dérange de n’être que très peu réglementé au pays du fonctionnariat ( et j’en suis un ...) !
Niet pour moi

Faut aussi dire que vu le comportement du libériste moyen indiscipliné et égocentrique genre "j'emm... les règles de bon sens  et les espaces aériens, tout m'est dû"

faut pas s'étonner des retours de bâton, et c'est normal.

Je ne vois pas en quoi devoir marquer ma voile atteindrait ma liberté  :grat:

t'es sûr qu'il est comme ça le liberiste moyen...j'ai pas l'impression que ça soit le cas sur les décos que je fréquente

c'est le début de la main mise sur le matériel de vol...
exemple avec l'immatriculation des ulm il y a 25 ans. avec aujourd'hui des contraintes que l'on imaginait même pas dans le temps ou on était "libres"

pour ta voile "identifiée" tu devras bien sur communiquer à l'administration la revente à mr intel.
et mr intel devra obligatoirement demander une immat. à son nom, avant de pouvoir voler !

papier qui sera sans doute payant, car la gestion du système sera lourd.
carte grise qui aura une date limite de validité de 2 ans, et qui pour la faire renouveler obligera la voile à avoir été contrôlée bonne !

c'est juste un premier exemple.

 :coucou:
bruno

Si dans le milieu marin, le matériel est immatriculé et si ils retrouvent régulièrement du matos de kite abandonné, pas étonnant que l'immatriculation soit devenu obligatoire. Là aussi, il faut pouvoir savoir si son propriétaire est manquant ou non.

En matière d'espace aérien, malgré notre nombre, notre temps de vol élevé, il y a vraiment peu d'incidents notables.   Et, contrairement aux bidules pétaradants, nous ne troublons les autres que rarement, et c'est majoritairement au posé, là où on est facilement identifiable!

A la lecture du règlement (oui, j'ai un peu de temps aujourd'hui  :? ), on s'emballe peut-être un peu vite (moi le premier), non?

    Nouveautés 2019 : marquage de son matériel

Les planches aérotractées comportent un identifiant de la personne, physique ou morale, qui en est le propriétaire et permettant de la contacter. Cet identifiant, en caractères d'un centimètre minimum de hauteur, doit être inscrit sur la voile ou sur un support qui en est solidaire. Il doit être constitué soit par le nom soit par les coordonnées téléphoniques ou électroniques du propriétaire ou par plusieurs de ces identifiants (marquage à positionner de préférence sur le bord d'attaque de l'aile).

aussi étonnant que ça puisse paraître de la part du législateur, qui a en ce moment tendance à virer dans le répressif assez facilement, on serait peut-être bien sur une réelle prise en compte des matériels perdus, et non d'un flicage en masse.

Mea culpa donc pour mon intervention initiale