+ Le chant du vario +

Forum de parapente

28 Mars 2024 - 11:22:22 *
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Auteur Fil de discussion: 3 novembre 2053 : Mon premier vol en « autonomie ».  (Lu 25564 fois)
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flaille
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Aile: Mentor 4 light + Ultralite 16
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« le: 25 Juillet 2011 - 02:00:18 »

Nous sommes le 3 novembre 2053, cela fait 9 jours que la saison de parapente a débuté. Il est 5h45, Il fait encore nuit, je viens de garer la voiture sur le parking à côté de l’aire d’atterrissage. Les conditions s’annoncent bonnes : une grande stabilité, une journée assez couverte, mis à part quelques risques de pluie, tout est là pour nous permettre de faire quelques vols avant le début de la convection.
Mon sac est lourd, entre mon moussebag de 38 cm et le transpondeur, ça fait un sacré poids, mais je n’ai pas le choix, c’est obligatoire. Alors que je commence les 600m de dénivelé qui me séparent de l’aire de décollage, je récite dans ma tête les 50 règles du code de l’air que j’ai appris par cœur dans le manuel de la FFAS, la fédération française d’aviation souple. Pendant que je travaillais la théorie, j’avais demandé à l’instructeur de la FAI dédié à l’aviation souple pourquoi une telle appellation, et pas tout simplement FFP, fédération française de parapente, il m’avait répondu que le parapente devait être à présent considéré comme un avion souple et devait donc répondre aux même exigences, à commencer par le nom. J’étais resté sur ma faim, mais je comprenais son raisonnement.
Quel poids ce sac ! Les premières gouttes de sueur commencent à apparaitre sur mon front ; encore 500 mètres et je suis arrivé. Je commence à me maudire d’avoir choisi ce site. J’avais pourtant le choix avec les 4 autres sites de décollage autorisés de la région Rhônes-Alpes, et certains pouvaient être accessibles par la route. Mais c’est celui sur lequel j’ai fait mes 100 premiers vols obligatoires en école avec l’instructeur, et je n’étais pas prêt à prendre le risque d’aller sur un site que je ne connaissais pas.
Je commence à stresser. Vais-je réussir à décoller ou bien la tour de contrôle va interdire  les vols comme la semaine dernière ? Il faut dire qu’il y avait beaucoup de vent, la balise fédérale annonçait 10km/h et 15 km/h en rafale et le grillage était resté clôt. Trop dangereux. J’étais redescendu à pied avec les autres parapentistes présents.
J’ai une pensée pour tous ceux qui n’avaient pu obtenir leur examen théorique. Certains le tentaient pour la 7ème fois ! Mais les questionnaires de la FFAS étaient difficiles, il fallait obtenir un score minimal de 155 sur les 160 questions posées dans le QCM. Je m’y étais moi-même repris à 3 fois avant de l’obtenir. Après ma seconde tentative, l’instructeur m’avait obligé à reprendre 10h de cours théorique supplémentaire en plus des 50h standard de formation. A 100€ de l’heure, c’était un sacré budget, mais il fallait passer par là pour commencer la pratique. De manière générale, le parapente était un sport sacrément cher, entre l’assurance annuelle de la FFAS à 800€, le parapente à 7000€ qui avait passé la batterie d’homologation imposée pour obtenir le label EN-A, la sellette, le parachute de secours, le transpondeur, ce sport était vraiment un luxe, mais j’aimais sentir mes pieds se décoller du sol pendant quelques minutes. Ça n’avait pas de prix.
Ouf, le panneau indique qu’il ne reste que 100 mètres, je suis presque arrivé. Le jour commence à se lever, je distingue les grillages de l’aire de décollage au-dessus de moi, je suis arrivé à temps. L’ouverture est dans 20 minutes.
Alors que je m’approche de l’enceinte de décollage, j’aperçois ce vieil homme, assis sur le banc en dehors du grillage, toujours avec son blouson avec ce sigle au niveau de la poitrine : « FFVL ». Il est tout le temps ici, tous les jours, il contemple la vallée, du lever de soleil jusqu’à ce qu’il se couche de l’autre côté. Je n’avais jamais été lui parler. De toute façon, mon instructeur m’avait dit un jour qu’il n’était plus autorisé à pénétrer dans l’enceinte de l’aire de décollage.
Il me restait 18 minutes avant l’ouverture de la fenêtre de vol, je me suis approché de lui pour lui demander son nom.

-   « Gégé » me répondit-il sans détourner son regard.

-   Enchanté Gégé, moi c’est Bruno, je viens faire mon premier vol, lui répondis-je.

Il leva vers moi son regard et chercha autour de moi si d’autres personnes étaient présentes.

-   Non, je suis seul. C’est mon premier vol en autonomie.

Un sourire amusé pointa sur ses lèvres.

-   Qu’est-ce qui vous fait sourire ?

-   … Ce mot … que tu viens d’utiliser…

-   Autonomie ?

-   Oui…

Alors que je m’apprêtais à lui demander pourquoi, il m’invita à m’asseoir à côté de lui sur le banc.
C’était un homme âgé, avec des cheveux courts et gris et une petite moustache jaunie par le tabac.
Je m’apprêtais à lui demander alors ce qu’il faisait là, assis sur ce banc, devant le grillage de l’aire de décollage, quand il me fixa dans les yeux et demanda pourquoi je faisais du parapente, ce que je recherchais.

-   Eh bien, cette sensation, vous savez, de sentir son corps s’élever dans les airs, d’un seul coup, celle de sentir le vent sur son visage, de pénétrer dans une dimension supplémentaire, de sentir cette sensation de lourdeur nous quitter, cette sensation de ... liberté! mais… vous devez bien savoir de quoi je suis en train de parler si j’en juge à ce dessin de parapente, cousu sur votre blouson.

-   J’ai connu ça, en effet, mais c’était il y a longtemps … très longtemps.

-   Il y a donc si longtemps ?

-   Il y a plus de 40 ans…

Gégé détourna son regard du mien et se remit à fixer la vallée. Les premiers rayons du soleil commençaient à poindre à l’horizon. Je regardais ce vieil homme sans vraiment comprendre ce qu’il me disait.

-   Pourquoi avez-vous arrêté, lui demandais-je ?

-   Je n’ai pas eu le choix, me répondit-il, ils m’ont tout pris.

-   Mais qui ça « ils » ?

-   Les Standards, la Norme, le Système, la Machine…

-   Je ne comprends pas, ils vous ont pris quoi exactement ? Votre matériel ?

-   Oui… mais pas seulement.

-   Quoi d’autre ?

-   Ma passion…

Tandis que je le regardais interloqué, sans vraiment comprendre ce qu’il disait, il se mit à me raconter son histoire.

-   Je suis né en 1990, en Suisse, à côté de Willisau, en 2007  je suis arrivé en France pour travailler dans une petite entreprise de soudure à Annecy. Chaque jour, en sortant du travail, je voyais ces étranges bouts de tissu flotter dans le ciel pendant des heures. Un jour, en sortant d’une dure journée de travail à 19h, j’ai pris ma voiture pour monter au décollage de la Forclaz regarder de plus près ces étranges oiseaux qui semblaient ne jamais tomber. Je me suis approché de l’un d’eux sur l’aire de décollage et …

-   Mais comment avez-vous pu, sans votre badge ?

-   Ecoute, Bruno, si tu veux entendre cette histoire, évite de me couper la parole.

-   Excusez-moi…

-   Bon, pour répondre à ta question, aussi étrange que cela puisse te paraitre, il n’y avait ni badge, ni grillage.
Alors que je me demandais encore comment pouvaient se faire l’accès au décollage sans badge ni grillage, il poursuivit :
-   Je me suis donc dirigé vers l’un de ces étranges oiseaux et lui ai demandé comment s’appelait cette activité. Il m’a répondu que c’était du parapente, une activité de Vol Libre.
Je commençais à comprendre la signification du sigle FFVL que Gégé portait sur son blouson. Il poursuivit :
-   J’ai regardé cet homme décoller puis s’envoler, emporté par les courants ascendants et disparaitre à l’horizon derrière les montagnes.
-   Vous voulez dire qu’il a pris un thermique ???

-   Oui, à l’époque, c’était une pratique courante, mais cela m’a fasciné.

-   Attendez ! Mais c’est strictement interdit de faire du parapente dans les thermiques !

-   A l’époque, cela ne l’était pas…

-   Mais ce devait être très dangereux, mon instructeur m’a dit que…

-   Ton instructeur ne t’a raconté que des salades ! me coupa-t-il. Voler en thermique ne présente pas de risque important si l’on maitrise un minimum son aile et l’analyse des conditions météorologiques !
Gégé semblait sérieux, je le laissais poursuivre.
-   J’ai donc décidé de commencer moi-même le parapente et me suis inscris dans une école. Au bout de 5 jours, j’avais une formation initiale qui m’a permis de faire mes premiers vols. C’était merveilleux. J’ai éprouvé les mêmes sensations que celles que tu me décrivais tout à l’heure. J’ai rapidement pu acheter une vieille aile qui trainait au fond d’un hangar, et voler par moi-même puis découvrir les vols en thermiques.

-   Gégé, pardonnez-moi mais j’ai vraiment du mal à vous suivre. Vous êtes en train de me dire qu’en 5 jours, vous aviez passé l’examen théorique obligatoire pour débuter le parapente, ainsi que l’évaluation pratique tamponnée par l’instructeur, et que vous êtes allé voler dans les thermiques ??

-   A l’époque, Bruno, le stage durait 5 jours et avait pour objectif de nous enseigner les rudiments techniques et théoriques nécessaires à de premiers vols en air calme, l’autre apprentissage fondamental enseigné portait sur l’auto-responsabilisation du pilote, qui était alors le seul responsable de son aéronef et lui seul gérait le risque auquel il s’exposait. Il n’y avait pas non plus de certificat de pilotage à la clé. Tout le monde pouvait voler, même sans passer par la case enseignement, même si cela était fortement conseillé.

-   Je n’arrive pas à le croire…

-   Et pourtant, c’est bien vrai. Et cela fonctionnait, il y avait très peu d’accident, il y avait bien quelques fermetures par-ci par-là, mais des stages de pilotages eux aussi non obligatoires pouvaient être fais au-dessus du lac pour apprendre à les gérer. Laisse-moi poursuivre à présent. Donc, j’ai progressé avec différentes voiles pendant quelques années jusqu’à ce qu’une sombre histoire survienne au cours de l’année 2011. Notre activité était alors totalement libre, en dehors de quelques contraintes comme l’obligation d’avoir une responsabilité civile, le respect de zones aériennes, ne pas voler la nuit, quelques impératifs pour la pratique en compétition (casques, parachute de secours, radios…). Quelques homologations de voiles existaient bien, mais elles étaient à considérer à titre indicatif, rien ne remplaçant véritablement l’essai d’une voile. Les compétiteurs de l’époque volaient sous des ailes très performantes qui leur permettaient de faire des distances incroyables, parfois plus de 200 ou 300km en une seule journée !

-   200km ?!?

-   Et ce qui devait arriver arriva malheureusement. Des évènements tragiques ont eu lieu au cours d’une compétition à l’étranger, et très rapidement les choses ont changé.

-   Comment ça ?

-   Eh bien, beaucoup de personnes se sont plaints d’un manque de règlementation autour de certaines ailes prétendues dangereuses.

-   Et l’étaient-elles réellement ?

-   Je n’en sais rien, Bruno, je ne les avaient pas essayé et ne pouvais donc pas me faire ma propre vision. Par ailleurs, je n’en n’avais pas le niveau. Mais laisse-moi donc terminer. La fédération aéronautique internationale a dû se dire que depuis trop longtemps, le parapente échappait aux normes, aux standards de l’aviation et que cette situation avait bien assez duré. D’ailleurs, je les soupçonne d’avoir attendu ce type d’évènement pour imposer ses normes implacables. Deux camps se sont formés. La véhémence des uns dans cette affaire n’avait pour égal que le manque de recul des autres sur les risques qu’encourait notre passion. Et comme je te le disais, ce qui devait arriver arriva : ce qui n’a pendant un temps concerné que la pratique de la compétition s’est très rapidement étendu à l’ensemble de l’activité. En moins de 2 ans, le brevet de pilote était obligatoire pour voler en loisir, un certificat de pilotage était requis pour changer de catégorie d’aile en plus d’un nombre d’heures minimum. Presque 30 années de paisible évolution pendant laquelle l’auto-responsabilisation avait régné venait de s’achever. Dans un premier temps, pour absorber les coûts grandissants de l’homologation, qui s’était dans le même temps considérablement durcie, les constructeurs ont été obligé d’augmenter significativement le prix des voiles. Beaucoup d’écoles ont été obligées de fermer car l’accès au parapente était devenu tellement rigide que peu avaient les moyens, le temps ou même l’envie de s’initier. Et peu à peu, ces professionnels de la construction et de l’enseignement ont vu leur nombre diminuer. Une bonne partie des 35 000 parapentistes français ont soit échoué, soit refusé de se soumettre à l’article 4.2 du code de l’air de la FFAS, le nouveau nom de la FFVL, qui obligeait les pilotes à une réévaluation annuelle de leur capacité de pilotage.

-   35 000  parapentistes ? C’est à peine croyable ! mais nous ne sommes plus que 1500 à présent !

-   Oui, ce fut une hécatombe. Beaucoup dont moi avons refusé de nous soumettre à ces nouveaux codes et avons continué à voler avec nos ailes car elles nous offraient un plaisir qu’une aile comme la tienne ne pouvait pas nous offrir. Avec les années, tous les sites de décollage de parapente ont été détruits sauf 5 sites dans cette région qui sont devenus des sites officiels de la FFAS. Leur accès a été grillagé, et seul un système de d’authentification par badge en a permis l’accès.

-   Mais vous, à quel moment avez-vous arrêté ?

-   Eh bien, je continuais à faire du cross et du vol rando sur des décos sauvages ou aucun instructeur ne pourrait me dénoncer aux autorités de la FFAS, mais j’ai atterri un jour dans une vallée où je me suis fait cueillir à froid par l’un d’eux. L’article 7.5 du code de l’air notifiait que la pratique du parapente hors du cadre de la FFAS était soumise à confiscation du matériel et 6000€ d’amende.

-   Mais c’est complètement injuste.

-   Oui, hélas, mais c’est ainsi, ceci s’est passé en 2017, quelques années après les évènements tragiques. Des experts sont alors intervenus et ont déclaré que l’accidentologie était trop importante en printemps et en été, à cause des turbulences créées par la convection, ainsi que toute l’année de 9h30 à 20h. Le parapente n’est devenu autorisé qu’entre le premier novembre et le 28 février entre le lever du soleil et les premières convections et entre les dernières convections et le coucher du soleil. Les ailes d’homologation EN-D, puis EN-C puis EN-B avaient disparu, comme happées par ce gouffre normatif sans fin. Le transponseur était devenu obligatoire. Tous ceux qui comme mois étaient pris à contourner ces règles étaient soumis au même sort que moi. Peu à peu, la norme remplaça la responsabilité individuelle et le Vol Libre s’éteignit. »

Le soleil commençait à transpercer la couverture nuageuse, cela faisait près d’une heure que l’on discutait, il ne restait plus beaucoup de temps avant que le grillage ne se referme jusqu’au soir. Je ne savais plus quoi penser. Ou était le plaisir de voler, celui-là même dont je parlais tout à l’heure à Gégé ? Il s’était replongé dans la contemplation de la vallée, ses yeux qui s’étaient illuminés lorsqu’il s’était souvenu de son premier vol avaient perdu leur éclat. Et si j’avais connu cette époque, comment aurais-je agi ? Je me suis levé doucement, le laissant dans sa torpeur, il devait se revoir dans son imagination vieille de 40 ans en train de refaire ces vols qu’il n’oubliera jamais. Il devait se souvenir d’un temps dont il n’aurait jamais souhaité voir la fin.
Après avoir remis mon sac sur les épaules, j’ai sorti mon badge que j’ai soumis au pistolet code barre situé sur le portail. Une voix robotique féminine me demanda de confirmer mon identité, ce que je fis, puis de scanner le code barre situé sur ma voile, confirmant ainsi d’adéquation aile/pilote. Le portail s’ouvrit dans un grincement métallique et je pénétrais sur la moquette tandis que l’horripilante voix me souhaitait un heureux premier vol « en tout autonomie ». Le compte à rebours situé au coin à droite m’indiquait que je disposais de 17 minutes pour décoller après quoi les premières convections arriveraient et rendraient tout vol délictueux. Tandis que je dépliais ma voile, madame Robot énonçait une à une les règles de l’air de la FFAS, l’obligation d’allumer mon transpondeur, l’obligation de badger juste après avoir atterri. Cela n’en finissait pas. Je m’élançais dans le vide comme pour fuir cette voix subitement insupportable. Je n’ai pas pu profiter de ce qui aurait dû être le moment le plus excitant de ma jeune vie de parapentiste. Je ne pouvais pas. J’essayais d’imaginer de ce que j’avais vu dans les yeux de Gégé ce qu’était le parapente il y a 40 ans.
J’ai refait 3 autres vols depuis ce 3 novembre 2053. Pendant chacun d’eux, cette image du vieux Gégé assis sur son banc, son regard vide, absent porté sur la vallée, m’a obsédé au point que je fus incapable de savourer ces instants à leur juste valeur. C’est après avoir badgé pour la dernière fois le 24 décembre 2053 en sortant de l’aire d’atterrissage que j’y ai laissé mon matériel et ne suis plus jamais revenu.
 
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olivierR
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Aile: Artik6
pratique principale: autre (?)
Messages: 0



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« Répondre #1 le: 25 Juillet 2011 - 03:15:22 »

 trinquer
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"...Au moins on y entrave, au plus on la ramène..."
https://vimeo.com/user3379733
FenuaDouelle
Invité
« Répondre #2 le: 25 Juillet 2011 - 04:24:39 »

 +1 au karma
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Champlo
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Aile: Oryx, Spiruline 18 et Dual BGD
pratique principale: vol rando
vols: > 400 vols
Messages: 1



« Répondre #3 le: 25 Juillet 2011 - 08:12:36 »

Magnifique...
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"La survie dépend de la capacité à supprimer l'anxiété en la remplaçant par un raisonnement calme, clair, rapide et correct." Sheck Exley, 1949-1994
montblanc
Invité
« Répondre #4 le: 25 Juillet 2011 - 08:56:26 »

Superbe, et très bien écrit, dans le plus pur style des nouvelles d'anticipation !
Juste, j'aurais pas mis une date si lointaine ... 2018/2020 me semble malheureusement plus probable au rythme ou la "déresponsabilisation" va (et pas que dans le parapente)  Confus

Merci pour ce ... cauchemar ...

Heureusement, Christian Maurer devrait passer au dessus de ma tête d'ici quelques heures, ça va me redonner un peu de rêve  bravo
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Parapente Samoens
Invité
« Répondre #5 le: 25 Juillet 2011 - 09:03:09 »

Ce post est plein de talent.  bravo

Le message sous jacent est par contre très manichéen. La sacro-sainte liberté de certains pilotes doit elle faire oublier les risques objectifs pris en compétition ?

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diotman
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Aile: Rush 4
pratique principale: apprends à voler
vols: ??? vols
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« Répondre #6 le: 25 Juillet 2011 - 09:34:45 »

Quelle imagination !  bravo
Ou même quel devin !
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Manger du reblochon fait pousser les nichons !
piwaille
l'(quasi)modo
Administrateur
enrouleur(se) de thermique
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Aile: pure bleu/rouge
pratique principale: cross
vols: bientôt 900 vols
Messages: 122




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« Répondre #7 le: 25 Juillet 2011 - 09:42:04 »

salut !

me suis permis de déplacer le fil dans une section qui me parait plus adaptée : les histoires
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Pas de support par MP. Utilisez http://www.parapentiste.info/forum/le-chant-du-vario-b53.0/
Citation de: Bernard Werber
"L'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir"
pecaos
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Aile: Volt Fire( AirDesign)
pratique principale: cross
vols: de +en + car plus de temps pour Volter vols
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« Répondre #8 le: 25 Juillet 2011 - 09:52:57 »

"le fil dans une section qui me parait plus adaptée : les histoires"
Ah , c'est une histoire ? une fiction donc ....ouf je respire !
 Mais quel talent  bravo  en cette période liberticide , il faut être d'autant plus responsable .
« Dernière édition: 25 Juillet 2011 - 11:08:30 par pecaos » Signaler au modérateur   parapente Enregistrée

"On est vieux dès qu'on n'a que des certitudes ; la jeunesse doute de tout. "

www.pecaos.blogs.fr
cleer
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Aile: Factor / Orca
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vols: environ tout ca !! vols
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« Répondre #9 le: 25 Juillet 2011 - 11:00:25 »


"le fil dans une section qui me parait plus adaptée : les histoires"
Ah , c'est une histoire ? une fiction donc ....ouf je respire !

ouè moi aussi je respire, quoique j'en garde une angoisse que ca peut bien trop vite devenir la réalité.

 bravo belle prose.
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Poupetzienne descendue jouer dans la cour des grands à gre
Lololo
Invité
« Répondre #10 le: 25 Juillet 2011 - 11:47:44 »

Bof...
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Bezu74
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Aile: Atis (3) ça glisse !
pratique principale: je suis un bot qui ne sera pas validé
vols: à quelques uns pret 500 vols
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« Répondre #11 le: 25 Juillet 2011 - 20:15:52 »

 +1 au karma
Carpe diem !
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Le bandit démasqué
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Aile: Gin bandit (veille et moche, mais c'est la mienne !)
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« Répondre #12 le: 25 Juillet 2011 - 20:42:10 »

Le message sous jacent est par contre très manichéen. La sacro-sainte liberté de certains pilotes doit elle faire oublier les risques objectifs pris en compétition ?

Ca aussi, c'est manichéen ...
Qui sont ces "certains" pilotes ?
Et cet article fait-il référence à la compétition ?
Dans ton commentaire, tu associes (par hasard ?) ces anarchistes égoïstes qui font de la liberté une religion aux compétiteurs inconscients qui mettent en danger leur vie et la liberté d'autrui ... dans quel but ?

Enfin, et cela n'a pas grand chose à voir, qui dit compétition dit prise de risque ... sauf peut-être au ping-pong !
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Parapente Samoens
Invité
« Répondre #13 le: 25 Juillet 2011 - 21:10:32 »


Ca aussi, c'est manichéen ...
Qui sont ces "certains" pilotes ?
Et cet article fait-il référence à la compétition ?

Au vu des prises de positions de Flaille, tout le monde a bien compris que ce message fait suite aux  récentes décisions du bureau directeur de la FFVL.

Citation
Enfin, et cela n'a pas grand chose à voir, qui dit compétition dit prise de risque ... sauf peut-être au ping-pong !

J'ai la faiblesse de croire que ce qui me fait plaisir de voir en compétition parapente est le sens tactique, la lecture instantanée quasi magique des conditions, le sens de la glisse de certains pilotes.

Admirer la plus grosse paire de burnes de celui qui à oser pousser plus fort sur le barreau dans une manche non sélective où les perdants finissent en vrac ou au sol, ce n'est pas mon truc ! 

Quand je regarde une vidéo d'un briefing de manche, j'aimerais ne pas me poser la question de savoir qui de ces joyeux et jeunes compétiteurs va tomber du ciel. Il fut un temps où un parachute de secours pendant une manche était une exception qui faisait les gros titres de la presse spécialisée. C'est maintenant banal.

Quitte à les protéger d'eux mêmes, les décisions prisent et à venir pour limiter les risques pris par les compétiteurs sont selon moi une bonne chose.

Caricaturer (même avec un talent certain) les responsables actuels en liberticides acharnés est une réaction indigne.
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flaille
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Aile: Mentor 4 light + Ultralite 16
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« Répondre #14 le: 25 Juillet 2011 - 21:46:56 »


Au vu des prises de positions de Flaille, tout le monde a bien compris que ce message fait suite aux  récentes décisions du bureau directeur de la FFVL.

Désolé Patrick, mais tu as mal compris.

1/ Je ne parle pas de la compétition mais du parapente en général. La compétition n'est que la partie immergée de l'iceberg. Que se passe t'il si on fait fondre cette partie immergée? le reste va t'il rester sous l'eau, bien caché? C'est cela la thèse de cette petite fiction. Quand on met un orteil dans un engrenage, ca prend le temps qu'il faut mais il n'y a pas que l'orteil qui finit écrasé...

2/ Quand un gros, un puissant a l'occasion d'imposer ses règles à un petit, il le fait. Je le vois tous les jours dans le monde industriel. Notre FFVL est petite, à côté des assureurs, de la FAI, du ministère des sports. Elle sert nos intérêts, à tous, dans le bien commun, pour le moment. La seule question est: jusqu'à quand pourra t'elle le faire.

Nous devons y réfléchir maintenant, ne pas nous montrer naïfs. Ce sera trop tard d'y réfléchir le jour où la réalité aura rejoins la fiction.
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Parapente Samoens
Invité
« Répondre #15 le: 25 Juillet 2011 - 21:53:26 »

Désolé si j'ai compris de travers. J'aurais applaudi des deux mains le même post s'il était sorti il y a un mois. Dans la situation actuelle, je le trouve vindicatif.
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flaille
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« Répondre #16 le: 25 Juillet 2011 - 22:06:31 »

Et pourtant, nous sommes tous dans le même bateau. Comparé aux 3 "gros" que je cite précédemment, nous ne sommes, compétiteurs comme pratiquants du dimanche, que de minuscules petits gloglos. J'espère me tromper, mais je pense que nos absurdes querelles de voisinage ne feront que précipiter les choses.
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aileF
Invité
« Répondre #17 le: 25 Juillet 2011 - 22:20:06 »

espece de subversif !
je viens d'alerter la police de la littérature non homologuée. à mon avis ils seront chez toi dès ce soir. et là tu feras moins le malin.


merci flaille, c'était très bon  bisous
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Man's
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Aile: Zeno 2
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Up, up, and away !


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« Répondre #18 le: 25 Juillet 2011 - 22:35:16 »

Bon, maintenant tu nous fait la version optimiste avec une fd a 500000 adhérents, les compètes de parapente monolignes (mais pas monotypes) qui ont remplacé le foot et la f1 à la télé, luc armant président de la république et le parapente obligatoire des le collège (pakalol étant le ministre de l'éducation nationale et patrick samoens son conseiller principal) Sourire
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Plus nous nous élevons et plus nous paraissons petits à ceux qui ne savent pas voler - F. Nietzsche
Le bandit démasqué
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Aile: Gin bandit (veille et moche, mais c'est la mienne !)
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« Répondre #19 le: 25 Juillet 2011 - 23:34:00 »

J'ai la faiblesse de croire que ce qui me fait plaisir de voir en compétition parapente est le sens tactique, la lecture instantanée quasi magique des conditions, le sens de la glisse de certains pilotes.

Admirer la plus grosse paire de burnes de celui qui à oser pousser plus fort sur le barreau dans une manche non sélective où les perdants finissent en vrac ou au sol, ce n'est pas mon truc !  

Ca aussi, c'est très manichéen. Compétiteur = gros bourrin qui ne sait qu'appuyer sur un barreau. Il se trouve néanmoins que ce sont généralement ceux qui ont le sens tactique qui finissent par gagner.
C'est également ce qui se passe en ce moment à la X Alps. Le plus grand parapentiste de tous les temps a construit sa victoire avec une grosse paire de couilles en décollant dans une aérologie dangereuse, y compris pour lui (ou pour Alex Hoffer qui n'est pas loin d'avoir son niveau). Mais ils repoussent les limites, et acquièrent une expérience qui sert à tous pour concevoir du matériel ou des techniques de pilotage, afin que cela finisse par s'apprendre un jour en école.

Faire un décrochage demande une paire de couille au départ. Et pourtant, c'est une technique de pilotage dans les cas de force majeure. Pousser le barreau en est une autre dans d'autres situations. Ne juger les pilotes que sur ça serait idiot, mais c'est loin d'être le cas.

Quitte à les protéger d'eux mêmes, les décisions prisent et à venir pour limiter les risques pris par les compétiteurs sont selon moi une bonne chose.

Caricaturer (même avec un talent certain) les responsables actuels en liberticides acharnés est une réaction indigne.

Alors là, il va falloir m'expliquer. On nous a juré sur nos grands dieux que cette décision n'était qu'une conséquence subie d'une décision hative et irréfléchie du CIVL qui risquait (risque non avéré ...) de placer la FFVL dans une position dangereuse au niveau juridique et par conséquent financier.
Cela n'avait en rien à voir avec la (non)dangerosité des ailes qui ont été subitement interdites à tort ... mais la raison citoyenne devait nous permettre d'accepter avec sagesse cette grave (et honéreuse) décision !
Ton intervention permet d'avoir un autre regard sur les défenseurs de cette cause et sur la manière dont on s'est foutu de la gueule des adhérents à la FFVL, et en particulier des compétiteurs !
Il n'est toujours pas avéré que l'accidentologie en compétition est plus importante que dans la pratique courante. Et malgré cela, certains (le certain, ici, c'est toi ... entre autres) veulent nous expliquer que c'est pour protéger les compétiteurs d'eux-mêmes qu'une telle décision a été prise.
Cet argument est totalement liberticide et fournit un raccourci bien confortable pour se justifier sans réfléchir d'une décision infondée, injuste et injustifiée !!! (je continuerai à le dire)

Flaille a totalement raison (j'ai écrit un article similaire il y a plus d'un an). Si l'on se permet de fonder une telle décision sur d'aussi faibles arguments, alors il n'y a aucune raison pour qu'un jour, on n'interdise pas l'apprentissage du parapente sous le prétexte bien plus avéré que c'est un sport à risque (et dans ce cas-là, il vaudrait quand même mieux protéger les pauvres vacanciers avides de loisirs à sensation d'eux-mêmes).
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Parapente Samoens
Invité
« Répondre #20 le: 26 Juillet 2011 - 00:02:04 »

Je ne donne que mon avis de pratiquant attentif. N'ayant aucune responsabilité fédérale, je n'ai rien à voir avec la décision du bureau fédéral. Tu fais un faux amalgame entre mon opinion personnelle et les intentions supposées de la FFVL.

Décision injustifiée ? Je ne sais pas ce qu'il vous faut pour vous ouvrir les yeux sur ce que je pense être une dérive actuelle de la compétition.

2 morts, 5 parachutes de secours sur une manche du Championnat du monde, ce n'est pas assez ?

8 ouvertures de parachute de secours en 3 manches de Championnat de France l'année dernière ce n'est pas trop ?

La multiplication exponentielle des voiles open n'est pas la seule cause, mais elles font parti du problème.
« Dernière édition: 26 Juillet 2011 - 00:12:45 par Patrick Samoens » Signaler au modérateur   parapente Enregistrée
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« Répondre #21 le: 26 Juillet 2011 - 08:07:52 »

 hein ? Ce n'est qu'un récit, une histoire inventée avec certes les évènements récents mais hé ! ho ! la liberté d'expression. Il n'a pas fait de massacre parce que la fédé à supprimer les VNH en compèt, admettez quand même que son imagination peut devenir réaliste. Sans attaquer personne puisque c'est une fiction !!!

Relever la tête un peu...de la dérision quoi !!!! la prise de t?te  la prise de t?te
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Poupetzienne descendue jouer dans la cour des grands à gre
Gilles
Invité
« Répondre #22 le: 26 Juillet 2011 - 08:48:30 »

Je ne donne que mon avis de pratiquant attentif. N'ayant aucune responsabilité fédérale, je n'ai rien à voir avec la décision du bureau fédéral. Tu fais un faux amalgame entre mon opinion personnelle et les intentions supposées de la FFVL.

Décision injustifiée ? Je ne sais pas ce qu'il vous faut pour vous ouvrir les yeux sur ce que je pense être une dérive actuelle de la compétition.

2 morts, 5 parachutes de secours sur une manche du Championnat du monde, ce n'est pas assez ?

8 ouvertures de parachute de secours en 3 manches de Championnat de France l'année dernière ce n'est pas trop ?

La multiplication exponentielle des voiles open n'est pas la seule cause, mais elles font parti du problème.

Paaatriiiiiiiiiiiiiiiiiick !!!
On te l'a déjà dit, tu fais dans l'é-mo-tion !!! T'es sans doute un garçon tout émotif  ? Tu rougis quand t'adresses la parole aux filles ?
Des morts ? Des pébroques à la pelle ? Et alors ? Bon , c'est sur t'en as qq uns dans le tas qui s'interrogent quand même...Bellemin, Houdry, Kortel.....Y aurait-il pas par hazard une couille dans le potage ?? Ben je vais t'dire, c'est des é-mo-tifs eux aussi !!
Pis prétendre que la compet c'est à celui qui pousse le plus le barreau, faut pas exagérer.....bon certes par exemple en Turquie, à la première manche PWC, il y a dix pilotes dans la même minute et les deux premiers sont dans la même seconde....et alors ??
Z'ont installés une cellule photo électrique mon bon mossieur !! Comme en athlé, sauf que la c'est pas la ligne d'épaule qui compte c'est le bord d'attaque, Du coup t'arrives en finale ( stabilos dans stabilos ) et là, à 10 mètres sol, tu fais ton "cassé" genre un grand coup de frein et tu relaches tous pour que ton bord d'attaque aille couper la ligne !! C'est chouette à voir deux voiles à l'horizontal cote à cote, j'te jure !
Bon c'est sur après le premier cassé des voiles, il y a le deuxème cassé......celui des pilotes ! Mais la aussi, tout est prévu...brouette de platre, corset, fauteuil, sapin.... ça le fait nickel.......enfin si t'es pas é-mo-tif bien sur !

Pis franchement t'exagères, tu ne crois pas que Tonton Gibus il sait les choses lui ? Pourtant il t'a expliqué qu'une voile VNH c'est vachement plus safe que la bouse EN A d'un gloglo ( C'est bien connu, le gloglo roule en twingo et vole en bouse ).
Un gars quand même qui pense lui ( pas comme toi qu'est tout é-mo-tif !!!).
C'est un peu lui toutes ces nouveautés non ( Il dit même que le petit Armant aurait un peu copier sur son épaule...) Les trois lignes, les nylons tout ça....... Remarque quand j'y pense son premier métier de charpentier l'a sans doute inspiré pour les renforts en nylon......un jour dans un rêve il a vu.......sa voile était un toit !!! Les poutres du nylon, le tissu des tuiles ! Eurékà !!
C'est quand il a vu qu'il y a avait une cheminée sur la voile avec une cigogne dessus ( normal ça, l'alsace est pas loin ) qu'il s'est réveillé mais l'idée était là!!!
Si ce n'est toit , ça sera aille !!!
Sauf que mon petit Patrick, C'est pas un garçon é-mo-tif le Gibus !

D'ailleurs, j'me demande un truc est ce que les deux morts de Piedrahita étaient des é-mo-tifs ? Faudrait aller demander à leurs familles pour savoir non ? Et leur dire que la réaction de pas mal de pilotes à ce que leurs morts avait entrainée était un sigle "touche pas à mon gun".......
Mais t'es trop é-mo-tif pour ça mon petit Patrick, faut un pas é-mo-tif pour ça.....Un Gibus par exemple ?
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Lololo
Invité
« Répondre #23 le: 26 Juillet 2011 - 08:57:26 »

Oula, déclaration de guerre?  mort de rire  mort de rire  mort de rire  mort de rire
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Gilles
Invité
« Répondre #24 le: 26 Juillet 2011 - 09:00:28 »

Oula, déclaration de guerre?  mort de rire  mort de rire  mort de rire  mort de rire
Non, on est dans la rubrique histoire, c'est juste et uniquement de l'humour ( corrosif et sarcastique, je l'admets ) très heureux
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