Il ne me semble pas que l'on puisse (forcément) corréler hauts plafond et qualité des thermiques.
À l'extrême de très hauts plafonds peuvent être synonymes de sur-développements.
Et des plafonds bas n'empêche pas forcément des thermiques puissants même si on peut s'attendre à des arrivées au plaf turbulents
C'est l'éventuelle couche d'inversion qui va marquer l'éventuelle fin de thermiques (il arrive que l'on puisse la percer) Avantage elle, la couche d'inversion, peut nous éviter éventuellement une fin de journée prématurée du fait de sur-développement. Rien n'est parfait dans ce bas monde de la troposphère.
Ce qui fait la "force" de nos thermiques qu'importe le plaf, c'est l'instabilité. Le gradient de température qui existe tout au long de la couche convective qu'importe son épaisseur est le critère déterminant de ce qui fait la force du thermique. Pour ce qui est de sa "qualité" c'est sans doute encore plus complexe avec la surface du générateur de thermique et aussi l'éventuel vent qui va interférer avec une composante horizontale avec celle verticale du thermique.