+ Le chant du vario +

Amis parapentistes bonjour!   :coucou:
Me considérant comme un modeste écrivain de petits récits à mes heures perdus  :grat: , je me suis dit que je pouvais en faire partager des collègues du monde du vol libre!  :ppte:  Mes récits ne seront pas des histoires de longs vols en cross mais plutôt des petits vols sans grandes ambitions, des petits moments de bonheur  que la vie m'a offert et que j'espère pouvoir vous faire partager! Je vais donc commencer aujourd'hui même, pour une petite histoire d'introduction!
En espèrant que ça vous plaise, bonne lecture!  :vrac:  :lol:

pas mal...mais un peu courte...on reste sur notre fin  :mrgreen:

He oui! Une telle brièveté dans le récit, c'est la faim des grandes et belles histoires  :P

le pire c'est que je me suis meme pose la question  :canape:

sur sa faim donc  :forum:

Chronique n°1: Les aventures de johnygaufrette aux 4 seigneurs!

J'aime l'hiver, saison du ski, du vin chaud et de la tartiflette! J'aime cette saison où l'on prend tant de kilos! Mais les drogués de parapente que nous sommes éprouvent toujours cette sensation de manque, ce petit gène de ne pas pouvoirs s'élever au plus haut des cieux, au-delà de la pollution et du reste du monde! :(  Et c'est au coin de mon salon, près de la cheminée à éthanol et perdu dans mes pensées, :grat:  que le souvenir de ce vol m'est revenue... :ppte:
Milieu de l'automne 2014, à une date que j'ai oublié. Une journée ordinaire avec un beau plafond. C'est vers le milieu de l'après-midi, juste avant un impératif familiale que me prend une soudaine envie de la déplier, elle, la prunelle de mes yeux, ma si belle et précieuse sigma 8! Mon père et deux amis sont contaminés! Il faut donc agir au plus vite afin de préserver notre santé mental! On envisage 3 projets avec cette brise venant de l'ouest et la fin de journée qui approche: rouler et griller les feux pour rejoindre le grand rats, ou déraper dans les virages de la montée de Chamrousse, ou plus modeste mais plus pratique, un 4 seigneurs. Le grand rat est trop loin, et Chamrousse est trop contraignant du fait de l'impératif... On embarque donc à 4 pour la colline du Murier, à une voiture, avec un repose au sommet prévue!
Arrivés avec les 15 kilos de matériels nécessaire à ce moment de bonheur qui s'annonce, je me porte volontaire pour le premier décollage!   Quelques rubans rouges et blancs posées à une branche  biroute , je sens la bonne brise ouest de face qui vient m'embrasser aussi naturellement que m'a copine le ferait  :bisous: , je sens que c'est le moment! La voile se lève, mes pieds décolent... :ppte: 
Je pars sur la gauche direction Herbeys pour chercher un thermique qui ne se fait pas attendre: 3m/s, j'atteint les 1300m d'altitudes après quelques minutes de vol! Et c'est là qu'elle vient à moi!  :ange: Cette magnifique vision de l'agglomération grenobloise, celle qui nous fait tous rêver! Mes 2 amis et mon père me rejoignent peu de temps après, et une belle perspective s'offre à moi: le parc de la frange verte d'Échirolles est à portée de vol, étant suffisamment haut et connaissant les bonnes personnes à la mairie, on a autorisation exceptionnel de pouvoir se poser sur ce grand champs! Après y avoir fait du gonflage, ce rêve de gosse s'offre enfin à moi! Contacts radio passé, on décide donc, sauf un des amis qui doit récupérer sa voiture et pour ce faire reposer au déco, de poursuivre en direction du sud! Après trois quarts d'heures de rechute dans cette drogue qu'est le vol libre, tout le monde finit par se retrouver les pieds sur terre, tout en douceur et l'esprit totalement comblé!  :ppte: Après un repliage rapide des voiles, tout le monde finit par retourner sagement aux affaires quotidiennes!  :lol:  8)
Quand a moi, c'est avec une immense satisfaction que je vais conclure cette première chronique, en espérant vous avoir fait partager un bon moment et mon immense sensation de ce petit moment offert par la vie et qui n'a pourtant rien d'exceptionnel!  :ange:
Prochain numéro: Il était une fois au Peuil! Bons vols et bonnes santé à tous!!  :rando:    :D

Bonne appétits!  :coucou: le prochain arrive dans la semaine et sera plus sentimentale je trouve! n'hésitez pas à dire ce que vous en pensez, comme ça j'améliorerais mes histoires au fils des chroniques!  :sos:  :coucou:

 :shock: ho l'aute y vient chez moi et il fait même pas signe  :mrgreen:

Salut Johny et merci pour ton petit récit sympathique.
Si tu connais du monde à la mairie d'Echirolles, ça vaudrait le coup que tu te rapproches de leonardo qui essaye de trouver un atterro officiel et surtout aimerait voir cette interdiction levée ou du moins réduite...

Mais je crois que Thierry_c pourrait déjà t'en dire plus ?

La deuxième histoire sera publié dans la journée! :ppte:  ;)

Il était une fois au peuil...

Il est des endroits dans la vie où l'on se retrouve marqué au fer rouge par l'empreinte qu'il nous laisse tant le lieux nous est parut magique alors qu'aux autres il paraîtrait tout simplement banal. C'est ce qu'il m'est arrivé avec le plateau du peuil. Je dois admettre que si j'ai commencé le parapente, il y a eu l'influence familiale, la volonté de s'élever  :roll:  mais aussi et surtout le rêve de pouvoir contempler ce plateau depuis les cieux.  :ppte:

Il est difficile d'imaginer le bonheur que j'ai pu éprouver les nombreux samedis où j'y suis monté avec mon grand-père, à parcourir les forêts de ce lieux que j'imagine ressembler au paradis si celui-ci existe  :ange: ; à récolter des champignons ou tout simplement à m'allonger sur la combe des tourbières et à méditer en observant toujours avec la même joie les crêtes du Vercors de l'Arc Saint-Michel et les forêts verdoyantes qui finissent par habiller les roches tel un manteau de fourrure verte au printemps et en été. Les falaises imposantes, ce qui rend ce lieu aussi magique, c'est le calme. Je n'ai jamais connu pareil endroit pour se reposer. En automne, le vert laisse place à tout un défilé de couleur allant du rouge bordeaux au vert foncé des conifères, et l'hiver fait place à lieux aussi blanc que le cachemire! Bref mon ptit coin à moi!! ;)

C'est donc en toute logique, dans une des plus grande impatiences et des plus grande joies que je n'avais jamais connu alors que je me suis pointé sur place avec ma voile et mon matériel de vol. Je connaissais déjà le décollage, car j'avais observé de nombreux départs durant mes escapades sur le plateau. Je volais depuis déjà quelques temps sur Saint-Hilaire et mon heure de faire une autre expérience était venue.
 :vol: Je vais sur place avec mon père, et deux copains, met le pieds dans une bouse fraîche et en y déduisant que le passage des vaches y était récent. Je savais qu'il y avait le danger des lignes à haute tensions juste en dessous et qu'il fallait faire attention. C'est donc concentré  que je déplie la voile et que je me prépare. Vent de nord-est à 17km/h biroute , brise de vallée nul et écart de 16°c depuis l'aube, condition idéales, je me lance. Après une petite course, envole à 12h15. Je m'oriente vers la gauche à la recherche d'un thermique qui ne vient pas! Je descend donc, en espérant ne pas devoir poser directement!  :(  Je continue et je finis par me trouver sur un petit éboulis et une forte ascendance à 4 m/s, je tourne et reste dedans pour tenter de monter le plus possible quand je finis par dépasser le plateau! :ppte:  Je sors et me promène un peut! Quel bonheur de voir tout ces champs! Mais soudain petite ascendance à 2 m/s, je  monte et je peux enfin dépasser la combe et voir la tourbière avec assez de marge pour me promener! Mon rêve se réalise enfin...Voir toutes ces nuances du vert foncé au verts clair puis le jaune pâle de la tourbière!  :dent:  :ange: Quand soudain cette même tourbière m'offre une belle surprise!!  :D Un beau courant ascendant qui me propulse au dessus des crêtes! Je peux enfin voir le plateau dans toute sa splendeur! Je n'ai jamais su trouvé les mots pour décrire le sentiment de joie qui m'animait à ce moment là, si ce n'est que je n'aurais pas voulu qu'il s'arrête!   :vol:   :pouce: Puis j'ai pu me servir des crêtes pour tenir un bon moment! Mais comme pour la vie, toutes les choses ont une fin  :(   ;) Donc direction Malhivers et un attéro suffisamment grand pour y poser un avion! Posée à 13h47 soit 1h30 de vol, un des voir le plus beaux des vols que j'ai connu, étant le premier en ce petit paradis!  :ppte:  :-P

Voilà, c'est sur cette petite note que se termine ma chronique de mon premier vol au plateau du peuil, situé au dessus de Claix! En espérant que cela vous a plu!
Prochaine chronique: Le plouf le plus long de johnygaufrette!  :rando:

Je précise que mes petits récits ne parleront que de vol dans les environs de Grenoble et de Besançon!  :ppte:  :-P
Cordialement!

C'est de la petite littérature sympa et gentillette, qui passerait beaucoup mieux à l'oral qu'à l'écrit.
Je fustige donc un français médiocre et une orthographe approximative, c'est tout à fait énervant de lire ça, cela me fait penser à des copies de lycéens.
J'encourage donc l'auteur à faire un gros effort pour soigner ses textes, c'est le moindre respect qu'on doit à ses lecteurs.
(et hop ! encore un ennemi de plus)
 :trinq:

Woua super sympa comme message sagarmatha..
Continue à partager tes récits et tes expériences moi je suis preneur ☺

 Dis-donc, tu radoterais  un peu toi par hasard? Confère une réponse que tu m'a faite il y a  moins d'une heure sur mon récit:  ''Le français est déplorable et l'orthographe très approximative, c'est regrettable et parfois pénible à lire, mais il y a du souffle épique et de la poésie dans ce récit''
Eric Naulleau, sors de ce corps  :grrr:

Moi je kiffe ton flow Parajohnygo!

Moi pareil et ceux qui trouvent que le français n'est pas assez bon ne sont pas obligés de lire le récit..... On a pas tous fait des études et on est pas plus con que les autres...

Je précise ma critique.
 :prof:  Les textes sont fluides et il y a de la cohésion dans le style, c'est le plus souvent relativement bien écrit - donc lisible - mais l'écriture manque de rigueur. Il n'est pas absurde de se relire et de corriger ses propres fautes, qui arrivent inexorablement quand la pensée va plus vite que les doigts sur le clavier. Cela se produit aussi chez moi, évidemment, et je travaille toujours mes petits textes pour essayer de livrer aux lecteurs une prose de qualité acceptable.
Je sais aussi écrire en vers mais, honnêtement, c'est un exercice hors de propos et cela ferait (encore) un peu (plus) cuistre.
Je ne peux donc qu'exhorter les nouvellistes en herbe à mieux fignoler leurs productions, ils y trouveront eux aussi un intérêt.
 :trinq:

Bonjour à tous!
J'ai lu les commentaires et je vous remercie tous! Je vais tentez d'améliorer mon style même si je ne suis pas un grand écrivain, et que j'ai des problèmes de dyslexie. Je suis ouvert à la critique, mais je demande juste un peu de modération dans certains propos, et merci pour les compliments!  ;)
Le prochain récit est en préparation!
Bons vols à tous!  :ppte:

Un dyslexique qui écrit "dyslexie" correctement ne peut pas être dyslexique.

Je suis assez d'accord, j'adore les récits. Tu as de la dynamique, mais l'orthographe c'est très simple à corriger. Si tu n'y arrives pas tout seul, tu copies ton texte sous word, il peut même te corriger la grammaire (on sait jamais ;)

Un beau texte peut être gaché par une orthographe lamentable comme dans ces récits, de même qu'une belle vidéo de parapente par une musique de supermarché (et hop les critiques vont pleuvoir :)