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Largeur d’assise, hauteur des encrages, largeur de la ventrale, abs plus ou moins efficace ne changent guère. P’t être que j’ai tout faux mais je m’éloigne du titre concernant les accidents mortels, mais autant il y a eu des voiles à la réputation accidentogene, pour les sellettes et cocons je ne l’ai pas entendu.
Salut
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, rien n'est acquis en la matière.
Sans même parler de cocon, toutes choses égales par ailleurs, la géométrie des sellettes étant sommairement définie par la 926-2, les caractéristiques propres d'une sellette peuvent conditionner le résultat des tests d'une aile présentée à l'homologation.
Jusqu'à la faire changer de catégorie (B -> C par ex.), avec les conséquences que l'on imagine rédhibitoires ! (on se souvient de l'affaire de la Dune d'Aerodyne dont le DHV a scellé le destin).
Si le dialogue prévaut géneralement entre les labos et le représentant du constructeur, qui est invité à revoir un peu sa copie, il est arrivé aussi que ce soit le labo qui soit 'incité' à revoir... ses tests s'il ne voulait pas perdre un client.
Dans les faits, le pilote de test conciliant commence par essayer de changer de sellette... et il arrive que cela suffise !
Et de penser à ce qu'il adviendrait si chaque modèle devait présenter deux homologations : sellette assise et cocon. Faudrait admettre que le pilote d'homologation fasse tous les tests redressé dans le cocon et talons sous les fesses ?
Ce serait faire le postulat qu'un pilote instruit a les capacités d'adopter cette position de sécurité dans tous les cas d'incident.
Vaste question !