Bonjour tout le monde , je parcours le forum depuis quelques temps avec beaucoup de plaisir , c'est une mine d'info concernant cette activité passionnante et la variété des
rubrique est impressionnante .
Il y à 20 ans j'ai fais un stage init et le deuxième jour je planais au dessus de la pente école fesse à droite , fesse à gauche trois virages , prise de vitesse et posé en
douceur quel panard ...j'étais "pour de vrai" dans un rêve qui revenais souvent pendant la période de mon enfance ou je courais dans un champ en pente bras écarté
décollage et vol lent au dessus des herbes tout en douceur.
troisième jour 2 grands vol et grand pied également bien que un peu surpris par le vide en dessous et n'en revenant toujours pas de flotter retenu par quelques fil accroché à un aéronef que l'on peut ranger dans un sac à dos!!! ,attéro sans problème guidé par radio çame plait ça me plait
vivement la suite...
quelques jour se passent mauvaise météo et puis un créneaux , le déco se fait d'une falaise , on survole une foret et attéro sur la plage au bord du lac le déco est à l'arrache , peu de place et des buisson autour
je me jette faisant confiance au mono , très vite les arbres se rapprochent, trop vite....j'arbrisse dans des buisson de 2 mètre et met une heure à dégager l'aile pas de bobo , je n'ai reçu aucune instruction pendant le vol improvisant moi même
"sur le tas" de retour à l'attéro j'ai droit à un laconique" Il fallait voler bras haut pour passer" ...
Cela ne me démonte pas et dans l'aprèm je demande à refaire un vol en pente école .Pas de problème vas'y et voila mézigue sur le haut de la pente , facile je l'ai déja fait... et je part en confiance bizare c'est plus dur de décoller
que la dernière fois je court plus et ça vole ,je vois tout de suite que "ça tient" moins bien donc j'y vais tout droit sans tenter les virage , ce que je n'avais pas vu c'est que l'orientation du vent était passer de sud ouest à sud est et je me pose
donc joliment dans le vent ne comptant plus que sur ma rapidité au 100 mètre pour absorber avec mes gambettes les 50 kmh de l'atérro...les première enjembèe facile se transforment rapidement en un gigantesque vol plané , je me râpe bien
la peau en de multiple endroit mais pas de bobo.Bon je me dis un vol plané de plus ou de moins de toute façon je suis la pour ça non??
Mais la leçon est faite et je ferai attention à cela .
Quelques jours involables passent et un nouveau créneaux apparait pour ma dernière journée faisant partie de la semaine init.
On est au mois d'avril en milieu de journée l'air est froid, un peu de vent quand même ,le soleil déjà bien actif réchauffe vite les basses couches près du relief .
Les quelques gars là on l'air tout réjoui malgré le froid ....moi aussi car j'ai bien envie de revivre les sensations trop fugitive de mon dernier grand vol .
Et le mono me dis vas-y gars....ok je cours pas de contre ordre , et zou c'est parti , contraste immédiat avec le grand vol précédant mouvement de roulis fort et surprenant la radio glisse sur la sangle de la sellette dès le déco je n'entends plus rien avec le souffle du vent je ne veux pas lâcher les freins pour tenter de la replacer trop occuper à garder mon cap je commence à me sentir mal car ça bastonne for et je ne m’attentais à rien de tel , tout à coup l'aile prise d'un coté par une ascendance violente
bascule et je la vois au niveau de mes pied sur le coté
tout se remet en place sans fermeture du moins il me semble je n'ai plus qu'une envie c'est retour à la planète. Je contre les embardées comme je peux et ma fois pas trop mal
l'atéro arrive et je me pose au bon endroit terminant ainsi mon premier grand vol en autonomie forcée .
Je ne ferrai pas le vol suivant me demandant plutôt ce que je suis venu f....e ici à me mettre le cul en l'air à 500 m du sol dans des conditions dont je n'avais aucune idée , j'en veux au moniteur de ne pas au moins m'avoir averti que cela
risquai de bouger , que ce n'étais pas grave et qu'il fallait juste freiner un peu plus l'aile du coté ou elle se soulevai,t garder le cap , j'aurais su à quoi m'attendre et n'aurais pas eu si peur d'affronter ça.
Je n'ai pas poursuivi la formation le stress de me retrouver dans cette situation étant le plus fort je me suis dis que si c'était pour ne pas avoir de plaisir je n'irai pas , d'autres raisons m’ont éloigné de plus en plus du parapente
le manque de temps et une famille .
Malgré cela l'envie est toujours resté en moi me promettant "un jour" de remettre ça
Aujourd'hui les enfants volent de leurs propre aile (mais sans parapente!!!) et je me suis décidé pour une semaine init quand je dis "je" c'est plutôt "nous" car ma compagne est également tenté par l'aventure.Cette fois n'y vais pas comme un oisillon tombé du nid car je sais à peu près ce que j’attends en terme de pédagogie , et aussi ce qui peut m'attendre en termes d'aérologie....
Salut à tous