avat propos : je vais me permettre de déplacer ton fil pour qu'il ne soit pas dans les test des ailes existantes.
c'est pour cela que je ne suis pas entièrement d'accord avec ton message dans le fil "lettre au président de la FFVL" : le milieu du parapente n'est pas encore un domaine industrialisé. c'est un domaine high tech artisanal. Il évolue parce que un géo trouvetout fait avancer un aspect des problèmes, un autre fera avancer un autre aspect.
Par opposition à l'automobile ou plusieurs bureaux d'études vont étudier l'ensemble des problématiques automobiles de façon concertée pour faire 1 (gamme de) voiture.
Contrairement à l'aéronautique où chaque système aura été pensé, conçu et simulé, chaque système aura l'ensemble de ses procédures pour gérer les fonctionnements, les dysfonctionnements et les corrections.
le milieu du parapente n'a même pas compris la résistance des matériaux et les fatigues cycliques, se contentant de prendre ds marges de sécurité sur une résistance statique (et ça doit faire une dizaine d'année que je le dis).
je pense que le modèle associatif peut chercher des solutions à la
parapentique. mais il faut créer un véritable groupe de travail scientifique, non pas une réunion de passionnés +/- éclairés.
Le modèle industriel fait aussi avancer la recherche, petit bout par petit bout. Les bureaux d'études commencent à peine à s'organiser. La nécessaire obligation de rentabiliser chaque étape de recherche rend forcément le chemin un peu long. mais les avancées technologiques s'accélèrent (les joncs, le sharknose...) d'autre ne sont pas encore assez loin (je pense aux deux lignes qui doivent amener à une révolution du pilotage façon la cage de Darlet, c'est une ineptie fondamentale que de piloter un engin dont on veut optimiser le rendement énergétique par des freins ou un pilotage aux arrières qui freine)