Option 2
Ne rien faire...
Les gros plus :
+ reprise rapide de la conduite
+ convalescence plus courte (moins de deux mois pour obtenir une "adaptation" des muscles periphériques a l'absence du biceps et une partie de ce que seront les capacités finales du bras)
+ pas d'immobilisation complète (pas de fonte muscu hormis biceps)
+ pas de risque de bousiller le montage réalisé par le chirurgien sur un choc ou une crampe nocturne (mon cas)
+ pas de risque opératoire
+ pas d'état d'âme sur le "loupé" de diagnostic initial
Le gros moins : un bras diminué
- esthétique (fonte du biceps)
- affaibli en force et en débattement sur certains axes (en supination notamment - perte de la capaciter à "torquer" ferme d'une seule main un outil)
De ce point de vue, on peut considérer que le biceps est un muscle "accessoire" quand on n'est pas mécanicien ou monteur de profession, et qu'on peut compenser avec une bonne boîte de clés à cliquets et un jeu de tournevis en T
Pour le parapentiste... et bien je vous raconterai l'éte prochain, j'espère
La vie continue