+ Le chant du vario +

Le top (désolé si déjà posté) de l'art :
http://www.youtube.com/watch?v=0ouvCUP11yM (http://www.youtube.com/watch?v=0ouvCUP11yM)

Génial merci ! C'est le genre de vidéo qui mérite d'être repostée de toute façon pour les nouveaux comme moi qui ne connaissaient pas.

Le lien ne semble plus marcher. Quelle était le titre et l'auteur de la  video ?

Sais pas. Mais il y a souvent celle-là qui ressort :

http://www.youtube.com/watch?v=Y2MwZyOl47U

Question maintes fois posées ... je sais  :oops:  :
Ici il affale la voile aux C-D. Parfois, lors de grosses bouffes thermiques s'ajoutant au dynamique, la voile a tendance à écoper (je me suis fait embarquer une fois :affraid: ). Que préconisez-vous ? Affaler la voile aux C-D et courir vers la voile ? On m'avait conseillé de casser le profil aux B et de courir vers la voile. Une solution miracle ?

Pour ma part, le meilleur truc que j'ai trouvé quand c'est fort, c'est de poser la voile en bord de fenêtre ( l'inverse du gonflage  en "cobra") et le plus parallèle au vent possible, ensuite je cours vers le stabilo afin de l'attraper à la main (ou par ses suspentes), dans le but de tenir la voile en "drapeau"...
C'est un peu brouillon comme technique mais, tu n'as plus aucun risque de regonflage de la voile.

En drapeau !  :affraid: T'as pas peur pour tes coutures et ton BA à joncs ? Moi j'évite ça le plus possible au contraire...

Perso l'affalement aux B me convient bien, et je trouve ça mieux qu'aux arrières. Vous me corrigez si je me trompe mais l'action aux arrières cherche le même effet qu'une action aux freins à savoir le décrochage de l'aile et non pas la casse du profil... Du coup l'aile reste assez gonflée pendant son affalement, avec un effet spi plus fort qu'aux B... On peut vite se faire reculer... enfin tracter si pas de chance  :vrac: Bon ça c'est mon analyse perso qui ne vaut qu'à hauteur de ma petite expérience  :coucou:

Quant à garder sa voile au sol une fois affalée part vent fort, pour éviter de la laisser flapper : tours de freins des deux cotés, mise en tension légère des élévateurs en reculant (pas touche aux A! Juste à la sellette!) ce qui met légèrement le BA en forme, et en la tenant bien aux freins pour ne pas qu'elle gonfle. Avec uniquement le BA gonflé et les freins qui l’empêchent de monter elle reste rivée au sol ! Recette perso de longes séances de trainages pentécolesquesparventfort  ;)

En réponse à Michel, je parlais d'une situation d'urgence exceptionnelle (surpris à l'atterro. par un vent très fort); pas pire pour la voile que de se faire traîner et de finir dans les barbelés :affraid: (la voile flappe mais n'a pas de contraintes)
A mon avis, l'affalement aux B ou aux C dans le lit du vent à ses limites lorsque les conditions sont fortes, comme lui je m'étais fait piégé par un regonflements spontané car un élévateur m'avait échappé.
J'ai trouvé cette technique beaucoup plus facile la voile se trouvant dans le sens du vent.
voilà...
 

Perso, quand ça ronfle, c'est mains sur les arrières avant d'avoir touché le sol, et dès que les pieds touchent le sol je tire d'un coup sec et je vais vers elle. Jamais pris en défaut avec cette technique jusqu'ici. Il faut avancer en ramassant les arrières avant les avants, de sorte que la voile n'ait aucune puissance même si elle regonfle par en dessous.

J'avais vu une vidéo sur le DVD Apprendre le parapente "Techniques de gonflage" où le pilote tirait les avants d'une demi-aile pour provoquer une fermeture asymétrique et affalait ensuite l'autre demi-aile aux arrières.

Je n'ai pas testé mais sur la vidéo, cela semblait efficace.

Seb

Ha oui effectivement je m'etais dit de tester cette méthode... et j'ai  complètement zappé.

Il faut avoir la possibilité de faire du gonflage dans du vent fort.
Moi je préfère jouer dans du vent fort maintenant mais à Toulouse ce n'est pas évident d'avoir fort et pas trop turbulent.

Oui, on m'a appris cette technique : fermeture d'une demi-aile et décrochage semi-simultané de l'autre demi-aile.
Testé en gonflage par vent semi-soutenu, ça marchait bien, l'aile tombe en bouchon en même pas 1 seconde.
Après, en situation réelle, lors d'un posé à reculons, dans la panique, saisir les bons élévateurs... c'est pas forcément gagné.  Mais c'est un outil de plus.