En l'occurrence j'essayais de faire comprendre qu'être dérangé par l'attirance d'autrui pour l'air abondamment et fortement ascendant n'est pas plus justifiable qu'être dérangé par l'idée qu'on puisse chercher à atteindre à pied des lieux difficiles d'accès (sommets alpinistes), en empruntant même parfois des voies choisies pour leur plus grande difficulté, et apparemment en devant s'astreindre à marcher la nuit !
Et vraiment peu de gens ont l'idée de se dire dérangés par votre cher alpinisme (valeureux, digne, honorable, glorieux et méritant (y'a des médailles même, non ? j'en veux une pour quand j'en chie dans la turbulence pasque j'ai été con de décoller).
Salut,
Décidément je n'arrive absolument pas à comprendre ce que tu veux dire !
1/ Il me semble évident que personne ne peut être dérangé par le fait que les pilotes alpinistes montent au sommet des montagnes pour en décoller et qu'il leur arrive d'y monter de nuit de façon à pouvoir décoller tôt dans la matinée.
2/ De même il est tout à fait évident que le fait que des pilotes cherchent un "air abondamment et fortement ascendant" ne me dérange en aucune façon !
Où donc as-tu lu que je porte un tel jugement sur telle ou telle catégorie de pilotes ?
Il existe de multiples façons de pratiquer le parapente selon le goût et les envies de chacun et il ne me viendrait bien sûr pas un instant à l'esprit de critiquer ou d'être dérangé par telle ou telle pratique.
Exemple : il y a dans notre club deux pilotes qui font de l'acro à un haut niveau.
L'un d'entre eux s'entraîne d’ailleurs régulièrement ici à Sainte-Victoire en réalisant en particulier des séries de tumblings ; il m'est arrivé d'aller le féliciter à l'atterro en lui témoignant mon admiration pour ce qu'il arrivait à faire avec sa voile.
Pourtant je n'ai évidemment ni le niveau technique, ni la moindre envie de pratiquer l'acro.
On va s'en tenir là puisque cela tourne au dialogue de sourds.
Mais je ne comprends absolument ton allusion au fait que je serais, selon toi, dérangé par la pratique de certains pilotes...Je dois mal comprendre le français ou tu me prêtes des sentiments qui me sont totalement étrangers.
Marc