Les images de notre reporter dans la rudesse du climat de la belle Ariège parlent d'elles mêmes.
Nous rappellons d'ailleurs au gens qui mangent des pains au chocolat que c'est dans les Pyrénées, oui dans ce petit truc merdique qui sert de frontière avec l'Espagne et que certains appelleraient "montagne".
Mais revenons en aux faits, Oui l'ours à encore frappé. Non pas comme à ses habitudes, à des troupeaux de brebis galopantes, bien grasses et qui au détour d'une falaise, traquées et effrayées se jetteraient dans le vide innocemment, mais bien à un troupeaux de parapentiste.
Parapentiste partageant certaines habitudes aériennes avec les ovins mais, qui aux dires des chercheurs en vol de chèvre, seraient de la viande bien plus dure et cela même en méchoui.
C'est pourquoi, outre les mises en garde évidentes que nous (ne) faisons (pas) à toutes les possesseurs de troupeaux de moutons volants, sachez que dans votre malheur les matières synthétiques, permettant entre autres d'éviter les rotations longues en bétaillère non climatisées - chaque année des pertes lourdes pour la profession - seraient miraculeusement épargnées et gentiment pliées par le plantigrade désemparé. Bien sur personne n'a encore pu voir l'homme qui à vu l'homme qui aurait vu l'ours qui décollerait pour rentrer en Slovénie (ça me rappelle un post...)
Pourtant dans certaines vallées, les anciens disent bien qu'ils l'ont vu voler...
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