+ Le chant du vario +

bonjour, comme c'est moi qui lance ce sondage, je commence donc.

Pour ma part, j'ai répondu : passionné déja par un autre sport aérien auparavant, en effet, passionné par le domaine aéronautique depuis tout petit, j'ai eu mes premiéres ailes en 1989 grâce au vol à voile et ce n'est qu'en 2007 où je suis venu au parapente

perso , j'avais une tout autre activité sportive (sport motorisé = coût élevé)
N'ayant plus les moyens de faire du circuit,(ben oui j'avais bouffé tout mon fric la dedans ), il me fallait trouver une autre passion et j'ai fait un stage de parapente.

Dans la région le parapente est légion,  et ...............j'ai accroché.
Dans la foulée j'ai vendu la r1 et je me suis acheté une voile et je ne le regrette pas ( bon des fois un peu quand meme)   :oops:

 :ppte:

A la fois très jeune, quand je voyais passer des parapentes au dessus de la maison de mes grands parents en savoie (voire poser dans le jardin pour certains), je me disais "ça doit être chouette, un jour j'en ferai aussi !"
Mais c'est au hasard de la vie, en faisant le Thabor en ski de rando, que j'ai vu monter un parapentiste avec son gros sac (pas du tout une mini voile, et décoller du sommet que je me suis dit "banco, je m'inscrit à un stage"

J'avais toujours regardé les "hommes volants" avec admiration et envie.... mais étant sujet au vertige et à la peur du vide, c'était de loin.

Et puis avec la vie de famille, comme cela n'attirait pas les autres, je n'avais jamais franchis le pas pour un simple baptême.

Et puis il y a 2 ans, nous avions programmer un voyage de printemps en 4x4 au cœurs de l'erg du Mourzouk en Libye, et voila t'il pas que suite à un imbroglio diplomatico-judiciaire dont la famille Khadafi a le secret, 8 jours avant le départ, tous les visas Libyen pour les ressortissants européens sont invalidés. Tout le voyage tombe à l'eau.  :grrr2:

On réussis tout de même à se faire rembourser les billets de bateau, mais le groupe splite, chacun se trouvant du coup autre chose à faire de son coté.... ma femme qui vient de changer d'employeur, renonce à ses congés sans solde, ma fille préfère voir des copines et... je me retrouve tout seul comme un c.. avec 15 jours devant moi à glander et un petit budget.  :grat:

Je me dis que j'en profiterais bien pour essayer un baptême de parapente, mais comme j'ai la trouille et le vertige, mais que je voudrais bien pouvoir tenir les commandes juste une fois pour voir, et bien un mini stage de 4 ou 5 jours ne seront pas de trop.... et puis vu le prix pour un baptême de 20' par rapport à 5 jours complets, je ne suis pas perdant.

1er vol en biplace, un plouf balistique à Moustier Ste Marie - après une montée à pied que je termine épuisé par le poids de la sellette, trop tendu pour vraiment en profiter, mais une fois poser je dois admettre que tant le décollage que l'atterrissage se sont passé en douceur et ne sont pas si impressionnant que ça.

Fin de journée gonflage, trop crevé pour remonter le soir faire le 2ème vol, je reste un peu sur ma faim.
Le lendemain, re vol balistique en bi le matin, ou je suis moins stressé et journée gonflage. Mon objectif est atteint : j'ai fait un baptême et j'ai été suffisamment calme pour en profiter.

Le soir le BE me propose un vol de durée, et me précise de bien me couvrir.... why not ?

Après avoir fait une pair de baptême payant pendant que je poireautais au déco, on part juste au dessus de Moustier. Il prend de l'altitude, me passe les commandes et sous ses instructions, on transit vers les gorges du verdon, le lac de Ste croix, le camps militaire de Canjuers, on passe au dessus du déco d'Aiguine. J'ai froid et un peu la trouille, mais je ne le dis pas trop, tellement c'est bô !

Retour au déco, et posé sur le rocher même ou on était parti : + 1 heure de vol, 30 km de balade au dessus d'un décors superbe, et repose au point de départ !  :bravo:  :bravo:  :bravo: Le virus est inoculé.  :ppte:   

Au fait, la peur du vide et le vertige.... ben ça va, merci pour eux.  :mrgreen:
   

Je répond très jeune!
Au hasard d'une rando, j'avais 13 ans et j'ai vue un delta décoller!
"JE VEUX REDESCENDRE COMME CA", ais je dit a mon père! Et ce jour là j'ai maudit la descente de 3h00 de marche.
Après, tout les ans je lui ai redemander de m'offrrir un stage, a 16 ans il a accepté! Le parapente est venu insidieusement par les "ploufs du soir" avec le matos des potes.
Depuis quelques années j'y prends de plus en plus gout,  après avoir démystifié LA fermeture et dompté l'effet pendulaire!
Quel pieds ces bouts d'chiffons.  :dent:

j'ai toujours eu les yeux en l'air, que ce soit pour voir les avions en approche au dessus de chez moi, ou les planeurs qui décollais au dessus de chez mes grands parents, mais c'était un rêve sans chercher a le concrétiser, un jour j'ai eu l'occasion de faire un baptême de planeur qui bien que court m'a fait prendre conscience du bien être d'être en l'air, puis lors d'une soirée un pote me dit que le we suivant il part pour un we découverte de parapente et qu'il reste une place, et la banco le virus a pris de suite, et m'a amené a plusieurs dizaines d'heures de vol, quelques centaines de vols et un total de prés de 600 km parcourus en 4 ans.
je ne dis pas que sans le pote je n'aurais jamais volé mais c'est lui qui a été le déclencheur, depuis je continue a voler et lui pour des raisons familiales ils c'est mis au volley mais je ne désespère pas lui faire reprendre les ailes.

Pas mieux.

Tout ce qui vole m'intéresse ... ouais non en fait même ce qui tombe m'intéresse : les F-104, les wingsuit ... les cheveux dans la soupe aussi du reste.

Ensuite pourquoi le parapente ?

Un peu par hasard. Par l'intermédiaire d'un tiers.

Un pote est revenu de mission pour l'OTAN avec une Flight Design A3 et une sellette genre baudrier d'escalade dans son Kit-Bag, je sais même pas comment il avait choppé ce truc et je veux pas le savoir. Il avait des récups à prendre, moi aussi, il a dit : viens on essaie et je me suis retrouvé, par une chaude après-midi d'été à forte instabilité, en l'air sous une DHV-2 "montagne" de 1992, sans jamais avoir vu un autre parapente de ma vie, sans même savoir ce que DHV voulait dire, en pleine activité thermique, sur un site désert et un poil sous le vent, sans secours, sans protections, sans radio, sans ... euh non avec ... avec, mais pas beaucoup non plus ... avec pas beaucoup de neurones, mais quand même plus que ce qui me reste aujourd'hui, merci l'alcool. Mais bon ceux qui restent sont de qualité !

Un Ami volait déja en parapente dans une station de ski des alpes du sud est, il me demandais toujours de venir voler avec lui et moi lui répondant" tu es fou , moi ce sera toujours avec un sport les pieds sur terre", un jour il me demande d'aller voir décoller un bi place, j'y vais donc, la un moniteur nous attendais et met la remontée en marche pour aller au sommet, là il me lance "bon alors tu es pret"moi etonné pourquoi pret? et bien me repondit t'il c'est pour toi que l'on y va, mon ami m'avais joué un vilain tour, il me dit la remontée est en marche exprés pour toi, bien que trés hésitant et avec la peur au ventre j'acceptais finalement donc.
En l'air je n'avais jamais autant été impressionné par la situation et les emotions qui me summergaient que j'ai du faire écourter mon vol et ce n'est qu'aprés avoir attérri que je me suis dit;" ça y est c'est ce que je veux faire"...la suite à été, qu'une semaine aprés j'effectuais mon stage initiation...

Originaire d'Annecy et ayant fréquenté la fine équipe des grimpeurs du CAF avec quelques sacrés pilotes locaux, je m'étais interdit tout baptême de peur que cela me plaise, pire que cela, j'étais persuadé que j'allais accrocher.

En 2009, on me propose une expé dans le Grand Nord du Québec, le truc de fou: approche en hydravion, plusieurs semaines en canot avec une partie de l'équipe de ma précédente expé en 2005. J'suis prêt à tout, congés sans solde, craquage de PEL puis la fille avec qui j'aurai du naviguer préfère partir avec une amie malgré toutes les garanties de mes copains locaux comme quoi je ne suis pas "une crisse de maudit français".

Le bec dans l'eau, le compte en banque plein, je me dit, banco, un stage de parapente en mai. Et c'est la spirale infernale: second stage en juin, matos fin juillet, bcp de vols, troisième stage en septembre, le Mont blanc dans la foulée, la mini, des cross, l'Airtour, la Qbi et le biplace deux ans après.

Depuis, j'ai abandonné toute idée d'émigrer au Québec, j'ai plus une thune, je ne pense qu'à voler et j'ai perdu contact avec mes amis...  :koi:

Il ne faut jamais commencer... :prof: mais on s'en fout, on continue  :bravo:

J'étais au Lycée au Togo.
Un weekend un pote me dit viens on va faire un biplace en parapente ya des parapentistes qui en font dans la montagne.
J'y vais, je rencontre Gérard Bosson co-inventeur du parapente et une monitrice française. Je fais un biplace avec elle.
Je dis : je fais un stage !
La semaine suivante j'ai commencé à voler, jusqu'à mon brevet et voilà...
Que de souvenirs... des weekend dans le petit village d'adeta, sans eau ni électricité ne faire qu'un avec la nature !

A 13 ans, un jour de vacances d'aout pluvieux, j'achètes au hasard un magazine (aviation 2000, disparu depuis) en me remémorant le meeting sur la base de Chambéry (BA 725) que j'avais vu à 8 ans.

Et là c'est la révélation. Je deviens passionné d'aviation, dévore toutes les revues, fais les meetings...

Mon cousin me fait découvrir le parapente pendant les 2 saisons (fin des années 80) où il pratique. Je ne suis pas intéressé, "obnibulé par les trucs en dur qui volent au moteur".

A 20 ans, je décide de passer le brevet ULM pour m'acheter un "tubes et toiles", formation que j'abandonnerai avant la fin pour cause de mise en ménage avec une jeune demoiselle. En même temps, je rentre dans l'armée de l'air où je ferai carrière.

A 25 ans, faute de moyens, je me rabats sur le parapente, je réussis laborieusement à me payer un stage initiation (1995). Je prends quelques forfaits "10 vols" durant les 3 années suivantes, puis en 1999 j'achètes mon propre matos. Depuis j'ai toujours pratiqué, dont 3 ans de paramoteur pour cause de mutation en plat pays (La Beauce, Chateaudun).

Ben moi grace à la fac en 2005 (l'université de caen) et son service des sports extra..pas passionné par les études de géographie, du coup j'ai profité au max du service des sports. Chaque vendredi apm, pendant toute l'année pour une dizaine d'euros deux moniteurs proposaient de la théorie, du gonflage, des grands vols en bord de mer, un voyage en avril en rép tchèque..franchement merci la fac! Je crois que c'est une façon d'apprendre le parapente très peu développée mais excellente : c'est un apprentissage très progressif, dans la durée qui donne de solides bases, pour un budget plus qu'accessible !!!!!!! allez pour leur faire de la pub, voici le lien du site du club parapente de la fac de caen !!!  http://parapentesuaps.pagesperso-orange.fr/

Bonsoir,

Je faisais de l'alpinisme avec des amis depuis 1965 (j'avais alors 18 ans).
Au cours de l'hiver 1986-1987 la revue de montagne "Alpinisme et Randonnée" a publié un dossier assez étoffé sur cette nouveauté incroyable : un planeur de tissu qui se roule dans le sac et avec lequel on peut redescendre des montagnes en volant  :vol:
Juste pour voir, je réussis à convaincre 3 amis (montagnards aussi) d'essayer et on s'est inscrit à un stage d'initiation avec P.Bouilloux à Annecy en août 1987 (je venais d'avoir 40 balais).
Et quand on essaye ce truc... on attrape le virus à jamais !
A l'atterro du 1° grand vol de 800 m de dénivelée (le matin du 2° jour de stage !) la seule question était : combien de temps pour acquérir un minimum d'autonomie et pouvoir acheter une voile ?  :pouce:

2 week-ends de stage perf = 18 vols encadrés en radio en tout depuis le début, achat d'un parapente top niveau (Evasion 25 de la marque Edelweiss à 3,7 de finesse !) et 19° vol absolument tout seul en solo en rando montagne dans les Bauges sur un endroit que je connaissais bien avec des atterros immenses partout.
Et depuis cela n'a pas arrêté avec surtout des vols en moyenne ou en haute montagne (les plus beaux vols, pour moi, étant ceux que j'ai faits à l'issue d'une belle ascension avec des amis et il y en a pas mal...).

Marc Lassalle

bein pour moi depuis tout ch'ti n'enfant !!!

Mon p'tit papa travaillait pour une société qui faisait du tissus de parachute ( qui plus tard est devenue Porcher ) ... donc j ai toujours eu du tissus a la maison et fabriqué des parachutes pour le chat ... puis des deltas pour le chat ... puis pour moi ... premier vol en avion à 4 ans. En 1985 je vois les premiers parapentes et dès ma première paye j'ai fait mon stage et j'ai acheté un parapente ( chute plutôt ) ... et depuis je vole dès que je peux ... j'ai changé de lieux d'habitation, de femme et de boulot .....

J'ai connu le parapente dans le bureau d'une collègue de travail!
Réunion dans son bureau.
Elle parle boulot, mon esprit s'évade en regardant une photo d'un parapente qui longe une belle plage sans fin ; le ciel est bleu, la mer est calme, la vue est belle! une très belle photo.
Je m'imagine en train de piloter le parapente que l'on peut voir au premier plan et d'atterrir sur la plage au fond de la photo!

J'interrompt ma collègue (de toute façon, je ne sais pas ce qu'elle me raconte!) :
"
-jolie photo, tu l'as eu où?
-c'est moi qui l'ai prise me dit elle fièrement. Pendant mes vacances de parapente en Grèce!
- tu dois être super expérimentée!?
-ben non, j'ai juste fait un stage initiation avant ça!
-?!
"
2h plus tard, je réserve mon stage initiation dans la même école que ma collègue.
Depuis, le virus ne m'a pas quitté. Les photos de parapente sont maintenant dans mon bureau!
une vraie drogue...
même en convalescence, j'y pense tout le temps!
 

Ah la la, assez jeune pour moi aussi, je devait avoir quelque année quand j'ai vu pour la première fois des décos (majoritairement des delta si je me souviens bien). J'ai directement accroché à tout ce qui volait, avion, montgolfière, cerf-volant, parachute et naturellement le parapente  :)
Mes cousins ont commencé a faire de la montgolfière téléguidé je les ai tout de suite rejoint, j'ai fait quelque meeting avec eux en Belgique. Puis à cause de problème, on s'est perdu de vue, donc, fini les mini ballon  :x
Puis finalement, je suis revenu au parapente et il y a un peu moins d'un an ( le 12 mars pour être précis  ;) ) je touche pour la première fois à un vrai parapente, petite session avec un ami ! depuis, j'arrête plus, de avril à juillet, dès que j'avais des w-e libre et que la météo était favorable, pente école, pente école,pente école!!! depuis j'ai fais un stage, le second est prévu et pour le moment, à peu près 30 vols  :ppte:


Je fais aussi du volley, et c'est très faisable de faire les deux, donc bonne chance pour le faire revenir parmi nous  :mrgreen:  

Alors, amoureux de la collègue? :sors:

Ah ces sondages !

Pour ma part, mon copain de l'époque  faisait du parapente et je m'y suis mise aussi.
Ah par amour, que ne fait-on pas !!!!

Mais, ça m'a tellement plu que même maintenant, sans lui, je continue et c'est ma drogue, que dis-je ma passion ! eh oui !   :speedy:
Et puis, peut être que j'en rencontrerai un autre, comme ça aussi   :bisous:   (allez, je rigole :)

Je pense même que je m'y serai mise de toutes façons  :init:

A fond dans l'escalade à la fin des années 80.
Vacances de Noël avec des copains à Gréolière pour grimper au doux soleil de décembre. Après-midi du 30/12, nous grimpons torse nu sur la falaise, (super le sud pour ça !) :bravo:
Une sorte de parachute rectangulaire glisse au dessus de nos tête dans le bleu du ciel et va se poser au village, dans un décor de rêve...
On plie et on fonce voir ce qu'il en est...
Illico, nous voilà inscrit pour un premier stage avec mes 2 potes, en avril 89, à la Colmiane (06).
Second stage de perf au Mézenc en 90 (6 jours de vol à fond).
Achat de ma première aile (une Birdy de chez VTS = Voilerie Technique Stéphanoise, ancienne marque de Saint Etienne).
Depuis, mon nombre d'heures par an ne cesse d'augmenter...  :vol: 
Faut dire que c'est devenu ma principale activité.  :ppte:

Super ce post !!  :bravo:  :forum:
C'est très interessant de voir les parcours différents de chacun qui nous ont ammenés a poser nos fesses dans une selette

Au début fut la Moto, à la différence de Nikita pour moi la piste se voyait plus en terre qu'en bitume (quoique !) Après les années d'initiation (14 ans, les Gauloises) :grrr:  et autodidactes suivies des années compét :speedy: , retour à la raison et au tourisme.

Septembre de l'an de grâce 2000, C'est le dernier Bol-d'Or au Paul-Ricard. Le groupe de copains-motards que nous étions depuis 7 ans est en deuil de but-alibi pour notre grande sortie annuelle (~4000 Km en 10 jours avec Vosges, Jura, Alpes du N et du S, détour après course dans les Pyrénées pour un retour par le Massif central) La question se pose qu'allons-nous devenir, qu'allons-nous faire de tous ce temps maintenant que Bol-d'Or (au Castellet) tu n'est plus là ? :grat:

C'est là que je me souviens que mon frère qui nous retrouve chaque année, voire nous accompagne depuis sa Ht-Savoie d'adoption (professionnelle), fait du parapente à ses heures perdues depuis 1991. J'en parle aux copain et nous décidons que ce dernier Bol-d'Or dans le Sud va nous donner l'occasion de finir notre peut-être dernier périple par un stage initiation parapente (juste pour voir) :init:

Il s'est fait avec l'UCPA au Lachens, le stage fut nul mais la passion fut née.

Le reste c'est déjà vu raconté dans d'autre fil (présentation, etc. ...) :floodstop:

Ah oui, sur les quatre mousquetaires du départ, nous sommes toujours encore quatre parapentiste à nous fréquenter au gré des décos, attéro voire sortie en commun. Même si le temps passant, nos philosophies de pratiques ont évolué et qu'il est de moins en moins fréquents de zéroter ensemble ... mais c'est une autre histoire. :rando:

Ah oui (bis) mon frangin bien que revenu (professionnellement) dans sa Lorraine de naissance vole toujours et encore ... à ses heures perdues. :init:

Qu'importe le parapente, pourvu qu'il y ai la passion, :forum:

pour moi,
ça devait etre en 1999 en vacances avec un copain (et ses parents) à Vallouise.
on a fait une balade et ses parents qui connaissaient le coin ont décidé de faire une pose à un endroit qui pour moi était juste une clairière ouverte sur le flan de la montagne
maintenant j'appelle ça un déco , bref deux personnes se sont ramenées dont avec un sac à dos énorme ... ouvrage du sac, étalage du matos ..." trop fort ils vont sauter" me dis-je, et après leurs décollage qui me parut une chose difficile à l'époque, je les regardais s'enfuir dans la vallée c'est la que j'ai compris que ce n'était pas un saut mais plutôt un vol

pendant des année je me suis dis que moi aussi un jour je ferrais un baptême en biplace et puis la peur et le manque d'opportunité m'ont fait attendre Mai 2008 pour découvrir le Lachens avec l'UCPA
je pensais faire un biplace toujours à la base mais le regretté Guy a su me rassurer

deuxieme stage fin Septembre et au retour, un ami de stage m'embarque dans l'aventure et voilà ça fait 4 ans que je vol et je n'ai toujours pas fais de Biplace (d'ailleurs si quelqu'un m'en propose un...j'dis pas non)

voilà c'est fini

Petit je rêvais que j'avais l'avion de Blériot avec des pédales, et à force de pédaler je décollais!! A 25 ans je fais un baptême en ULM pendulaire sur le siège avant avec rien autour de moi, et au décollage ce vieux rêve oublié me reviens en pleine tronche :ppte:   voler la sensation est la même que dans ce rêve générique!!! Trop fort!
Il m'aura fallu attendre ma 43° année pour enfin voler de ma propre aile, mais quel bonheur!
Bon mon père était pilote de chasse et j'ai grandi toujours à proximité d'une base aérienne. C'est pt'être aussi dans les gènes que sais-je; toujours est-il que (vous l'aurez peut-être compris) je voulais voler depuis que je suis môme. Ahh le rêve d'Icare quel plaisir de s'y adonner. Bon allez j'en rajoute pas.

Le 13 août 1972 - cela ne rajeunira personne - je me cassais les genoux, les chevilles et la colonne vertébrale en descendant à toute pompe du refuge de Grandes Jorasses (j'avais fait la Walker la veille) et je fantasmais sur une voile qu'on déploierait au sommet pour redescendre en vol à Chamonix.
J'imaginais évidemment un parachute militaire (à l'époque c'était des corolles hémisphériques) mais cela n'allait pas, il fallait planer donc le profil devait être celui d'une aile d'avion... courbée évidemment... merde, me disais-je, il faut une structure gonflable mais extrapoler un matelas pneumatique de camping n'avait aucun avenir, le machin pesant un âne mort comme un delta.
J'imaginais aussi un delta pliant, mais là il y avait l'encombrement en sus du poids.
Cela m'occupait l'esprit, entre deux regards sur la grosse occlusion qui commençait à prendre l'arête de Peuterey, j'artillais pour avoir une chance d'arriver avant l'orage à la plateforme italienne du tunnel, pour faire du stop, avec une pensée pour Desmaison qui était en solo sur l'intégrale de Peuterey et qui allait se faire rincer avant moi... et une autre pour un couple d'amis qui avaient bivouaqué dans la Walker et qui devait maintenant être sortis.
De retour à Chamonix, j'avais pris un crayon pour dessiner ce que j'avais cogité mais cela ne valait rien, j'étais dans une impasse conceptuelle et j'avais repris ma moto pour aller travailler aux Arcs.

15 ans plus tard, j'ai vu des parapentes dans le ciel de Chamonix, mais j'avais arrêté la montagne pour cause d'un enfant à élever, l'envie de voler ne m'avait pas encore saisie (ou plutôt "saisi" vu que j'étais encore garçon).

C'est l'hiver 2007 que l'idée est venue, depuis le château médiéval de Peyrepertuse dans les Corbières.

(http://soyeuse.free.fr/2007/702/23/peyre/2358.jpg)
23 février 2007. Je mime un avatar de la statue de la liberté et il y a des voiles dans le paysage.

Je connaissais Corinne depuis quelques mois. Pendant mon séjour à Montréal en mai 2007, elle m'avait envoyé un texte à traduire pour son site : "Corinne learns paragliding" avec des photos. A mon retour en juin, je l'avais accompagnée au décollage de Montmin et j'avais été complètement émerveillée par le ballet des parapentes. J'avais mis le doigt dans un engrenage qui me happa complètement.

Dans ma jeunesse, j'ai eu une passion dévorante pour l'alpinisme, qui orienta toute ma vie. Un peu plus tard, ce fut la moto - qui me permettait d'aller grimper en faisant fi des bouchons du dimanche soir - et naturellement je fis de la compète, en construisant moi-même mes machines.
Maintenant c'est la passion du parapente, qui me permet de revenir à l'alpinisme. Inconvénient : l'audace et l'engagement sont presque les mêmes qu'à 25 ans mais l'âge m'a rendue fragile et j'en suis déjà  à 3 fractures.
Je ne sais pas si à 70 ans je me mettrai avec passion au tricot, aux confitures et à l'élevage des chats, cela m'étonnerait beaucoup.

Salut et fraternité*

Moi j avais assez peur mais le fait d aller à aiguebelette l'été et de voir toutes ces voiles en l air !!! :jump:
Alors je suis monter voir au déco, à force d y aller, de parler avec des parapentistes je me suis rendu compte qu il y avait de tout des hommes , des femmes , des jeunes , des vieux , des chevelus , des grand , des petit et je me suis dit pourquoi pas moi!!!!
Sachant que j habite à 15 min du déco !!!!!
Je me suis donc offert un bi place et la  :shock:  :pouce:  :ppte:  :ppte:

C était parti mais bon je suis très novice et je vais donc y aller doucement histoire de pas me faire peur et tout revendre !!!!

et bien moi, je passais mes étés justement à aiguebelette, mes enfants étant petits, ma belle famille habitant les environs.
au bout d'un temps, j'en un peu soupé de passer mon temps dans l'herbe et de barbotter dans le lac, alors que je voyais bien les ailes décoller, aller au grille pain et aller / retour;  et je me suis dit : tiens, si je faisait un tandem ?
j'ai fait un bi, moi j'ai tout aimé, du vol tranquille jusqu'a la descente 3-6; je me suis dit : je vais me faire un stage init avec l'école.puis j'ai mis les bouchées doubles . puis triple .
mais je me souvient encore de la montée au déco pour faire le 1er grand vol.. ça parait long les rots au début  ROTFL

c'est vrai ! je me souviens de la rotation pour mon premier vol ... plus un bruit dans le camion- ce qui changeait énormément des 2 jours passés- , et mon dieu, que c'était long ce chemin !
Après .........l'extase :)

nous justement pour le 1° vol on etait tous si angoisse qu'on n'a pas arrete de parler ( de tout de rien /sexe/fric/aucun temps mort) mais on savait que c't pour faire passer cette satané boule au ventre   :affraid:

et ensuite une fois posee  :ppte:  :ppte:  :ppte:   encore encore

J'ai commencé (très) tard  a 56ans (2006), apres avoir fait moi aussi bcp de moto... En juin au cours d'un repas de skieurs ,un copain me dit " je vais voler en parapente cet aprem ." Waouh , ça doit etre chouette , j'ai toujours eu envie de voler , c'est ou ?"
J'ai pris rendez vous avec mon club ecole , la semaine suivante,  j'avais une  "bache"  pour faire du gonflage , l'année suivante j'ai acheté une apco allegra+ selette + secours a un gars qui arrêtait(  :coucou: Pico) .
Depuis j'ai plus arrêté  sauf le temps de consolider une double fracture des   malléoles en 2007 (attero rugueux), et- les ligaments croisés en 2008( au ski) , 
 Mon objectif était d'être autonome a la retraite pour voler ensuite autant que possible ;-)
 Brevet en 2009( achat de la Faĩal), BPC 2010, Accompagnateur club en 2011, animateur prévu en 2012.
Je prend une de mes voiles partout où je vais , mi janvier  j'étais en Andorre(ski) , en novembre a la Réunion(magnifique ), début février je serai a Valmorel ;-) pour skier bien sur ( sport que j'ai commencé a 10ans )et  j'espère voler sur la station .
C'est moins facile de débuter le vol libre tard : ressenti, compréhension  proprioceptive etc  j'ai bien galéré au début.
Depuis j'ai volé sur de nombreux sites en Europe , au Maroc , a la Réunion
 Merci a mes amis moniteurs(trice) de Cap en Ciel Waggaclub (  :coucou: Claude, Alain , Cathy) . Ici nous volons en plaine sur des petits sites entretenus par nos soins et  que notre voisin le Vautour connait bien ! Mais aussi  a Millau , dans les Pyrénées (Françaises , Espagnoles ), voir plus loin Dolomites , Maroc , Corse , Reunion selon les opportunités

salut a tous

moi j ai voté "deja passionné par un autre sport aérien auparavant"...

lorsque je suis né mes parents n avaient pas de voiture, juste un avion de construction amateure offert par un ami pour leur mariage (un émeraude, avion leger en bois et toile), j'ai donc fait mon baptême de l'air a 9 mois sur les genoux de mes parents : et oui pour voyager on avait pas le choix, ça devait être folklo avec la chien et le chat!!!
j'ai ensuite commencé a apprendre a piloter ,un stage de pilotage avion a 9 ans (le "pinch hitter", c 'était une sorte de securité : en gros apprendre a poser un avion si les parents avaient un malaise). A 14 ans j'ai commencé le planeur, mais je ne suis pas allé jusqu'au laché : j'ai découvert le snowboard et le skateboard et l'ambiance du club ne me plaisait pas.Vers 20 ans je me suis remis tranquillement à l'aéromodélisme planeur pendant une petite dizaine d'années jusqu'à faire un peu de compete ( on avait des petits planeurs de 300 g qu on lançait à la main pour chopper les bullettes en dessous de 50 m d'altitude.)
j'ai laché l'aéromodélisme vers 2010 lorsque je suis revenu vivre en montagne.

Je ne m'étais jamais trouvé attiré par le parapente avant l'été dernier, mais le vol a voile a décollage a pied m'avait toujours fait rêver : ce que je voulais c'était pratiquer le vol a voile sans les contraintes du planeur. En y réfléchissant apres coup le parapente était évident et j aurais du y venir plus tôt...
j'ai donc fait mon stage init en aout, débarrassé un pote de son matos et maintenant je voudrais voler tous les jours...

 

Des points communs avec certains... Toute petite je rêvai de voler, mais naturellement, par méconnaissance du reste, c'était l'avion qui incarnait ce rêve. Trop cher, bien sûr, et le planeur aussi. Mais un rêve d'enfant, ça dure toute la vie, sinon c'est vraiment triste de grandir.

Eté 1990, il me semble. Je suis avec l'homme de ma vie et un autre couple en vacances motardes en Auvergne, et comme tout bon motard, nous payons le péage pour monter au Puy de Dôme, voir si de là-haut les volcans sont beaux. Et là-haut, quel spectacle ! Des conditions sûrement excellentes, un ballet aérien, des parapentes partout, qui décollent, font un petit tour au-dessus, se reposent au sommet, recommencent. On s'est regardés, V. et moi, la même pensée nous était venue en même temps : il faut qu'on essaye ce truc !
De retour de vacances, on se glisse dans des après-midi d'initiation proposées par la fac, je découvre que voler en vrai c'est comme voler en rêve ! Et puis achat d'une voile pour deux, et voilà, jamais arrêté depuis.  :soleil:

Au début un rêve de vol bras ouvert au dessus d'un champ d'herbes vertes tout en douceur  , deux nuit de suite je m'en souvient comme hier .
Peut-être parce qu’a l'époque j'habitais juste à coté d'un pré en pente ou j'ai appris à skier j'ai 7 ans.
Depuis cet age la je suis passionné de tout objet volant malgré une famille non pratiquante  :diable:                                                                                             Beaucoup de maquettes et de modélisme volant et non volant dès l'age de 10 ans.
Je découvre le parapente en 90  et fait dans la foulée fait un stage init  en 91 au printemps.
Et là ....magie de ce rêve revenu sous la forme d'une pente école, quelques grand vol dès le troisième jour et puis du mauvais temps, un vol dans des conditions
bien trop forte pour un init, une pédagogie totalement absente,plusieurs aller et retour pour rien me font prendre conscience que c'est une activitée à risque
est qu'il faut y consacrer beaucoup de temps , beaucoup plus que ma profession et mes trois enfants ne m'en laisse à l'époque ...
Donc fin du rêve , ou plutôt le rêve continue , mais le rêve seulement, ainsi les années passent et régulièrement je me dis que quand je s'rai grand...
Depuis deux ans la pitite dernière est sortie du nid et un petit vent de liberté souffle.   Fin 2011 il y à trois mois je me décide pour un nouveau stage
20 ans après le premier.  Quatre grand vol super à la fin du stage, un peu de trouille mais quel pied cette fois c'est décidé je continue , j'ai 50 balais cette année
et  j'ai envie d'apprendre à voler car l'idée de faire des vols de durée me motive autant que le fait de comprendre et de m’apprivoiser à ce milieu totalement inconnu malgré sa proximité             Si je laisse passer encore un tour ça risque d’être plus difficile tout de même..... :grat: 


 

Pas de souci ! On est encore jeune à 50ans.
J'ai débuté le parapente à 59 ans, à la sortie de 2 interventions chirurgicales majeures, et je connais un pépé de 82 ans qui a deux prothèses de genoux, une de hanche et une d'épaule, qui décolle comme un cochon et pose sur l'airbag, mais qui vole super bien entre les deux.
A 55ans, je dénivelais encore 800m/h et maintenant je suis contente quand je fais 500, ce qui reste honorable pour une vieille dame avec de la ferraille partout et 11 anesthésies générales en 6 ans.

Salut et fraternité*

Bonsoir,

Ce n'est pas l'âge qui compte, mais la motivation que l'on a dans la tête !
Une bonne condition physique, cela aide bien sûr, mais cela s'entretient.
Je vais avoir 65 balais en avril et j'ai toujours des projets de vols en haute montagne avec mes amis paralpinistes, alors...
Tant que mes jambes me permettront de monter là-haut, je continuerai, même si la cadence de montée n'est plus celle que j'avais il y a 30 ans (mais on continue à tenir des horaires corrects...).
Et le matériel ultraléger actuel aide bien les vieux "croulants" comme moi  :lol:

A+ Marc Lassalle

Réflexions sur l'âge.


En septembre 2009, dans la descente de l'aiguille du Goûter - j'avais marqué un but - j'ai rattrapé un pépé qui tenait une dame âgée encordée, visiblement un guide et j'ai fait connaissance. C'était J.Louis Bernezat, un nom qui parle aux alpinistes de notre génération. J'avais parcouru pas mal de voies qu'il avait ouvertes et failli faire un stage avec lui, c'était Pierre de Galbert qui l'avait remplacé et qui plus tard me parraina au concours de l'ENSA.
A 74 ans, le petit père Bernezat venait de faire le Mont Blanc, avec montée par le Tacul et descente par les Bosses, une sacrée bambée comme on dit à Chamonix, et cela dans un horaire très honorable.

Je me rappelle aussi avoir rencontré Armand Charlet, tout à la fin de sa vie, au sommet de l'aiguille du Tour. Ce n'était pas un homme à rester à la maison quand il pouvait encore aller se faire plaisir là-haut, il était en compagnie du guide valaisan Joseph Savioz, que je connaissais, sinon je n'aurais pas osé aller l'emmerder. En allant saluer Savioz, qui m'avait fait signe, j'avais pu saluer Charlet d'un "bonjour monsieur Charlet".

Marc se rappelle sans doute aussi que Paul Beylier fit la Walker à 72 ans. Pour l'avoir faite à 24 ans, je suis restée admirative parce que ce n'est pas vraiment à vaches.

64 ans cet été, et plein de projets dans la tête quand les jambes auront retrouvé un peu de vigueur. Le coeur est parfait, le souffle excellent et la santé en béton, qu'importe l'âge ? J'ai un copain / devenu copine qui passe sa retraite entre ses petits-enfants, son jardin, ses confitures et ses chats. C'est une autre manière de vivre l'âge, ce n'est pas la mienne.
Je préfère l'idée de mourir en montagne que sur un lit d'hôpital, "face au cancer par arrêt de l'arbitre" comme chantait Brel, mais on ne choisit pas.
On peut au moins choisir sa manière de vivre, quand on veut exister.


Tout le monde sait que je suis trans et je n'en fais pas mystère. Le Dr Ménard, de Montréal, qui me "répara" parce que j'avais été très mal opérée à Francfort, me disait avoir opéré une dame de 81 ans... qui avait attendu pour ça le décès de son épouse. Des esprits étroits pourraient ironiser, mais je trouvais comme Ménard que c'était magnifique.
Il n'y a pas d'âge pour se réaliser, l'important est d'être soi-même.

Salut et fraternité*

trés vrai dans ce que tu dis pob   ;)

                                      vraiment bien ce post................. karma+  :bravo:  :bravo: ..... :trinq:

j'approuve ce que tu dis viviane  :pouce:

 :vol: C'est bien ça qui m'interpelle...aucune chance de voler chez nous dans ce plat pays! et pourtant c'est arrivé...un mélange de circonstances,de rencontres,de hasard mais avant tout ce rêve de voler que beaucoup d'êtres humains ont désiré sans jamais l'atteindre...je dirais donc un rêve achevé bien qu'éphémère...

J'ai encore foiré l'utilisation de la fonction citation, c'est moi qui dit oui et attribue le karma+1 à POB. Pas que des esprits chagrin puisse penser que POB se ferait des compliment à elle-même.

Salutations amicales d'un jeunot !

Quand tu veux !

après réflexion ... sentir le souffle chaud d'un grand barbu deriere moi  :?

... ok on voit ça à la dune et il faudra faire voler ma copine et une autre copine (célibataire)

J'adore la précision à toutes fins utiles ! :mdr:

d'une précieuse utilité  :mdr:

Ca va pootrer !

Je le note !

heu sylk n'oublie pas qu'en dordogne on a aussi des biplaceurs et qu'en plus d'autres tels que moi doivent passer la qbi au printemps, donc on est aussi dispo pour prendre en charge toutes tes copines. :ange:

en dehors d'avoir une des plus belles régions de france le périgord, ils ont aussi compris pourquoi on passé la qbi  :trinq:

qui a dit qu'en plaine on ne pouvais pas atteindre des sommets   :jump:

c'est noté steph ... rdv en avril , je passerais  :ppte: et  :trinq:  à la fleunie ou à la cote de jor

et bonne chance pour ta q bi

Alors moi quand j' etais jeune, je revais de voler en Delta, et pendant un an je tannais mes parents: "maman je veux faire du delta-plane !".
Mais ils me repondaient toujours:"non mon petit c'est dangereux..."
Du coup, a force, on finit par oublier...
J'avais 10 ans ...
Et maintenant, j' en ai 43 bientot !
Et ca fait un an que j' ai chope le virus !
Comment est-ce arrive ?
C'est simple, insidieusement, la ou on l' attendait pas : je regardais une emission de tele sur l' astronomie sur Arte, ca parlait de la naissance de l' Univers, et puis vers la fin il y avait une interview d' un astronome qui apres avoir fini sa journee redescendait chez lui avec son aile !
Il decollait depuis l'observatoire chaque jour !
Et donc je le vois gonfler son aile tout en douceur, et comme une plume, il s'envole porte par la brise, entre dans son cocon et tel un majestueux oiseau s'elance dans les airs !
Quelle poesie, quelle majeste !!!
Et la je me dis:" bon sang ca doit etre genial , il faut que j' essaie un jour ! "
Comme on devait partir dans les pyrennees quelques jours plus tard, je me disais" bon faudra remettre ca a plus tard, je chercherai la bas s'il y a un endroit ou on peut en faire "
Arrive la bas, je me ballade dans une rue de la ville ( Cauterets ), et je vois une affiche pres d'une boutique: " Envolez-vous ! Appelez le 05...."
J'entre dans la boutique pour en savoir plus:" c'est un pote , il a une ecole, je vous donne un flyer "
- "Comment on fait pour apprendre a voler ?"
- "Il faut faire des stages ca coute cher "
Je reviens a l' hotel a fond et j' appelle le numero " bonjour je voudrais faire une journee decouverte ! "
Il va sans dire que je n' y connaissais strictement rien, mais rien du tout !!!
A la journee decouverte : " ca s'appelle comment ca ? Heu , des filins ?Non des suspentes ! "
- "Et ca c'est l' extrados, et puis l' intrados ..."
- " Maintenant tu te mets dos a la voile et tu cours en faisant de grandes enjambees, tu te centres bien et tu pars quand tu veux !"
Je cours et je reussis au troisieme  coup a faire un gonflage correct, et je cours avec la voile au dessus de ma tete pendant 80 metres environ,
- " Tu te debrouilles bien pour quelqu'un qui en fait pour la premiere fois ! "
- " bon on arrête c'est l' heure de grailler !"
- "Zut , je commencais tout juste a m' amuser !"  :mrgreen:

Et le vol en biplace : " tu cours quand je te le dis !"
- "Ok !"
- "Eh salut Patoune ! tu viens faire péter l' inversion ? "  ROTFL *

*Je viens de comprendre que tres recemment ce qu' il avait voulu dire a ce moment la !
Vous comprenez, j' ai pas ose lui demander ce qu' il voulait dire .

Je tripote un peu les cuissardes et la : "Touche pas au reglages que je t'ai mis , sinon tu vas tomber, tu vas mourrir ! " ROTFL
Ben ca promet !
Decollage !
Je cours a fond et.... oh je suis deja en l' air en train de pedaler !
Vol de 11Mn et 42 Sec  :mrgreen:
Ben oui, on a filme tout ca !
Alors la, le pied total !!!
On se fait legerement secouer dans des ascendances, ca me plait, meme pas peur !
L' apprehension du debut au deco est disparue !
Terrible on fait quelques wings, wouah , ca dechire grave sa race la !!!
Bon on arrive au deco : " Alors tu te mets debout dans la selette "
Ok, je tends les jambes de maniere a amortir un choc qui n' est jamais venu vu qu' on a atterri comme une fleur wouah, trop fort !
Je suis tout etonne , j' ai même failli en perdre l' equilibre tellement c'etait doux !
"Rhaaaa, ca dure jamais assez longtemps !"
-"ben oui je sais !"
Fin du film !
Et bien voila, ensuite comme j' ai decide de faire un stage et que celui ci etait plutot eloigne, je me suis pris du matos d'occase pour patienter et entretenir la passion et surtout faire du gonflage, et c'est genial, je m'amuse comme un petit fou avec mon nouveau jouet.
Le stage tant attendu va enfin se concretiser dans quelques semaines au CERPP et ca va le faire !
Quelle histoire pas vrai ?

je me disais bien que ton stage approchait, octobre, je crois, toujours aussi passionné je vois  ;)

tu nous racontera cela  :trinq:

L'autre jour l'idée m'est venu, cré nom de dieu la putain de sa mère....
;-)
Comment ça y en a qui ne connaissent pas!
Spèce de footeux...

Salut

Moi j'ai commencé à 16 ans. J'ai jamais arrêté après.
J'ai bien essayé les vrais études, la vie sérieuse et tout. Mais j'ai préféré me lancer dans le BE.
Ca a pas toujours été facile, mais je regrette RIEN.

A+
Laurent

Non pas octobre, septembre !
La deuxieme semaine :)

Oui, la passion ne me quitte plus, je pense qu'a ca rhaaaaaa.....
 :mrgreen:

Je squatte les decos pour poser plein de questions, et voir les gens decoller, leur technique, gestuelle etc...
Des fois on se marre bien !
Et puis j' ai enfin pu voir et comparer en vrai la connect reverse et la voyager plus !

un pote m'a fait voler avec une voile carrée en 1987 (je sais plus ce que c'était). un plouf mais la claque !
je m'y suis vraiment mis en 1994

bonjour
hasard de la vie.
à environ 10 ans nous sommes passé avec mes parents devant une petites pentes de ma région.
je n'ai jamais oublié toutes ces voiles.
vous imaginez bien les premiers parapentes...
et c'est 20 ans plus tard à l'occasion de vacances d'été en montagne que j'ai fais un biplace.
n'ayant pas de montagne proche ,j'ai passé le brevet paramoteur environ 2ans après.
suite à quelques rencontres je me suis aperçu que la pente de mon enfance est à quelques Km de chez moi...


bon vol.

enduler un pencu ?

berk

 :dent: Ben moi depuis tout petit, tout ce qui vol m'attirais. Avion en papier, en balsa... Oiseau, une tourterelle en cage,puis libre dans ma chambre. Observation déco virage attéro top la classe. Un jour des potes se ramene en disant on a un parapente...Arrêt, déconne? on va au charmanson en chartreuse... la voile BLS 7 caisson je les regarde faire leurs truc puis...Donne mois ça aller. je cour, mais au oreilles et pffff plus que le bruis du vent whaou. Après, je fais un stage pente école +premier grand vol a Luc avec Jean Marcel en 09/89. ....
Moi je veux travailler moins pour voler plus. :ppte:

 :trinq: goofy pour ton slogan.... karma+

Salut à tous,

A moi de raconter ma life (je suis au bural je fais une pause).

Alors j'ai vécu de 2000 à 2009 à bourg st maurice plus passionné par la grimpe et l'alpi que par le parapente. Quand je les voyais en l'air j'étais complètement inintéressé. Des potes me proposaient de faire du bi mais j'en avais rien à foutre.

Puis en 2009 pour le boulot j'ai du m'expatrier en charente maritime à fouras beach. Plus de grimpe donc je me suis mis au kite (première licence à la FFVL).

Un pote de kite un jour a trouvé un club de plaine pour voler en treuil. Il me disait que c'était génial bla bla bla et qu'il fallait que je m'y mette. Bref ça a duré un an.

Un jour ou y avait pas assez de vent pour kiter et n'ayant rien d'autre à foutre je suis allé le voir. Ok ça a l'air sympa... ok c'est carrément génial!  :pouce:

C'était en juin... en septembre 2011 je m'inscrit à l'école du club. Je passe mon brevet init en mars 2012 fait mon premier stage montagne en juillet 2012 (premier 360) et passe le QCM du brevet et le 15 septembre j'espère réussir la pratique du brevet de pilote.

Mon plus beau vol: une treuillé à 250m et un plaf à 1300m une vue jusqu'à l'estuaire de la gironde et sur l'ile d'oléron.

Voila ça c'est mon histoire de jeune oisillon.

pour ma part depuis longtemps je voulais voler ! je suis fana d'helico mais c'est hors de prix ..... puis fait un bi avec les copains vers 18 ans a annecy .............mais ce n'est que pour mes 25 ans que les choses se sont faites ! limite tout seul ! acheter une vieille voile ,une sellette puis tous seul a me mettre des heures de gonflages et de petit saut de puces sur une bosse de 80 metres puis avec du matos plus recent allez faire le grand saut a st hil ! comme si je ne commandait pas ma vie ! avec du recul ca parait debile  :D  mais besoin d'etre en l'air sans moteur ,a savoir quand cela me passera? ,je m'en fout, je prend  un pied monstre !
(ah oui j'ai pris des cours apres pour savoir voler dans les thermiques ... :grat: )
a+

Parisien Breton de Naissance, je me suis expatrié  dans le 04 (Basses-Alpes) en 1983. Ma première passion fut la planche à voile que je pratiquais assiduement sur le Lac de Ste Croix, à Moustiers.
 Je voyais les deltas voler :vol:  et se poser (plus ou moins bien sur les plages du lac); j'étais très attiré par ce spectacle; mais je pensais cette activité innacessible.
  En 1989, pour mon "%-£$?ième aninesaire, ma femme m'a offert un stage d'initiation parapente à St André :ppte: C'était organisé par la FOL (Fédération des Oeuvres laïques) à un prix en adéquation avec mon budget loisir.
  A la sortie du stage j'étais perdu. J'avais mis le doigt dans l'engrenage; adict...Quelques vols de perf à Moustiers; l'achat d'une voile d'occaz... et vole :ppte:
  En 2008 j'ai pris contact avec les "Parapentistes anonymes" et j'ai réussi à m'arrêter.
   :diable: Je viens de rechuter, j'ai racheté une voile, je vole à nouveau; j'ai honte  :shock: 

Bonne petite voile bien pechue la mustang !!
 ;)

venant du trou du cul du monde au fin fond de la campagne normande, je n'avait jamais vu de parapente
un jour les parents décident de bouger entre grenoble et chambéry histoire de changer d'air
je me rappel de mon père un soir "ca te dit pas d'aller test le parapente?"
et hop un mois après complétement mordu !

En 1993, alors militaire engagé au 1er Régiment de Hussard Parachutiste de Tarbes dans les hautes Pyrénées, on me demande si je suis partant pour faire un stage d'initiation d'une semaine à Barège !!!!! le régiment vient juste d'ouvrir une section sportive parapente !!!!!
Et comme à l'armée, on m'a toujours dit que ça ne se fait pas de refuser, binh j'ai accepté (en plus c'est gratuit :D )
Le stage commence le lundi matin à 8h par de la théorie au sol, à 10 h on fait les premiers gonflages, à 14 h le premier grand vol sur Barège :D
Bref, après avoir volé toute la semaine je suis mordu, le vendredi soir, je contacte GYPAAILE à Bagnère de Bigore pour commander une PALAS 27. La semaine qui suit le stage, j'ai rendez-vous directement à l'usine, le boss m'attend la voile et la selette sont prêtes, on fait 2/3 gonflage et je repars avec mon parapente neuf et selette neuve en échange d'un chèque de 14000 francs (j'ai encore la facture :D ).
Voilà, voilà  :mrgreen:

je faisais de la rando, et je n'aimais pas trop la descente à pieds...

Février 1994, séjour de ski en famille à Tignes. La neige, totalement pourrie, rend le ski hors piste désagréable et je m'ennuie. Je repère le manège des biplaceurs et décide de m'offrir un baptême pour mes 40 ans. Dans la foulée, je m'inscris pour la "journée découverte", soit séance de gonflage le matin, puis grand(s) vol(s) l'après-midi (skis aux pieds). En juillet de la même année, brevet en poche, je m'offre ma première voile, une Epsilon 1…

Début 90 , mon épouse qui achète un magasine de parapente par erreur , me regarde en disant : toi le parachutiste pilote de planeur... cela te dirait le parapente...?.... ma réponse : ici il n'y a pas de montagne ( pas envie) , elle.... si il y a l'école de la  Belle Idée qui ce trouve à 30 kilomètres et ils ont un treuil....... volontaire par obligation nous voila inscrit à un stage , pente école à la butte de Doue , puis quelques jours plus tard premiers vols au treuil , pour dire que nous avons contrairement aux montagnards , commencé par le bas vers le haut....... je venais de dépassé 40 piges ,ensuite nous avons eu notre brevet , le brevet C .........depuis cela continue.... moins car pas de relief ou je suis maintenant , aujourd'hui je vole plus en paramoteur , mais tous les an environs nous refaisons un stage perf en libre pour retrouver les fondamentaux du pilotage du parapente  ....... Volez prudemment . Cordialement à toutes et tous . Pierrot capt .  :trinq:

 :vrac: !!Pour moi c'est le divorce de mes parents qui a fait de moi un passionné du parapente, une grande attirance pour le vol en général, ma mère et mon beau-père on achetés une nouvelle maison et devinez-quoi, dans le fond de notre jardin, c'était la piste d'envol des ULMs !! j'ai donc grandi avec l'idée, le rêve qu'un jour se serais moi !!!j'ai mi trop de temps à sauter le pas mais il vaut mieux tard que jamais, Merci d'avoir divorcé maman ......... :D 

Bonjour,

J'ai commencé en 1990 par le planeur dans le cause Méjan, super coin. passage du brevet l'année suivante. Puis, habitant en région parisienne, impossible de faire du planeur, alors j'ai fait de l'avion pendant 8 ans et du planeur l'été. Puis, le travail prenant le dessus, j'ai arrêté...

J'étais au Gautemala depuis 3 ans, quand d'un coup je me rappel avoir fait une journée d'initiation de parapente, j'avais trouvé l'engin sympa, mais c'était trop loin de chez moi (+70 km), dommage. Vu que j'ai terminé mon troisième roman de SF. J'ai du temps et j'aimerais bien revoler. La Californie étant bien plus près que la France. Je décide de partir à Los Angeles pour acquérir un camping-car d'occasion et prendre des cours de parapente. Je trouve un véhicule tout confort un peu âgé mais fonctionnel et en route pour le site de vol. J'arrive sur le bas d'une montagne : Soboba Soaring que dit l'affiche. Je ne sais pas ce que cela veut dire mais j'entre. Je commence à discuter avec l'instructeur en combine orange. Au lieu de me répondre en Anglais, il me parle dans ma belle langue natale avec un accent tout Québecois ! Super, je vais apprendre plus vite ainsi. Jérôme Daoust sera mon instructeur pour une semaine de vol inoubliable donc un vol 1h23 en soaring (vol de pente) avec la voile école, une belle Ozone Élément 2. Depuis, j'ai passé les tests P1 (débutant), P2 (....) et P3 (Intermédiaire). J'ai mon gros sac dans le RV (campign-car) et je vole aussi souvent que la météo le permet sur les sites de la Californie du sud, c'est génial. Je prépare le test P4 (confirmé) et vais faire un SIV le week-end du 14 juillet. De quoi bien s'amuser encore un moment, vu que je viens aussi de renouveler mon visa pour 6 mois de plus, super !

A bientôt et bon vol. Jean-Nono

Emigré de la RP à Moustiers en 1983, la vrai question est: comment aurais-je pu ne pas être passionné! :vol:

Quelques saut de parachute, mais je trouvai ça intense mais trop court.

2 heures de pente école puis premier grand vol depuis je suis addict!
Pas une journée sans penser au parapente,   :vol:

Quelques années d'escalade avec de longs moments passés assis en bord de falaise à regarder les oiseaux évoluer.
Mon arrivée à Grenoble, d'autres falaises en Chartreuse et en Vercors gravies ces fois là par les faces herbeuses, puis encore en bord de falaise, la découverte des choucas, ces acrobates des falaises.
Quelques années plus tard, un stage de parachute, une mauvaise expérience, mais un goût de reviens y une fois sous l'aile.
L'année d'après un stage de parapente, un premier vol en biplace achevé par deux tours de thermiques en compagnie de trois buses... Magique... Depuis, ce biplace il n'y a pas eu beaucoup de jours (peut-être même aucun) sans que je mette le nez en l'air pour voir ce qui vole et vouloir les rejoindre. Merci Guillaume Bellet.